Attribution des plaines d'ain mlila au zmoules
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Attribution des plaines d'ain mlila au zmoules
http://beystory.free.fr/salahbeybenmostefa.htm
c'est salah bey qui assigna les plaines de Ain m'lila au tribus zmoules entre 1780 et 1790
Il encouragea l'artisanat et le commerce extérieur. L'écoulement des produits de la province rapportait en taxes douanières des sommes importantes ; elles étaient perçues par des oukils placés dans les ports de El Koll, Stora, Annaba, El Kalla, Jijel, Bejaïa. Ainsi sans pressurer ses administrés, il accrut considérablement les ressources du Trésor.
Il déplaça encore une fois la zmala et lui assigna pour lieu de campement, les riches plaines de Melila sur la route de Batna.
Il fit achever les constructions du Bordj d'El Fesguia, commencées sous Ahmed El Kolli, et constitua en "azel", ou terres domaniales, tout le territoire d'El Fesguia, et de Kercha, confiées aux gens des Segnïa. Tous Ces travaux exigèrent d'énormes dépenses auxquelles Salah Bey avait fait face en puisant dans ses propres fonds et ceux du Trésor public. Pour ne pas faillir à ses obligations coutumières vis à vis de l'Etat (versement du denouche) et de la milice (solde), il sollicita de Hamouda Pacha de Tunis un prêt important
c'est salah bey qui assigna les plaines de Ain m'lila au tribus zmoules entre 1780 et 1790
Il encouragea l'artisanat et le commerce extérieur. L'écoulement des produits de la province rapportait en taxes douanières des sommes importantes ; elles étaient perçues par des oukils placés dans les ports de El Koll, Stora, Annaba, El Kalla, Jijel, Bejaïa. Ainsi sans pressurer ses administrés, il accrut considérablement les ressources du Trésor.
Il déplaça encore une fois la zmala et lui assigna pour lieu de campement, les riches plaines de Melila sur la route de Batna.
Il fit achever les constructions du Bordj d'El Fesguia, commencées sous Ahmed El Kolli, et constitua en "azel", ou terres domaniales, tout le territoire d'El Fesguia, et de Kercha, confiées aux gens des Segnïa. Tous Ces travaux exigèrent d'énormes dépenses auxquelles Salah Bey avait fait face en puisant dans ses propres fonds et ceux du Trésor public. Pour ne pas faillir à ses obligations coutumières vis à vis de l'Etat (versement du denouche) et de la milice (solde), il sollicita de Hamouda Pacha de Tunis un prêt important
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