Ould Chamkha
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Ould Chamkha
Ces derniers jours, je viens de découvrir un autre poète amateur M’lili, un intellectuel de l’ancienne école. Il aura 70 ans dans les mois qui viennent. Ce poète aime qu’on le surnomme Ould Chamkha, une grande dame célèbre au 20ème siècle du douar El Kouahi. Aujourd’hui, je vous présente trois de ses poèmes 2 en langue Française et 1 en arabe Algérien
Hommage aux anciens enseignants De Ain M’lila
Dignes fils des M’lilis
Arabes ; Kabyles ou Chaouis
Vous avez su relever le défi
Contre ceux qui ont fait le pari
De laisser l’Algérie dans l’anarchie
Vous avez formé des générations
Ingénieurs, médecins et enseignants
Vous méritez leur remercîments
Et la gratitude de toute une population
Que ceux que vous avez laissés
Prennent le flambeau et le hisser,
Haut très haut pour l’éternité
Un seul mot pour vous féliciter
Merci pour tout ce que vous avez fait
Puisse Dieu vous prêter longue vie
Pour voir vos enfants et ceux de vos confrères
Vivre dans Une Algérie libre et prospère
Ould El Chamkha
« Où va l’Algérie ? »
• Obscure Destinée
• Femmes Cloitrées
• Enfants Délaissés
• Jeunesse Volée
• Retraités Maltraités
• Compétence Dévalorisée
• Nullards Auréolés
• Arrivistes Respectés
• Cadres Relégués
• Pays Condamné
• Avenir Floué
• Liberté Muselée
• Espoir Evaporé
• Chemins Entravés
• Démocratie Fardée
• Religion Manipulée
Tel, est l’Etat de mon pays
« Où va l’Algérie ? »
Ma patrie : O Pays des martyrs
Ton ciel s’est assombri
Par la voracité des vampires
Qui ont sucé ta sève et tari
Ils ont dilapidé les terres fertiles
Pour y ériger leurs châteaux
Par la faute de ces mercantiles
Rien ne présage ton renouveau
L’espoir qu’on avait mis en toi
S’en est allé et volatis
Même patients et comptant sur notre foi
Ton avenir tarde à se réaliser
Ton école jadis fournisseur d’élites
D’hommes trempés dans l’acier
Est devenue une usine d’arrivistes
Qui ne pensent qu’à s’exhiber
Ould El chamkha
مليلة
مليلة بلاد الكواشية
وسيدي احمد الشريف الوالي الزين
راكي في القلب غالية عليا
نغيب و نرجعلك في الحين
الشامخة راكي تعزي عليا
و سكيو في العرقوب حارس متين
ناسك هجروك خلاوك وحدانية
و في الغربة راهم مهمومين
بلعوادي قال كلمة و خلاها للناس الفاهمين
تفناي قبل البلدان بعشرات السنين
وينهم رجال الهمة و الفنطازية
الزمول و السقنية مجمولين
وينهو حمنى وليد البلعقلية
هو و العربي كانو فرسان بارزين
وينهم ولاد الدراج اهل النية
وينهم الولية و الصالحين
قرابصي بن مهيدي و قواجلية
فضلوا يموتوا مجاهدين
رحتي خسارة يا مليلة و جاوك ناس جاهلين
هبطو بشانك و في الحرام راهم عايشين
السرقة الرشوة و الانانية
و نساو الله و يوم الدين
ولـد الشامـخـة
عدل سابقا من قبل Betous في 2012-10-03, 22:38 عدل 2 مرات
رد: Ould Chamkha
Voici un autre poème de notre poète Ould Chamkha, sous forme de lettre ouverte à Mr le président
Lettre à qui de droit
Faites quelque chose Monsieur Le Président
Le pays prend un mauvais tournant
Crise du chômage et du logement
Détresse des jeunes et leur mécontentement
N’écoutez pas les faux mandants
Leurs éloges et leurs boniments
Ils vous informent faussement
Ecoutez la rue et son rugissement
La bureaucratie s’installe cyniquement
Dans la totalité de nos institutions
Les citoyens sont traités durement
Par le mépris et la corruption
Les passe-droits vivent aisément
Le petit peuple souffre silencieusement
Mais ça ne pourra durer éternellement
Mettez le holà à ces suceurs de sang
Donnez nous nos droits seulement
Pour vivre dans notre pays dignement
Et redonnez confiance à nos enfants
Pour qu’ils ne quittent leur patrie, nullement
C’est pour eux que vous avez fait la révolution
Et devant eux vous avez prêté serment
Prière n’oubliez pas vos engagements
Et veuillez recevoir mon respect, sincèrement
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Aujourd’hui, je vous poste un autre poème écrit suite à la mort de Jalila, une très chère cousine qui a quitté notre monde en novembre 2005
Jalila
Une colombe est partie
Sans même crier gare !
Elle comblait notre vie
Elle était notre espoir
Pleine de grâce et de bonté
La vie ne l’a guère gâtée
Par sa beauté elle faisait des envieux
Qui ignoraient qu’elle souffrait
Car seul notre Créateur : Dieu
Savait quel mal la rongeait
Ni son courage, ni sa ténacité
Et qu’obstinément à la vie s’agrippait
La maladie était la plus forte
La plus belle « Madonna » s’en est allée
Claquant derrière elle la porte
Partie pour un monde meilleur
Rappelait par l’Unique notre Créateur
Jasmin
Anémone
Lilas
Iris
L’is
Acanthe
Toutes ces fleurs formaient un bouquet
Mais ont fini par se faner
Et disparaître à jamais
Et nulles autres ne pourraient les remplacer
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Nous sommes très chanceux ces derniers jours avec notre poète «Ould Chamekha» et surtout avec ses poèmes inédits. Aujourd’hui, je vous poste un autre poème qui parle d’un ancien enseignant qui a tant donné à l’enseignement et à la jeunesse M’lilie
A la mémoire de Tahori
Minuit de douze minutes passé
Elle entre sans frapper
La faucheuse vient délivrer
Un homme qui dans sa chair souffrait
Nous étions tous figés
Sur ce corps qui tressaillait
Il vient d’être ôté
Aux siens et à la société
Aux premiers il leur a laissé
Sa bravoure, son savoir et son intégrité
A la seconde, des hommes qu’il a formés
Durant 36 ans, du primaire au lycée
Remarquable par sa ténacité
Avec l’immonde bête il a rivalisé
Plus forte cette infâme maladie
Elle a fini par avoir raison de lui
Et il est parti sous les pleurs de ses amis
Qui se comptent par millier
Un certain vendredi neuf février
C’est la volonté de Dieu le bien aimé
Loi de la nature? Ou fatalité?
Nul n’est là pour l’éternité
Repose en paix que tu as retrouvée
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Ces derniers temps notre poète Ould Chamkha ne cesse d'enrichir notre forum par ses beaux poèmes. Aujourd'hui c'est le tour de nouveau titre: Le Koursi
Ah ! Le Koursi
Maudit Soit ce Koursi
Maudite soit quelconque idéologie
Maudite soit la fausse democratie
Qui sert d'alibi aux nouveaux Messies
pour imposer leur loi à tout pris
Je loue Dieu qui m'a crée
et sans contre partie m'a tous donnée
Des yeux pour admirer Ses bienfaits
le Solei et la lune pour nous éclairer
et l'Ouie pour écouter et méditer
Les sages mots du tout vénéré
et surtout un coeur pour aimer
Mon prochain et mon Maitre adoré
Mais hélas si j'aivais à choisir ,c'est autrement
Que j'aurais préféré exister
Un oiseau chantant à longueur de journée
Ou une gazelle jalouse de sa liberté
Gambadant sur le sable doré
Ou un coq maitre de sa basse cour
Invitant à tout moment et chaque jour
Les fidéles à se reveiller
Pour louer le Seigneur et se prosterner
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Suite à la disparition de Mr Aissa Annana notre poète Ould Chamkha vient de nous poster un poème à la mémoire de tous les chers qui ont quitté ce monde
La vie en gris
Le rose ne fait pas partie de ma vie
Seuls dominent en moi le sombre et le gris
La perte d’un ami est dure à accepter
Et celle d’un proche, on ne peut l’avaler
Vous constatez mes écrits pessimistes
Car je suis de nature défaitiste
Tous ces amis partis à leur heure
Me manquent et me fendent le cœur
Hamiche - Zouaoui - Khélifa - Hamdani
Maâmar – Kaddour – Ahmed – Tahori
Et Aissa les a rejoints aujourd’hui
Et tant d’autres que j’ai côtoyés
Mais nul ne peut dévier ou éviter
La loi de Notre, Seigneur
Et nous serons mieux dans l’au-delà
Car tout ce qui est ici, ci-bas
Doit retourner à son Créateur
C’est l’hommage à un homme qui nous a quitté
Voila déjà plus de cinq année
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Aujourd'hui, je vous laisse avec un autre poète de notre cher Ould Chamkha
J’ai fait un rêve
Dans la clarté du jour.un homme est arrivé
Sortant de nulle part ,personne ne le reconnait
Seuls les arbres et les monts à son passage.le saluaient
Il marche à vivre allure cherchant sa maison
Dans son domaine à lui tout a changé
Les mechtas de son enfance sont abandonnées
Tout est dévasté et rien ne bouge à l’horizon
Seul un quidam gardait un semblant de troupeau
Il l’accoste et lui demande ce qu’il ya de nouveau
Le jeune berger éberlué le regarde d’un air étonné
L’homme sentant la géne de ce jeune bouleversé
Lui redemande l’état de ses contrées
Mais le jeune toujours silencieux ne peut s’exprimer
Alors aussi majestueux qu’à l’aube de son apogée
L’homme lui décline sur le champ son identité
« Je suis Benboulaid et Je cherche mes compagnons »
Revenu à lui ,le jeune sourit et saute de joie
Il rit ,il pleure et danse à la fois
Et commence à relater l’état de la société
« les Khemas des colons sont les esclaves des nouveaux barons
Pourquoi si Mostepha,nous as tu quittés ?
Le serment de ta génération a été bradé
Par des égoistes qui cherchent la gloire non méritée »
Si mostepha se cachant la face ,se détournait
Pour que le jeune ne voit les larmes qui coulaient
Sur son beau visage devenu triste et amer
Il retourne sur ses pas d’un air austére
Il se replonge dans sa tombe sacrée
Bénissant et louant Dieu qui l’a rappelé
Avant l’indépendance détournée
Ce n’est qu’un réve
Ould Chamkha
J’ai fait un rêve
Dans la clarté du jour.un homme est arrivé
Sortant de nulle part ,personne ne le reconnait
Seuls les arbres et les monts à son passage.le saluaient
Il marche à vivre allure cherchant sa maison
Dans son domaine à lui tout a changé
Les mechtas de son enfance sont abandonnées
Tout est dévasté et rien ne bouge à l’horizon
Seul un quidam gardait un semblant de troupeau
Il l’accoste et lui demande ce qu’il ya de nouveau
Le jeune berger éberlué le regarde d’un air étonné
L’homme sentant la géne de ce jeune bouleversé
Lui redemande l’état de ses contrées
Mais le jeune toujours silencieux ne peut s’exprimer
Alors aussi majestueux qu’à l’aube de son apogée
L’homme lui décline sur le champ son identité
« Je suis Benboulaid et Je cherche mes compagnons »
Revenu à lui ,le jeune sourit et saute de joie
Il rit ,il pleure et danse à la fois
Et commence à relater l’état de la société
« les Khemas des colons sont les esclaves des nouveaux barons
Pourquoi si Mostepha,nous as tu quittés ?
Le serment de ta génération a été bradé
Par des égoistes qui cherchent la gloire non méritée »
Si mostepha se cachant la face ,se détournait
Pour que le jeune ne voit les larmes qui coulaient
Sur son beau visage devenu triste et amer
Il retourne sur ses pas d’un air austére
Il se replonge dans sa tombe sacrée
Bénissant et louant Dieu qui l’a rappelé
Avant l’indépendance détournée
Ce n’est qu’un réve
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
[size=18]
Notre poète "Ould Chamkha" est à jour parce qu'aujourd'hui, il nous envoie un autre poème, un poème qui parle du génocide Israélien contre le peuple Palestinien, avec la complicité de tout le monde, ces derniers jours [/sizeun ]
Palestine martyrisée
Ces sionnistes fourbes et pervers
Tuent,brulent,et rasent la sainte terre
Ils assassinent femmes viellards et nourrissons
Avec l'aval des yankees et de l'occident
Et meme la complicité des émirs de l'orient
Ces roitelets qui ferment les yeux devant ces dépassements
Ils sont occupés à faire des revolutions
"printemps arabe "est leur préoccupation
Alors que chez eux les GIS font la loi
Ils ont des bases pour frapper à chaque fois
Tout arabe qui ose toucher à leur interets
Les pays du golfe n'ont qu'à acquiesser
Cette situation et cet état de fait
Sinon leurs trones seront déboulonnés
Et ce "machin" de L'ONU qui se confine dans son mutisme
Devant ces spoliateurs et leurs odieux crimes
Tuez ,rasez,brulez,sales sionnistes
Tant que vous avez des valets:le QATAR et L'EGYPTE
Et le soutien de vos maitres Americains
Qui vous ont placé là ,pour leurs besoins
Et qui ont réelu un pantin par la grace de TEL AVIV
Il restera toujours sous la coupe du lobby juif
OULD CHAMKHA
Notre poète "Ould Chamkha" est à jour parce qu'aujourd'hui, il nous envoie un autre poème, un poème qui parle du génocide Israélien contre le peuple Palestinien, avec la complicité de tout le monde, ces derniers jours [/sizeun ]
Palestine martyrisée
Ces sionnistes fourbes et pervers
Tuent,brulent,et rasent la sainte terre
Ils assassinent femmes viellards et nourrissons
Avec l'aval des yankees et de l'occident
Et meme la complicité des émirs de l'orient
Ces roitelets qui ferment les yeux devant ces dépassements
Ils sont occupés à faire des revolutions
"printemps arabe "est leur préoccupation
Alors que chez eux les GIS font la loi
Ils ont des bases pour frapper à chaque fois
Tout arabe qui ose toucher à leur interets
Les pays du golfe n'ont qu'à acquiesser
Cette situation et cet état de fait
Sinon leurs trones seront déboulonnés
Et ce "machin" de L'ONU qui se confine dans son mutisme
Devant ces spoliateurs et leurs odieux crimes
Tuez ,rasez,brulez,sales sionnistes
Tant que vous avez des valets:le QATAR et L'EGYPTE
Et le soutien de vos maitres Americains
Qui vous ont placé là ,pour leurs besoins
Et qui ont réelu un pantin par la grace de TEL AVIV
Il restera toujours sous la coupe du lobby juif
OULD CHAMKHA
رد: Ould Chamkha
Notre poète est toujours à la page. Cette fois-ci c'est le tour des éléctions du 29 novembre
Rendez-vous du 29
Chers candidats naïfs ou venus vous sucrer
Vous arrivez trop tard là ou il le faut
Car d'autres sont passés et ont tout dévoré
Le gâteau a été déjà digéré, et il fait défaut
Les terres à bâtir ont été bradées
À des chacals et il ne reste plus rien à gratter
Mais si vous êtes sincères et engagés
J'ai quelques conseils à vous suggérer
Primo; soignez notre ville malade et alitée
Lui redonner l'image d'une vraie cité
Elle manque de tout ou il ferait bon vivre
Ouvrir le cinéma lieu de détente et de plaisir
Les piscines d'antan doivent être réhabilitées
La salle des fêtes devra être restaurée
Et remise aux jeune talents qui veulent s'exprimer
Les courses hippiques jadis fierté de notre village
Doivent être relancées pour son auguste visage
Secundo; les immondices et ordures sauvages
Qui jonchent nos rues et quartiers
De nos vues doivent être débarrassées
Créer des places publiques pour le 3éme âge
Qui pourront au soleil se prélasser
Et une bonne hygiène avec un simple toilettage
Rendront nos bambins plus gais
Et c'est à cette condition seulement
Que j'irai voter volontairement
Ould Chamkha
50 ans Barakat
Aujourd'hui, notre poète Ould Chamkha à demander à nos jeunes à travers son nouveau poème de prendre les commandes parce que l'heure de vérité a sonné
Chers parents je tiens à vous remercier
Du colonialisme vous nous avez delivrés
Grace à vos sacrifices nous nous sommes libérés
Mais "l'heure du repos du guerrier" a sonné
Il est temps de vous décider
De ceder la place aux nouvelles compétences
Qui sont nés aprés l'indépendance
Et qui n'ont pas eu la chance
De faire la guerre ,comme vous,à la France
Vous n'etes que 2 ou 3 millions de plus de 60ans
Est-il logique que vous gouvernez les36 millions
Qui ont moins de 50ans?
Jeunes!faites barrage à ces grabataires
Pacifiquement, mais soyez téméraires
S'il y a des postulants de plus de la soixantaine
Boudez les urnes et mettez les en quarantaine
Car dans quelques années vous serez comme eux
Seniles,attendant le flambeau qui prendra feu
Dans leurs mains et poings fermés
Et qu'ils refusent de vous le passer
osez engagez vous pour les prochaines decennies
L'avenir est à vous ,tenez le pour dit
car vous pouvez relever le défi
Rendez vous,de2014 est tant attendu
Car leur génération est revolue
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
Je ne peux rien dire sur notre poète cher Ould Chamkha sauf qu'il est toujours à la page avec nos évènements
In Amenas - source intarissable
Bravo sinistre Sarkozy
Tu as réussi à éliminer Kadhafi
Ton plan a parfaitement réussi
Tu as laissé un pays dans l'anarchie
Tu as mis son arsenal à tout vent
Pour armer les criminels sanglants
Ton cynisme ne s'arrete pas pour autant
Aprés la répartition du Soudan
c'est maintenant l'Algérie qui est visée
Tu as permis à des térroristes de nous attaquer
Pour nous déstabiliser et rabaisser
Mais c'est sans compter sur nos capacités
grace à notre valeureuses armée
Nous avons pu déjouer leurs desseins
Anéantir nos gisements ,notre seul bien
Rendons hommage à ce jeune Tiarti
Qui pour sauver la base , a payé de sa vie
Que Dieu l'acceuille ,en son vaste paradis
Peut etre que cette déroute serve de leçons
Aux térroristes criminels et narcotrafiquants
l'Algérie n'est pas l'AFGHANISTAN
c'est le pays des Amazighs,redoutables résistants
Quant à la religion ,nous sommes musulmans
Depuis 14 siécles ,lors de son avénement
car l'islam rime avec tolérance et pardon
mais je renies les pays dits arabes
Car ce sont des vendus misérables
Le cas du Qatar est éloquent
Et celui de l'Arabie .S. plus conséquent
OULD CHAMKHA
رد: Ould Chamkha
Algérie mon amour Algérie pour toujours! Avec cette belle parole du chanteur Baaziz, je vous laisse avec le nouveau poème d'Ould Chamkha qui parle de notre chère patrie l'Algérie
L’Algérie
L’Algérie est une fleur
De son baume je me plais de m’enivrer
Je pourrais sentir son odeur
Chaque minute, sans jamais m’en lasser
L’Algérie est plus qu’une fleur
C’est la rose! Leur reine aux multiples couleurs
Rouge au Sahara par son soleil sublime
De Tindouf à In Amenas
Verte par ses vastes plaines fertiles
De Nedroma à Souk Ahras
Blanche par la beauté de sa côte infinie
D’El Kala à Marsa Ben M’hidi
L’Algérie est une mère douce et belle
Mais qui peut devenir à juste titre rebelle
Que d’hommes dans sa vie l’ont convoitée
Mais ! Pure chaste, elle les a tous repoussés
Phéniciens, Vandales, Romains
Espagnoles, Français et Ottomans
L’Algérie est une mère qui couve ses enfants
Veillant sur eux tels des anges ou nourrissons
Elle a enfanté des hommes célèbres et imposants
Jugurtha, Juba, Massinissa tous des résistants
Malgré les intrigues ourdies contre elle
Elle reste debout, telle une citadelle
Résistant aux fourberies de ses ennemis
Elle fera barrage à l’intolérance du Qatari
Qui n’a pas hésité à chasser son propre père
Et qui veut nous coloniser à sa manière
Semant l’intégrisme grâce à ses petro dollars
De ces faux frères j’en ai marre !
Ould Chamkha
Fête du 8 Mars
Ould Chamkha est à jour. Alors, aujourd'hui, il nous présente son nouveau poème sur la femme à l'occasion de sa journée mondiale.
Fête du 8 Mars
Femmes :
Vous êtes la mère la compagne, la sœur
Je suis fier de vous porter dans mon cœur
Pour vous souhaiter un joyeux 8 mars
Je vous offre ce qu’il y a de meilleur
Mon amour à votre égard et de jolies fleurs
Vous méritez respect et reconnaissance
De tous les hommes de ce pays
Pour vos sacrifices et votre lutte pour l’indépendance
Et pour toutes les peines que vous avez subies
Dignes descendantes de N’soumer et El Kahina
Vous êtes les héritières de toutes les djamila
Bouhired et Belbacha, Ben Bouali Hassiba
Gaid Malika et Bouattoura et Fadhila
Et toutes celles parties dans l’anonymat
Mais des fleurs vous en aurez
Le 1er Mai, un gros bouquet de muguets
Promis : par mes pensées, je vous l’enverrai
En vous souhaiter Bonheur et santé
Et un avenir radieux, mais restez engagées
En investissant tous les métiers
Infirmières éducatrices ou députés
Mais sachez, et ne pas oublier
Que c’est l’Islam qui vous a libérées
Et une seule journée ne suffit pas pour vous Fêter
***************Ould Chamkha******************
رد: Ould Chamkha
Aujourd'hui, notre poète nous retrace la vie de Aami Salah Djeddi dit Benallaoua, ancien spécialiste de la santé à Ain M'lila, très connu par son humanisme et très respecté par toute la population de notre patelin pour service rendu à cette dernière
Prions Dieu le Tout Puissant de lui accorder sa miséricorde et l’accueillir dans son vaste Paradis
**********Hommage à ammi Salah Djeddi**********
-Il y a parmi des disparus
des hommes qu'on ne peut oublier
car ils ont marqué lors de leur vécu
des oeuvres tout au long de leur vie
Parmi eux Ami Saleh ben Allaoua
Harkati de souche mais son amour AIN M LILa
Bon vivant,noceur dans sa jeunesse,il s'est repenti
La Mecque il l'a visitée et devenu hadji
Infirmier modèle ,nul ne pouvait l'égaler
Disponible pour les démunis
"à l'oeil il les soignait"
chaque mot qui sortait de sa bouche
était un plaisir,et il avait la tronche
Supporter invétéré de l'ASAM
Il donnait un quolibet pour chaque quidam
C'était un noble malgré sa situation précaire
Toujours élégant dans sa tenue vestimentaire
C'était l'homme formé dans la vraie culture
Humble,bon et bienfaiteur de nature
Il a élevé des orphelins et en a fait des hommes matures
Infatigable il a bossé jusqu'à ses derniers jours
Intraitable dans ses principes ,il y tenait toujours
Jusqu'au jour ou la faucheuse s'est présentée
pour le ravir à tous ce qui l'aimaient
les amis les voisins et les vrais m'lilis
Dors en paix cher père et comme tu le disais"nenni nenni"
avec les justes et tes meilleures amis
Salah Khabale et Bensmaine Tati
********ould chamkha********
Salah Djeddi avec l'équipe de l'ASAM 47/48
La fête de l'accession de l'ASAM en division d'honneur 60/61
Trois M'lilis en France
رد: Ould Chamkha
NOSTALGIE
J'ai fait un rêve étrange
Je vais vous le relater
J'ai vu dans mes songes
des gens que j'ai jadis connus
J'errai sans but dans mon village
Quand j'ai rencontré des hommes, hélas disparus
En longeant la rue Khélifi j'ai aperçu ami Lakhdar Badri
Discutant avec son meilleur ami Lakhdar el halouadji
J'ai vu aziez boussouf,déjà à son labeur
Il préparait des confiseries qui dégageaient une agréable odeur
J'ai traversé la grande place
Pour me retrouver juste en face
Du café de rabiaa le cafetier
Des clients attablés à la terrasse
Du thé à la menthe, ils sirotaient
Plus loin j'ai rencontré des artisans
Toujours présents dans leur domaine
Abdelbaki le menuisier aidé par Larbi Demene
A côté,ami Derradji Médoukali
toujours souriant et plein de vie
Dans la zanka el hamra ,j'ai reconnu c'est sûr
Betous, grincheux, qui réparait toute sorte de voiture
Mais j'ai du revenir sur mes pas, car pris de peur
A la vue de Ladjoudane, qui vient de surgir
Je le connais sévère quand dans notre école, il était gardien
Il était craint par tous mes copains
Arrivé à hauteur du coiffeur ammi Bedda
Je croisais Aissa Kallab et Palomba
Ils riaient aux éclats, devinant mon désarroi
"Maricane: Mesbah est un homme gentil et de bonne foi"
Je baissais la tête et continuais mon chemin
Et voilà qu'au loin je vois des énergumènes
qui gesticulaient, c’étaient des drôles de phénomènes
Ces sacrés Kalabat, berrada et Rabiâ nioua
Qui se chamaillaient avec Derradji El Acima
En face ,Saci Maâtougui, toujours de son père accompagné
Avec son modeste etal, devant Lamari installé
Il se lève et d'un air sévère leur crie
Un peu de respect et soyez polis
Car vous êtes en train d'importuner
Hamiche Omar, ammi Zaoui et Ahmed el Mili
Et trêve de tant de bruit
Vous dérangez Salah Khabel Benabid et si Tidjani
Soyez discrets il ya Said el guirâa qui range ses fruits
Bouguerne et bentouil Azzedine sont outrés
Il ne manquait à l'appel que hadj amimi
Il devait être quelque part cherchant des enfants à embrasser.
J'ai fait un tour au centre
Et devinez qui je rencontre
Rabah guechgach et Lemnaour Khanoufi
Ils se dirigeaient vers le café Haboudji
Où les attendaient Naili et Bakha Derradji
Je continues mon errance sous souffler
E je persiste dans ma randonnée
Et llà je reconnais de nobles visages
Qui ont fait le bonheur de notre village
Amar Benaceur et Mostefa edjehaichi
Hemana Bouldjadj et Lamri Khelifi
Chérif elfayou et Hocine soualhi
Derradji djezzar et Berouag(Méliani )Ali
Mébarek ghéribi et Benabid Sebti
Enfin j'arrive dans mon café préféré
Chez Hamoudi ben Allaoua et Sebti
Et là je trouves tous les anciens héchaichis
El Hami ;Hamma Moussa et Ben ali
Dada Bekhouche et Allaoua ould Rahla
Mahmoud bourrehail et Moussa Labana
J'aurai bien voulu continuer mes investigations
Jusqu'au djenen Labidi
Où j'aurais trouvé sûrement
Tahar Berkane et Benmoussa Hamoudi
Mais mon rêve s'est soudain achevé
Car la voix du muezzin, de mon sommeil m'a arraché
Peut être qu'une autre fois
Je ferai le même rêve où je n'oublierais
Tous ceux que je n'ai pas nommer
Et qui dans ce beau rêve j'ai rencontré
Et à tous mes amis ne soyez pas offusqués
Si des fois des noms n'ont pas été cités
CE N'EST QU'UN REVE
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
ALLO, L'ELYSEE ?
Allô,Mr François Hollande ?
-OUI ,qui est à l'appareil?
-Je vous appelle du bout du monde,
Et désolé de vous tirer de votre sommeil;
Je viens juste demander des nouvelles,
De celui que vous aviez failli sacrifier,
Envoyer votre ministre au pays des cannibales,
Etait une idée hasardeuse et risquée.
Mais je tiens à vous donner un conseil :
Surveillez de plus près la santé de votre Valls,
Car le tapis rouge était infecté,
Gale ou paludisme,il peut les chiper.
-Non,merci il est sain et sauf,
Il a même assisté au congrés du CRIF.
-Ah tant mieux Mr Mitterand,Oh pardon,
Toi et votre tonton,portez le même prénom
(je m'excuse pour cette bourde sincèrement)
Tous deux,amis de BHL et les bourreaux de GAZA
Normal,que vous souteniez le sionisme et la Chora.
-Oui "les pauvres juifs"ont beaucoup souffert,
Par la faute des nazis et Hitler.
-Mais ce n'est pas un acte de repentance ?
Car il parait que c'était la faute à la France;
"Ces pôvres" ont été livrés aux allemands,
Par votre pu..(pardon) Pétain de maréchal
-Oui, mais toutes les guerres sont sales,
Il y a toujours fautes et errements.-
-Alors,je vous quitte Mr le Président,
Et prenez soin de votre Valls.
-Mais il est toujours ouvert et disponible,
-Mais je ne parle pas de votre hôpital,
Mais de votre ministre ce misérable,
Ne plus mettre sa vie en péril.
-Une dernière question,Mr le Président,
Pourquoi vous êtes encore célibataire?
Vous avez légalisé le mariage mixte,
Il est temps de choisir un partenaire.
Pour vous accompagner dans vos visites.
-Mais non ! je suis en bonne compagnie.
-Ah,j'ai oublié la concubine de votre vie,
Vivez dans le péché et l'adultère cher ami.
MAIS EVITEZ DE RMETTRE LE PIED EN ALGERIE.
Ould Chamkha
رد: Ould Chamkha
TOUT SONGE EST MENSONGE
Par un jour printanier du mois de Mai,
Mon fiston me demande d’aller faire un tour,
Dans notre cité et ses luxueux faubourgs,
Je le prends par la main, et commence à déambuler
Les rues sont propres et soigneusement lavées
Comme au bon vieux temps de Si Omar et sa sévérité.
Les trottoirs sont dégagés,on pouvait facilement y circuler
Les allées,par de beaux arbres,sont ombragées.
On était protégé du soleil et sa chaleur
Les magasins sont attirants et achalandés
Les propriétaires souriants et au grand cœur
Avec politesse et gentillesse nous accueillaient.
Arrivé devant l’ancienne gendarmerie,
Ce lieu,témoin de sévices et tortures de l’ennemi,
SUPERBE !la caserne a été transformée en musée,
Tous les grands et petits sont là pour la visiter.
On leur apprenait que c’est dans ces lieux
Que furent torturés et éxécutés nos aieux.
Je continue ma tournée pedestre jusqu’à l’école de garcons
En face il y avait une sinistre prison.
Mais elle sert dorénavant de lieu d’expositions
Je pénètre sans tarder,et sur les murs et frontons,
Trônaient des toiles,de peintres émérites
Des frères Khounfais et leurs œuvres inédites.
Passé un moment,je prends une autre direction
Vers le monument aux morts,cet bel édifice !
Où sont gravés les noms des morts pour le sacrifice.
Juste derrière,un terrain de boules et une pelouse bien entretenue,
En face du palais de l’injustice ,qui en ruines tombait.
Il fût retapé à neuf et transformé en bibliothèque,
Je me hasarde dans ce sanctuaire magnifique.
Toute une gamme de livres d’auteurs de renom
Traitant de tous les sujets,et tous intéressants
Mais celui qui retient mon intention
C’est le bel ouvrage de « notre Salih »La rage des amants.
Une fois ma curiosité satisfaite,
Je me dirige vers la salle des fêtes,
De belles notes de musique fusaient dans l’air,
Enfin elle a retrouvée sa vocation de naguère.
Je fais un crochet par la voie ferrée,
Stupéfaction :on a replacé les rails,
La gare est animée et de monde elle grouillait.
On a même installé des passerelles,
Pour accéder à la pépinière,
Là où des familles entières
Sont en train de pique-niquer ;
Tout en lorgnant un oeil vigilant
Sur leur marmaille et comportement.
Voilà que j’entends la voix d’un ami sympathique
Qui me propose d’aller aux champs des courses hippiques ;
QUOI ? même « el kors est là » c’est fantastique !
Sur qui vas –tu miser ? –L’étalon de ELFAYO
Il parait que c’est le meilleur de tous les chevaux.
(entre nous il était toujours dernier du bataillon)
Soudain je sens une main qui se manifeste,
Elle me tire par le pan de ma veste ;
« Pépé : il est huit heures moins le quart,
Tu dois m’accompagner à l’école,il se fait tard
C’est à ce moment,sorti de ma torpeur,que j’ai réalisé
Que j’étais dans les bras de Morphée et que je rêvais.
Une fois me trouvant dehors,
Mon nez fût envahi par une drôle d’odeur,
Sur le trottoir et par la faute des éboueurs,
Jonchaient des sacs noirs et pleins d’ordures,
Ils sont tous éventrés depuis trois ou quatre jours
Et c’est la réalité de notre vécu de toujours.
Par un jour printanier du mois de Mai,
Mon fiston me demande d’aller faire un tour,
Dans notre cité et ses luxueux faubourgs,
Je le prends par la main, et commence à déambuler
Les rues sont propres et soigneusement lavées
Comme au bon vieux temps de Si Omar et sa sévérité.
Les trottoirs sont dégagés,on pouvait facilement y circuler
Les allées,par de beaux arbres,sont ombragées.
On était protégé du soleil et sa chaleur
Les magasins sont attirants et achalandés
Les propriétaires souriants et au grand cœur
Avec politesse et gentillesse nous accueillaient.
Arrivé devant l’ancienne gendarmerie,
Ce lieu,témoin de sévices et tortures de l’ennemi,
SUPERBE !la caserne a été transformée en musée,
Tous les grands et petits sont là pour la visiter.
On leur apprenait que c’est dans ces lieux
Que furent torturés et éxécutés nos aieux.
Je continue ma tournée pedestre jusqu’à l’école de garcons
En face il y avait une sinistre prison.
Mais elle sert dorénavant de lieu d’expositions
Je pénètre sans tarder,et sur les murs et frontons,
Trônaient des toiles,de peintres émérites
Des frères Khounfais et leurs œuvres inédites.
Passé un moment,je prends une autre direction
Vers le monument aux morts,cet bel édifice !
Où sont gravés les noms des morts pour le sacrifice.
Juste derrière,un terrain de boules et une pelouse bien entretenue,
En face du palais de l’injustice ,qui en ruines tombait.
Il fût retapé à neuf et transformé en bibliothèque,
Je me hasarde dans ce sanctuaire magnifique.
Toute une gamme de livres d’auteurs de renom
Traitant de tous les sujets,et tous intéressants
Mais celui qui retient mon intention
C’est le bel ouvrage de « notre Salih »La rage des amants.
Une fois ma curiosité satisfaite,
Je me dirige vers la salle des fêtes,
De belles notes de musique fusaient dans l’air,
Enfin elle a retrouvée sa vocation de naguère.
Je fais un crochet par la voie ferrée,
Stupéfaction :on a replacé les rails,
La gare est animée et de monde elle grouillait.
On a même installé des passerelles,
Pour accéder à la pépinière,
Là où des familles entières
Sont en train de pique-niquer ;
Tout en lorgnant un oeil vigilant
Sur leur marmaille et comportement.
Voilà que j’entends la voix d’un ami sympathique
Qui me propose d’aller aux champs des courses hippiques ;
QUOI ? même « el kors est là » c’est fantastique !
Sur qui vas –tu miser ? –L’étalon de ELFAYO
Il parait que c’est le meilleur de tous les chevaux.
(entre nous il était toujours dernier du bataillon)
Soudain je sens une main qui se manifeste,
Elle me tire par le pan de ma veste ;
« Pépé : il est huit heures moins le quart,
Tu dois m’accompagner à l’école,il se fait tard
C’est à ce moment,sorti de ma torpeur,que j’ai réalisé
Que j’étais dans les bras de Morphée et que je rêvais.
Une fois me trouvant dehors,
Mon nez fût envahi par une drôle d’odeur,
Sur le trottoir et par la faute des éboueurs,
Jonchaient des sacs noirs et pleins d’ordures,
Ils sont tous éventrés depuis trois ou quatre jours
Et c’est la réalité de notre vécu de toujours.
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