Inexistence totale de terrains pour implanter des projets

Ayant consommé, par le passé, et dans des conditions douteuses tout son capital foncier, la ville d’Aïn M’lila se retrouve aujourd'hui face au problème persistant de l’absence de terrains nus pour la réalisation d’infrastructures. Il n’y a presque plus aucun espace où on peut implanter un quelconque projet d’utilité publique. Ces effets désastreux se sont prolongés jusqu’à Djid Malou, une petite localité située dans la périphérie sud d’Aïn M’lila, où aucun espace libre n’a été trouvé pour construire une petite antenne de l’APC. Des terrains ont été hâtivement attribués, à une époque donnée, à des individus douteux et aujourd’hui il n’y plus rien. Pour régulariser des cas litigieux de foncier, les responsables de la ville, ont essayé de construire des kiosques dans les quelques petites poches vides qui restent dans divers endroits de la ville, mais à chaque fois, il y a l’émergence d’une opposition farouche de groupes de citoyens qui refusent toute construction aux bordures des trottoirs. Tout semble indiquer que des jeunes et de moins jeunes, ont enfin pris conscience de la nécessité de mettre fin à l’agression de leur environnement immédiat, mais force est de constater que bon nombre d’individus aux idées noirs, infiltrés dans la foule, essayent, d’une manière ou d’une autre, de faire des pressions sur la mairie pour se procurer un bien. Des minables et des individus gonflant sans cesse leur poitrine pour faire peur et qui n’ont jamais rien donné au pays, ont toujours bénéficié de père en fils, de kiosques, de dispositifs d’aide étatiques, de projets, de logements sociaux et de contrats de travail durant les années écoulées, alors que les citoyens honnêtes qui demandent leurs droits dans la dignité et le respect des choses, sont toujours relégués au second plan. La maffia de la corruption a frappé de plein fouet la ville d’Aïn M’lila qui a changé négativement en l’espace de quelques années à tel point qu’aux yeux d’une multitude d’individus, l’argent
semble avoir plus de valeur que l’air qu'on respire

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Nasreddine Bakha
L'Est

Quotidien Indépendant du 11 avril 2011

Nasreddine Bakha ne fait qu'établir un constat .Il ferait mieux en tant que journaliste de dire QUI et dans QUELLES CIRCONSTANCES ce patrimoine foncier a été dilapidé .Il n'aura pas besoin d'une grande enquête puisque les PREDATEURS sont connus de tous.

Le constat fait par le correspondant maison sur la dilapidation du foncier à Ain M'lila n'est un secret pour personne. Les Mlilis auraient bien aimer voir ces pseudos correspondant traiter avec conviction tous les maux qui rongent la gestion des affaires de la cité. Malheureusement, ils mettent a profit ces rubriques pour côtoyer, pour ne pas dire caresser au sens du poil les responsables et tirer le maximum de dividendes pour eux-mêmes et leurs familles. A bon entendeur Salut !!! ;-)

السلام عليكم و رحمة الله،،

A mon avis le sujet que de Mr.le correspondant du dit journal a évoqué, a bien fait les prémices d'une polémique qui va pas tarder à accabler les responsable qui d'ailleurs vont être eux même victimes de leur propres mains suite tout simplement à la mauvaise gestion.
en outre pour ce monsieur et comme je le savais il a du être l'un des rares Hommes M'lilis qui ont crié Fi aux nez des responsable, en posant le doigt sur le mal ce qui a déclenché le problème du foncier voué en assiette pour ZI, et qui a été détournée vers d'autres vocation malgré tout le monde (et quel monde on fait nous, Hélas!!) Mes respects.