Un poète amateur M'lili

LA MORT AU BOUT DU SOURIRE

J’ai vu fleurir  l’espoir dans ton regard.
J’ai senti sur ton lit l'odeur des printemps heureux.
J’ai vu briller, le soleil éternel dans ton sourire.
J’ai entendu murmurer dans ta voix le glas de l’adieu.

Ton cœur qui allait s’éteindre dans un flot d’agonies.
Caressait le songe de voir reverdir tes beaux jours.
Dont reste un parfum, quand tes ans se font vieux.
Que la mort passagère, a promis au registre du retour.

J’ai vu frémir tes lèvres parées de leur sourire.
,  Le regard errant, perdu dans l’immensité de l’infini
  Tourné vers le néant à la recherche de ta demeure
Dans une avalanche de soupires sans bruit

J’évoque de ton visage, cette larme perdue sur ta joue
 Qui immortalisa l'instant de ton départ et son fatal naufrage.
Emportant tristement tes plus belles années dans ses remous.
J’ai su alors! que dans la vie. La mort n’est qu’un très proche rivage.



CE POÊME EST POUR KHALTI AKILA( NEE KOUACHI )QUE DIEU L’ACCUEILLE DANS SON VASTE JARDIN.EPOUSE DU DEFUNT ALLAOUA ABABSA QUE J’AI VUE MOURIR DEVANT MES YEUX EN ME PARLANT, TOUT EN ME SOURIANT.

A DIEU NOUS APPARTENONS ET A LUI NOUS RETOURNONS


MOHAMED-LAKHDAR DAMMENE DEBBIH

LE TRAIT D'UNION

Je viens des ténèbres profondes, sans bruit.
J'ai chevauché les lianes ondulées de mon labyrinthe.
Recroquevillé dans ma bulle, je déguste mon fruit.
Heureux, perdu dans mes valses incessantes

Bercé aux battements du cœur, de rivage en rivage.
Je batifole, plein de songe, me lovant de bonheur.
Sous les caresses des mains, prêtes à l'abordage
En attendant arriver mon heure.
.
flatté par les plus doux compliments.
Les voix fusent et se mêlent aux sentiments.
Proférant ingénieusement de jolis prénoms.
Ils attendent impatiemment l’instant imminent.

Quand la lumière du jour illumina mon corps frêle.
  A peine tombé dans leurs mains agitées.
'Ils savourèrent déjà leur bonheur au goût du mie.
En s’embrassant heureux car leur lien d’amour est né.


        MOHAMED-LAKHDAR   DAMMENE DEBBIH.
MERCREDI 9 OCTOBRE  2013  23H : 53.

LA SIRÈNE DE MES RÊVES

Au loin où crèvent les vagues dans les bras du silence.
J’entends gémir le souffle du vent qui s’étend sur l’océan.
 mêlé à une voix séduisante et enchanteresse
Qui inonde les cœurs d’une langueur sans raison.

Mélodieuse et cristalline sur la mer endormie..
Elle me dit!garde tes rêves, tu n'en auras pas de si beaux .
M’offrant sa grâce puis s’efface par la brume infinie.
Une beauté angélique noyée dans les fonds abyssaux.

Ô !!Belle créature. Ma peau frémit de plaisir.
Peut-on rester insensible devant ta beauté hallucinante.
Lorsque ton murmure insidieux brûle de désir.
Les âmes imbues de ta prestance fringante.

Ceux qui t'ont suivie ont péri au royaume de la folie.
Ta voix berceuse jaillit du néant et se perd dans l'infini.
Ton chant fatal porte le glas des prismes de phobie.
Pourtant, tu as de l'amour pour celui qui te sera soumis

MOHAMED LAKHDAR –DAMMENE DEBBIH



DIMANCHE. 20 OCTOBRE 2013 ( à 1h 12 mn du mati

PROMESSES D'AMOUR

Un amour né d’un âge lointain, qu’ils croyaient déjà fini.
Ravivé par le souffle immortel du temps voyageur.
Dans sa marche triomphale, bravant l’impossible destin.
Quand sa force soulève les passions de leur désir rageur.

Ils se sont jurés amour et fidélité, comme gage éternel.
Ils étaient l’un pour l’autre, l’amour promis qu’ils ont  espéré.
Imaginant une vie sublime, comme dans un roman passionnel.
Nourris de songes errants et de bonheur rêvé.

Pour elle, il est une coulée de miel sur ses lèvres veloutées.
Pour lui, elle est le feu qui vacille dans ses yeux.
Qui ne s’éteindra jamais par des larmes désabusées
Leurs lèvres saignent de mots  d’amour merveilleux.

Ils ont vécu par la force de leur amour .
En bravant les limites de leur foi immortelle
  Et le confièrent au destin, amoureux de leur sort.
En s’y perdant volontiers dans son désert cruel.

Ils ont vu grandir leur rêve, dans un  immense bonheur.
  Sur les rives de leur entente idyllique et leurs folles espérances.
Même les obstacles à leurs pieds, s’écroulent en poussière.
Que soufflera le vent en pâture, à leurs lointaines souffrances.

Pour leur ineffable amour qui a refusé de mourir .
Pour l'avoir vu germer et fleurir dans leurs cœurs.
Je trempe mon pinceau décorateur dans leurs souvenirs.
Pour peindre leur magnifique tableau sur une  toile légendaire.

Mohamed lakhdar :dammene debbih.
Lundi 11 nov 2013 à 3h du matin.

LE TEMPS DE MES VINGT ANS

Comme une pomme dans son mûrissement.
J’admire ma silhouette perchée sur mes vingt ans.
Le regard langoureux, mire mes heureux printemps.
en croquant la belle vie à pleines dents.

Dans mon épanouissement éclatant de grâce.
Que je t'aime ô!! frivole jeunesse
Quand tu excites mes folles espérances.
De tes caresses libidineuses, en finesse.

Comme la mer et la lune et leurs nuits d'amour.
Ivres de baisers dans les bras de l'aurore.
De mon paradis, je vois reverdir mes jardins.
Les roses aux oreilles et les cheveux au vent.

J’ai vécu de tendresse et d’amour infini.
J'espère voir me revenir ce que tu as défraîchi.
Ô!!Temps dévastateur de mes plus beaux bourgeons.
Qu'a tu fais de leurs magnifiques fleurons?

J’avais juste vingt ans,encore jeune, fou heureux.
Q'aurais je fait Pour ne pas grandir et être déjà vieux ?
Les années passent inaperçues, cueillir leur fruit.
Puis vient la vieillesse flétrir les âges sans bruit.

Quand ma prestance se réduit à sa juste faiblesse.
Comme une rose fanée, délestée de sa noblesse.
J’évoque de mon passé, mes souvenirs immortels.
Que le temps ensevelisseur a promis à l'oubli cruel.

L’âge est venu donner un baiser mortel à ma mémoire.
Je deviens ce vieillard témoin d'un présent sans gloire.
J’entends gémir en lents sanglots ma jeunesse incarcérée.
Vide d’espoir, perdue à jamais dans son glorieux passé.

J’AVAIS ALORS VINGT ANS. Jeudi 7 novembre 2013 à 2h30 du matin

MOHAMED-LAKHDAR / DAMMENE DEBBIH

Ce que doit un poète à son ange

Lorsque ma mémoire s’évade dans les rêves.
Où fuient toutes mes pensées et se noient.
jaillit ton ombre du néant puis s’efface et crève.
Comme un nuage errant que disperse le vent au loin.

Aucun bruit ne trouble le silence du soir.
Qui étend ses voiles sur le toit de l'univers.
Quand surgit ton souffle pourvoyeur d'espoirs.
Pour escorter mes souvenirs vers le paradis vert.

Tu es l'ami qui donne sans compter.
La muse chérie qui illumine l'esprit.
Tu as été ma raison d'être et ma fierté.
Et jamais je n'oublierai ce que tu as fait de ma vie.


Notre idylle flatte l'oreille et séduit l’imagination.
Tu m'as fait revivre le passé promis à l'oubli.
En me rappelant le sens de la vie et ses sensations.
J'ai vécu de ton élixir que gardera le temps qui s’en va.

Ton inspiration exhale les parfums de la nostalgie.
Qui embaument les souvenirs et les mémoires.
Que je garderai aussi longtemps d'une fin déjà sue.
Pour toi, j'érigerai les plus belles stèles de lumière.

Tu as guidé mes pas vers d'autres horizons.
Aux portes de ton immense et mystérieux sérail.
Que j'ai vite choisi et aimé sans raison
Pour y dormir toutes les nuits jusqu'à mon réveil.

         Je ne sais comment te remercier pour une dernière fois. Ô !!!!!ange de mes rêves fous.
   MOHAMED –LAKHDAR           DAMMENE  DEBBIH.
                           MARDI  26 nov 2013 à 2h35mn de la nuit

LA POÉSIE !!MA FOLLE PASSION
 
Durant de longues nuits, je pense à mes écrits.
A ce que je vous dis. Vous!! lecteurs assidus.
A mes pages endormies, pour les rendre animées.
Leur donner âme et musicalité par des rimes appropriées.

pourtant, je ne suis ni écrivain passionné ni poète fou.
Je marie quatrains et alexandrins à la douceur des goûts.
C’est mon plaisir d’égayer les âmes meurtries.
 En les voyant réconciliées et unies

Elle donne l’espoir et l’envie, de croire  à la vie.
Les dépeint à nos humeurs sans délai ni préavis.
En chassant tous les maux qui hantent les mémoires.
Et les semer à l’abandon aux divers commentaires.

Elle Alterne  joie et tristesse, tout comme la vie
C’est elle mon ombre poésie, qui me suit où je vais.
Et me tient compagnie dans mes douleurs et mes chagrins.
En titillant mes sens qu'elle caresse avec douceur et entrain

Amie fidèle et intime à mon âme et à mon cœur.
Elle redonne l’éloquence à mes écrits enjôleurs.
Elle est ma passion et ma source d’inspiration
Un rai de vérité sur l’immonde et imparfait présent.

Véritable catalyseur, d’où s’échappent les mots probants.
 Parfois doux et tendres et des fois durs et affligeants
Aucune autre rime ne sera plus belle dans ma voix
Que celle qui soulagera les tendres cœurs en émoi

Je ne suis pas écrivain et je ne suis pas poète
Mais je le suis par ambition seulement dans ma tête.
Car j’adore tous ces doux et jolis mots qui font rêver.
Qui font chanter les âmes et adoucir les peines de la mal vie.

  Mohamed Lakhdar Dammene Debbih

La chanson des vieux amants

C'est un vieux souvenir d’enfant, vague pourtant
Qui les a réunis un jour à la croisée des chemins
Un vieux rêve d’enfant plus fort que profond
Allait changer le cours de leur incroyable destin.

Ils vivaient de souvenirs des mots de tous les jours
Enfuis dans leurs vieux rêves depuis longtemps.
Un vieux souvenir d’enfant, vague pourtant.
Allait immortaliser en lettres d’or leur amour
.
Un souvenir empoussiéré d'une photo froissée
Déclencha un jour leur folle envie.
De revenir sur les traces du lointain passé
En remontant leur idylle romanesque inouïe.

Un vieux souvenir d’enfant, vague pourtant.
Les jeta au hasard d’un soir de printemps.
L’un en face de l’autre comme par enchantement
Émus et si heureux ,à la croisée de leur chemins
.
Faces à leur vieux souvenir d’enfant.
Dans un profond élan de sincères sentiments.
Unique violon de leur magnifique chanson.
Que leur fredonnent les cordes de leur rêve d'antan.
.
Une merveilleuse plume aux doux sentiments.
  A gravé dans les mémoires et les cœurs.
leur unique souvenir d’enfant, vague pourtant.
Qui a donné de la valeur à leur immense bonheur.
.
MOHAMED-LAKHDAR DAMMENE DEBBIH
MSILA LE 07/12 2013 à 5h 53mn du matin.
Bon baiser de msila à TOUS CEUX QUE J’AIME.

Les braises de la rancune

Dans ma colère aveugle, jaillit le passé.
Empruntant le sentier saignant de mes blessures.
J’aspire à la quiétude, sans jamais trouver la paix.
Quand la raison s’éteint en un douloureux soupir

Mon esprit devient alors une arme à double lame.
Des pensées noires envahissent mon âme hideuse.
Les yeux enivrés de toutes ces visions infâmes.
Je deviens vite cet outil idéal d’une créature affreuse.

Dans sa gueule, la haine s’empare de moi et m’engloutit.
Elle m’offre en proie facile à sa laideur immonde.
Sans pouvoir lui résister. Résigné à sa volonté.
Victime de mon sale esprit rétrograde.

Lorsque mon ire se calme, c’est du dégoût à la nausée.
Dans ma tête, tout ce bouillonnement commence à s’apaiser.
Je panse par les mots, ce que tous ces maux m’ont causé.
En me disant avec regret. Je n’aurai jamais dû être rancunier.

MOHAMED –LAKHDAR ….. DAMMENE DEBBIH.
Dimanche 08 décembre 2013 à 0h /20 mn..

Je serai une lumière sur ton chemin

Je serai toujours là pour toi, à coté de toi.
Je suis dans ton cœur et dans tes souvenirs.
Tu liras chaque soir mes écrits, des fois et des fois.
Qui resteront longtemps gravés dans ta mémoire.

Tu comprendras tout ce qui vient de moi.
Mon amour infini, ma tendresse et ma sincérité.
Sans pouvoir les partager, ni les divulguer à qui que ce soit.
Ils resteront peints sur la toile de tes rêves pour l’éternité.

Quand tombe la nuit sur tes ruines aux souvenirs brûlants .
Jailliront de leur cendre, les braises de ton vieux bois.
  Que consumera l'aurore, ainsi que tes rêves moribonds.
   Viendra alors le soleil musarder dans ton univers vide sans moi.

Je suis Morphée qui t’emportera dans ton sommeil.
Et qui t’apportera des rêves de toutes sortes.
Je suis le doux et lyrique murmure de tes réveils
 La brise qui se glisse chaque matin sous ta porte

Je suis l’or du soir qui inondera ton crépuscule.
Le silence profond de la nuit qui bercera ta mémoire
Je suis l’esprit qui te guidera dans ce monde versatile.
 Ton cœur d’amour qui battra au rythme de tes espoirs

Ce qui te restera de moi, mort ou vivant!! de bonheur et de plaisir.
 Coulera toute ta vie, en océan de rêves incomparables et sans fin
Dans ta mémoire et ton regard qui les meubleront en beaux souvenirs.
Car je serai pour toi, une éternelle lumière dans ta vie et sur ton chemin
..

MOHAMED-LAKHDAR …….DAMMENE DEBBIH.

Sur les rives de mon cœur

Que de rêves ont fleuri aux creux de mes souvenirs.
A la recherche de tes horizons, sans voir ton reflet.
Qui se perd dans le néant et s'y noie sans gémir.
Comme mon cœur qui s’éteint de chagrin. Étouffé.

Je veux donner sans recevoir, juste pour te dire.
Je garde l'espoir, Qu’un jour je reviendrai pour toi.
Et faire taire ma tendre nostalgie en pleur.
Dans les bras de tes beaux printemps, ivre de joie

Comment consoler mon âme de son deuil profond?
Comment fuir du silence si lourd et son présage?
Ah !! Si je pouvais remonter au moins le temps.
Et revenir sur tes rives aux merveilleux paysages.

J’attends qu’au loin, se lève ta voix et me parle.
En espérant se réaliser mon rêve d'enfant
J’attends te voir me prendre dans tes bras.
Et me dire. J’ai entendu ton oraison.

J’attends que mon piano se réveille de sa pénombre.
Pour se mettre à fredonner nos vieux refrains.
 QUI s'élèveront des AURES ;leur sépulcre au passé sombre
Jusqu'au Djurdjura, leur aurore aux couleurs de l'airain

ALGÉRIE!!Ton nom m’emporte loin sur les quais
Où accostera un jour dans les rumeurs des vieux ports.
Mon grand rêve .que la nostalgie a sculpté dans mes nuits
Pour me ramener sur les rives lointaines de mon cœur.

MOHAMED LAKHDAR /DAMMENE DEBBIH

JE M'EN VAIS

Je vous ai tant aimés, sans vous le dire assez.
Ma plume à ma place saura vous le montrer.
J’ai veillé les plus longues nuits à me surpasser.
Pour dépeindre ce que j'ai de beau à divulguer.

J’ai foulé vos âmes, vos mémoires et vos cœurs.
De ma plume légendaire, serviable et dévouée.
Par des proses rimées, d'un troubadour rêveur.
Comme une coulée de miel sur vos lèvres veloutées.

J’ai tant de belles choses à vous dire encore.
  En beaux souvenirs pour les mémoires.
vous êtes si beaux dans mes rêves de tous les jours.
Quand vient le silence dénicher son refuge dans le noir.

Je viens les yeux humides, le cœur plein d’espoir.
Vous revoir un jour et vous étreindre dans mes bras.
Et me parfumer aussi longtemps de vos odeurs.
Qui me rappelleront notre chère amitié qui me manquera.

Je m'en vais le cœur si lourd,en vous laissant ce beau recueil.
Ma plume légendaire éplorée, qui déverse ses chants d'amour.
Que les mémoires nostalgiques enfourcheront pour le deuil.
Et mes sentiments indélébiles et ineffables pour toujours.

Je pars la gorge serrée et le cœur blessé.
ma voix étouffée, frissonne de tristesse.
Éperdu dans un lent sanglot de larmes froissées.
Qui resteront une belle symphonie dans toute son ivresse.

 Je vous évoquerai dans mes rêves et dans mes souvenirs.
J’érigerai pour notre sincère amitié une stèle en mots d'amour .
Sur les rives de mon cœur où reviendront vos âmes pour y mourir.
C'est mon souhait ,c'est mon rêve qui me laissent dire je vous adore.

 Je suis un océan où naviguent les plus beaux voiliers.
Mon cœur est votre idyllique rivage au sable doré.
 Et ma voix sera le chant d'une sirène émerveillée.
Qui vous mènera  où le soleil se lèvera à l'éternité.

Je vous ai tant aimés et admirés pour tout ce que vous avez fait. Je m’en souviendrai longtemps. F/B me l’a
 appris. Il nous a même réunis et permis de tisser des liens très forts en amitié qui ont meublé notre si belle vie J’abuse un peu trop peut être de toutes ces belles paroles que je déniche volontairement au plus profond de mes
pensées et qui attestent de la bonté enfuie parfois quelque part dans un coin de nos cœurs quoique prenant souvent des inclinaisons qui penchent vers l’hypocrisie, la sournoiserie et surtout l’arrogance béante. Excusez ma franchise. Telle est ma ligne de conduite, apprenez à me connaitre tel que je suis
Je suis sûr que vous aurez la sagesse d’apprécier mes qualités et d’accepter mes défauts car je n’en ai
Pas moins que vous. Je le dis sans aucune animosité seulement pour apprendre à se pardonner. Je pense vous avoir comblés de poésie. Nous avons fondé une si belle famille,nourrie par la foi, L’amour fraternel, la tendresse l'amitié sincère et la volonté de l’inscrire dans le temps. Je vous évoquerai dans mes souvenirs et mes écrits pour en faire ma source d’inspiration.
MOHAMED –LAKHDAR DAMMENE DEBBIH. Le12 déc 2013 à 19h 15mn

Un peu plus de prose pour voir la vie en rose

Eclairons leurs esprits.
DE nos écrits, ils sont épris.
Soulageons leurs cœurs.
Offrons leurs ces instants de bonheur.
Ils ont longtemps vécu le sevrage.
Donnons-leur l’immensité de leurs mirages.
Ils sont loin de tout être à aimer.
Personne à qui dire leurs tendres mots.
Personne à qui offrir des fleurs et leurs baisers.
Donnons leur ce dont ils ont besoin.
Nos plumes reconnaissantes et amoureuses.
S’inclinent devant leurs mérites, pleureuses.
Donnant des ailes à notre inspiration, pourtant capricieuse.
Leur passion de nous lire.
Caresse l’espoir de les servir.
De leur fidélité à toute épreuve.
Naissent nos plus beaux vers.
Perdus dans les mémoires de leurs blessures profondes.
Leurs regards enivrés, d’errance vagabondent.
Donnons-leur encore et toujours.
Leur dose de prose de tous les jours.
Tirons-en comme vous dites les conclusions.
En prenant la sage décision.
Car le manque de prose.
Les priverait de rêver en rose.
Et pour accéder à leur besoin en prose.
Accueillons-les dans nos jardins de roses.
Et laissons-les s’enivrer à profusion, de notre nectar de prose.

La lumière éternelle

Je suis le souffle de l’éternel.
Descendu du septième ciel.
En moi. La nuit du destin est ancrée.
Le vingt septième jour du mois sacré.
J’ai chevauché l’ange GABRIEL.
Porté par les lumières dorées de ses ailes.
Invité- surprise d’un alphabet.
A qui je porte mes premiers versets.
En traversant les sept cieux.
Pour lui lire la parole de DIEU.
Par une mémorable nuit, dans sa grotte de HIRA.
Dans son profond sommeil, GABRIEL lui dira.
Lis au nom de ton DIEU.
Jusqu'à la fin du verset prodigieux.
Dans mon passage vers la terre.
Je fus salué par tout l’univers.
Je suis une étincelle de sa lumière.
Venue purifier vos âmes et vos cœurs.
Je suis le souffle spirituel de vos esprits.
Je sonne dans vos oreilles sans bruit.
Je suis la piété des cœurs et leur remède.
La lumière des pieux et leur guide.
Je renferme soixante HIZB et cent quatorze sourates.
Subdivisés savamment  en six mille deux cent dix neuf ÂYÂT.
Je le CORAN que vous devez apprendre par cœur.
Pour pouvoir accomplir vos cinq prières.
De vos cœurs, j'ai fait mon refuge éternel.
Contemplons ses œuvres sempiternelles.
Et prosternons nous et tous les anges.
En guise de remerciements et de louanges.
Devant le seul créateur. Faiseur des miracles.
En lui restant à jamais fidèles pour son ORACLE.
Je suis le SAINT CORAN, je suis l’hymne de l’éternel.
Entonné par la voix de ABDELBASSET-ABDESSAMAD l’immortel.
[b]
                           MOHAMED-LAKHDAR    DAMMENE DEBBIH.
jeudi 19 décembre 2013 à15h 26mn


                                                                                                             

le RÊVE

Mes yeux errent à tout vent.
Je revois bien souvent.
Sous mes paupières closes.
Le château de mes rêves en prose.
à qui mes souvenirs sont liés.
Enterrés dans son jardin de peupliers.
Sa source limpide à la mousse embellie.
Où je m'en allais boire l'eau de l'oubli
Dans ma solitude, rêvant dans mes souvenirs.
Égaré à l'ombre de ses délires.
Heureux de tout ce qu'on s'est dit.
Émerveillé par ce qu'il m'a prédit.
Mes yeux errent à tout vent.
Comme d'habitude, j'attends souvent,
Se lever mon soleil d'il y a longtemps.
Pour m'annoncer le retour du bon vieux temps.
Je vis dans l'attente et l'espoir profond.
Qu'un jour, je t'ouvrirai mes bras tout grands.
Hélas.Désormais Tu m'es ravi à vie.
à mon réveil, l'espoir s'éteint sans bruit.
La nuit est un épouvantable leurre.
Un monde fait de rires et de pleurs.
Je ne vois plus briller son étoile.
Qui n'est pas à son rendez vous habituel.
Dans mon âme, l'espoir s'est amenuisé.
Mais dans mon cœur, comme sur sa tombe.
C'est pour l'éternité que son nom est écrit.

Mohamed lakhdar. Dammene debbih .
Mercredi 18 Décembre 2013 à 3 h / 7mn

L’appel du retour

Vers les horizons lointains ou se perdent les regards.
S’évade ma mémoire à la recherche des souvenirs.
mes lèvres balbutient les tendres mots enfuis quelque part.
Rangés par l’oubli qui ensevelit le passé et ses doux murmures.
C’est l’appel du retour.
Sur mon visage ridé par les temps durs qui passent.
Témoignent mes cheveux blancs qui annoncent ma vieillesse.
Je longe les Chemins du retour au gré de ma vieillesse.
En remontant le temps qui semble avoir perdu ses traces
C’est l’appel du retour
Sur les rives dorées de mon cœur, par la foi et la tendresse.
Bercées par la folie d’une radieuse jeunesse.
Accostaient autrefois, l’amour la joie et autant d’espoir.
Ne sont plus qu’un rivage, noyé dans le silence et le désespoir.
C’est l’appel du retour.
préparons nous déjà au retour incessant et sans délai.
Vers l’éternel le tout puissant, seul maître de la vie.
L’existence arrivera un jour à sa fin, c’est notre devise.
C’est la loi divine, c’est notre retour à la terre promise.

Sur les rives de mon cœur

Que de rêves ont fleuri aux creux de mes  souvenirs.
A la recherche de tes horizons, sans voir ton reflet.
Qui se noie dans le crépuscule sans gémir.
Comme un cœur qui s’éteint de chagrin, étouffé.

Je veux donner sans recevoir, juste pour te dire.
Plein d'espoir. Qu’un jour  je reviendrai pour toi.
Et faire taire ma tendre nostalgie en pleur.
En me blottissant dans tes bras fou de joie.

Comment consoler mon âme de son deuil profond?
Comment fuir le silence pesant et son présage.
Ah !! Si je pouvais remonter au moins le temps.
Et revenir sur tes rives  aux merveilleux paysages.

J’attends qu’au loin, se lève ta voix et me parle.
Quand dorment mes rêves là bas à l’horizon.
J’attends que tu viennes me prendre dans tes bras.
Et me dire dans un élan de joie. J’ai entendu ton oraison.

J’attends que mon piano se réveille de sa pénombre.
Pour se mettre à fredonner nos vieux refrains.
J’irai à travers les cèdres du Liban, chercher ton ombre.
J’irai sur l’Himalaya, admirer ton coucher aux couleurs de d’airain.

AIN-MLILA !! Ton amour m'emporte loin sur les quais.
Où accostera un jour dans toutes ces rumeurs du vieux port.
Balancé par la mer pleureuse dans son déferlement effréné.
Mon beau rêve. Pour me ramener  sur tes rives fleuries.
                   
                             MOHAMED LAKHDAR   /DAMMENE DEBBIH.

Sur le quai de mes souvenirs

Dans le ciel, où se perdent en amas des nuages noirs.
Errent mes souvenirs à la recherche de leur dernier quai.
 Enfui quelque part dans un coin de ma mémoire.
Par un mémorable jour du mois de mai.

Tous les autres souvenirs non moins beaux.
N'ont droit qu’à leurs passagers coléoptères.
Mais celui qui dort en moi et qui vaut plus que tout.
Ne s’effacera pas comme s’effacèrent les autres éphémères.

Un souvenir dont l’ombre plane toujours sur ce quai.
 Pour lequel le ciel a enfourché sa triste monotonie pour le deuil.
Son épitaphe érigée au dessus de toutes les autres, désormais.
Restera éternelle, où s’étend mon rêve comme une feuille.

Ainsi, quand un tel souvenir se cache à ses pieds et meurt.
Le soleil passera sur son sépulcre, où il s’incline.
Pour lui seul. Se levant fidèle dans son éclatante lumière.
Pour faire luire sa tombe et raconter sa légende sublime.

C’est sur ce quai qu'ils prennent tous les soirs place.
Pour prendre chacun une destination diverse.
Mais le plus beau de tous est différent, de couleur et de race.
Qu'un train en ballerine de fonte a pris sans laisser de trace.

Emportant dans son déferlement ces belles attentes.
En les noyant dans le ciel en larmes et les nuages noirs.
Tous disparaîtront les uns après les autres dans une mort latente.
Seul le sien encore vivant, embellira le musée de ma mémoire.

Dans le gris du ciel, où crèvent en flots ces nuages.
Seront enterrés tous les autres souvenirs, épars.
Seul le sien, dont je garde sa douce voix et son beau visage.
Qui me rappelleront tristement son éternel départ.

                  MOHAMED-LAKHDAR….DAMMENE/ DEBBIH.
                               Dimanche 22 décembre 2013 à 18h 59mn.

Je vous écris

Je vous évoquerai un jour dans mes souvenirs.
Quand nos vieilles plumes seront muettes.
Je vous verrai dans mes rêves et mes délires.
Lorsque mes yeux cesseront de voir vos silhouettes
.
Je garderai à l’infini, mes sens en éveil.
Pour sentir gémir de nostalgie, nos âmes fantômes.
Qui dorment à l’horizon de ces dunes rangées en bataille.
Où s’élèveront en poussière, leurs ombres aphones
.
Au crépuscule de nos mirages ultimes.
Dans un décor flamboyant qui sonnera nos glas.
Je vous parlerai de ma mort dans un ballet pantomime.
Quand la parole s’éteint dans ses derniers éclats
.
Nous reverront un jour peut être, reverdir nos ruines.
Dans nos rêves, à travers le suaire de la beauté mortelle.
Quand le souffle immortel de la voix divine.
Ravivera la flamme de notre amitié fusionnelle
.
Je vous écris, triste et le cœur si lourd pour vous dire.
  Que vous me manquerez, Pour vous avoir tant admirés   .
J’écrirai en mots d'amour ce roman dans mes souvenirs.
Que j’évoquerai même après ma mort. Pour l’éternité.
                                             
MOHAMED/ LAKHDAR …DAMMENE DEBBIH.
Mercredi 25 décembre 2013 à16 h 20 mn.

J’ ai vraiment aimé et admiré vos nobles qualités. Comme j’ai accepté vos défauts que je n’en ai pas moins que vous d’ailleurs.
Je m'en vais aujourd’hui en vous laissant mes écrits et toute ma poésie qui j’espère vous ont divertis  et vous ont donné un aperçu sur ma modeste vie et mes traits de caractère que vous seuls pourrez  me juger. Je regrette mes plus proches amis, même ceux que j’ai récemment connus
Je vous porterai tous dans mon cœur et ma mémoire tout en gardant de vous tous ces merveilleux souvenirs qui ont tissé notre toile d’amitié. Je ne veux perdre aucun de vous à cause d’un commentaire banal ou d’une divergence d’avis ou même quelques écrits non compris et mal interprétés.  
Je veux vous voir tels que  je vous ai connus pour la première fois, pour ne pas vous oublier.
Il sera mon dernier poème en guise de lettre pour vous tous. Lisez le, comprenez bien son contenu et mesurez  sa réelle portée. Je l’ai voulu triste et touchant pour ne jamais l’oublier car vous y découvrirez toute ma valeur et ma modestie. Je vous aime.

La lumière éternelle
Je suis le souffle de l’éternel.
Descendu du septième ciel.
En moi. La nuit du destin est ancrée.
Le vingt septième jour du mois sacré.
J’ai chevauché l’ange GABRIEL.
Porté par les lumières dorées de ses ailes.
Invité- surprise d’un analphabète.
A qui je porte mes premiers versets.
En traversant les sept cieux.
Pour lui lire la parole de DIEU.
Par une nuit, dans sa grotte de HIRA.
Dans son sommeil, GABRIEL lui dira.
Lis au nom de ton DIEU.
Jusqu'à la fin du verset prodigieux.
Dans mon passage vers la terre.
Je fus salué par tout l’univers.
Je suis une étincelle de sa lumière.
Venue purifier vos âmes et vos cœurs.
Je suis un guide pour vos esprits.
UN son dans vos oreilles sans bruit.
Je suis la piété des cœurs et leur remède.
La lumière des pieux et leur guide.
Je suis les soixante HIZB et cent quatorze sourates.
Subdivisés en six mille deux cent dix neuf ÂYÂT.
Je suis le CORAN que vous apprenez par cœur.
Pour pouvoir accomplir vos cinq prières.
De vos cœurs j’ai fait mon refuge éternel.
Contemplons ses œuvres sempiternelles.
Prosternons nous. Vous, moi et tous les anges.
En guise de remerciements et de louanges.
Devant lui.L'éternel Faiseur de miracles.
En restant  fidèles  à ses  oracle.
Je suis le SAINT CORAN,  l’hymne de l’éternel.
Entonné par ABDELBASSET-ABDESSAMAD l’immortel.

                           MOHAMED-LAKHDAR    DAMMENE DEBBIH. Jeudi 19 décembre 2013.
                                                                                                              A 15 h 26 mn.

LE PARDON

J’ai vu jaillir la beauté de l’aurore dan les yeux.
Qui a Illuminé les rives endormies des cils soyeux.
J'ai vu couler des larmes sur des joues empourprées.
Que le teint de la haine et la rancœur avait ridées.
.
J’ai senti, s’étaler sur les rives des cœurs.
Le plus beau de la divinité et sa douceur.
Tel un cri d’amour qui rugit de plaisir puis s’achève.
Aux coins des lèvres et meurt dans son profond rêve.
.
Telle une magnifique romance d’automne.
Évanouie dans la brume du crépuscule aphone.
J’ai vu à l’horizon dormant, les espoirs fleurir.
Les mains tendues vers le ciel,  prêtes à les cueillir.
.
Abandonnant derrière eux, crevés leurs différents.
Après tant de rancune, dans un remord atterrant.
J’ai beau fouillé dans le ciel de la mémoire singulière.
Sans pouvoir élucider les causes de ce grand mystère.
.
Mais le reflet éblouissant d’un éclair divin.
A donné à leurs yeux aveuglés,  leur éclat de l’airain.
Les lèvres tendues vers les oreilles pour s’y poser.
Murmurent les mots de la sagesse et de la bonté.
.
Quelle autre caresse a traversé les larmes ?
Qui traînent leur atonie, au gré de leur charme.
Par un souffle magique, long de silence.
Dans un sanglot profond de déception intense.
.
Tel se dessine le plus beau, le suave pardon réconciliateur.
Jusqu’à voir briller son reflet enjôleur, à travers le suaire.
Immonde des esprits délétères et serviles.
Dont on ne garde de son halène que son profond mal.
.
Que c’est beau de pardonner et d’aimer à nouveau.
Prouver notre sincérité avec la sagesse qui est en nous.
Et se dire tout fier et heureux par moment.
Nous nous sommes pardonnés car nous nous aimons.

                   MOHAMED –LAKHDAR …DAMMENE DEBBIH.
                                       Samedi 21 décembre 2013 à13 h 26

Sur le quai de mes souvenirs

Dans la grisaille du ciel, où se perdent en vagues les nuages noirs.
Se bousculent mes souvenirs à la recherche de leur dernier quai.
Et parmi eux, c’est celui que je garde encore en mémoire.
Celui, où on s’est rencontré au hasard d’un jour du mois de mai.

Tous les autres souvenirs non moins beaux, ont droit.
Qu’à leurs passagers, qui arrivent et qui repartent.
Mais celui qui dort depuis longtemps en moi.
Ne s’effacera jamais comme s’effacèrent les autres éphémères.

C’est ce souvenir dont l’ombre est toujours sur ce quai.
Que la grisaille du ciel pleure en guise de deuil.
Que fut érigée son épitaphe au dessus de toutes les autres, désormais.
Restera la plus belle, où s’endormiront nos rêves comme des feuilles.

Ainsi, quand un tel souvenir se cache à ses pieds et meurt.
Le soleil passera sur son sépulcre, où il s’incline.
Chaque jour pour lui seul, se levant fidèle dans son étincelante lumière.
Pour faire luire sa tombe et raconter sa légende en vers et rimes.

C’est sur ce quai que tous mes souvenirs prennent place.
Pour prendre chacun son train, vers des destinations diverses.
Mais le meilleur de tous est tibétain, de couleur et de race.
Que son train l’a déjà pris très tôt dans son déferlement épars.

Emportant, tout ce qu’on s’est promis pendant ces longues attentes.
Et les noyer dans la grisaille du ciel en pleur et ses nuages noirs.
Tous disparaitront les uns après les autres dans une mort latente.
Seul le sien, restera à jamais dans ma mémoire.

Sous la grisaille du ciel, où sont perdues toutes ces vagues de nuages.
Seront enterrés tous les autres souvenirs sur ce quai de gare.
Seul le sien, dont il ne restera que le murmure de sa voix et son beau visage.
Qui me rappelleront tristement son éternel départ.

MOHAMED-LAKHDAR….DAMMENE/ DEBBIH.
Dimanche 22 décembre 2013 à 18h 59mn.

Ô !! Toi mon créateur

Ô !! Toi puissant créateur de l’univers.
Maitre absolu des cieux et de la terre.
Éditeur sans plumes, de la thora et l’évangile.
Juge des esprits pervers et des âmes versatiles.
Sur notre terre tu as donné la vie.
À tous ces astres qui l’ont embellie.
Dans chaque ciel tu as crée des anges.
Pour glorifier ton NOM par des louanges.
Tu es en nous, dans nos cœurs et nos esprits.
Tu es partout. Même dans nos rêves de nuits.
Ton esprit se meut au dessus de tout.
En disant que la lumière soit et la lumière fut.
D'une poignée de terre, fut crée ADAM.
De ton souffle divin tu lui as donné une âme.
Ève. L’autre miracle,  naquit de son épaule.
Ton paradis leur fut offert sur notre sol.
Par ta parole divine tu révélas à MARIE.
La naissance miracle du christ Jésus.
Abraham l’intime fut digne de ta confiance.
Bravant Satan,  en t’offrant en offrande  son FILS.
Tu as sauvé MOISE et AARON du pharaon incrédule.
Par un coup de bâton dans l’eau bénite du NIL.
À chacun de tes apôtres,  tu as donné mission et pouvoir.
Puis vint le jour de vérité, où la lumière divine nous fit voir.
Nos péchés odieux et notre perfidie toute crue et laide.
<<L’ISLAM>>. Par la voix du sceau des prophètes MOHAMED.
Au nom de DIEU et DIEU est grand, comme seul critère.
Le messager, analphabète une piété pour l’humanité entière.
Qui a brandi comme seule arme absolue pour les mécréants.
Son unique glaive, inouï de lumière. <<LE SAINT CORAN>>.
Ô !! TOI créateur. Maître de l’univers éphémère.
J’implore ton pardon et ta miséricorde. Purifie mon cœur.
Mon âme et mes sens, de mes péchés et leurs douleurs.
Je viens d’accomplir toutes mes prières du jour.
Protège-moi dans mon sommeil, sous ton aile je m’endors.

                                MOHAMED-LAKHDAR   …DAMMENE /DEBBIH.
                               Mardi 24 décembre 2013 à 12 h 47 mn.

le vent de la nostalgie

Le silence si lourd s'abat sur la nuit endormie.
Bercée par le souffle du vent dans son récital.
Qui hurle sa colère sur les vagues en folie.
Reprise par les feuillages, dans un chant sensationnel.

Il gémit, s'en va au loin, soulève les tempêtes puis revient.
Et dans ses vagues, des souvenirs qu'on a presque oubliés.
Des voix et des ombres de chimère qui ne servent à rien.
Que le temps a promis à un autre âge, à jamais radiés.

Nos parents, nos enfants et nos amis les plus chers.
tous partis sous les décombres du temps cruel.
Que le vent voyageur, nous parfume de leurs odeurs.
Et les ramène sur ses ailes, dans un monde virtuel.

Le vent hurle encore dans la nuit profonde de deuil.
Adouci par une pluie fine et heureuse, de nostalgie.
Qui arrosa leurs tombes, dans leur profond sommeil.
Où le soleil brillera chaque jour sur leurs âmes fleuries.

levons nous messieurs!! vous les heureux immortels.
Rendons hommage à tous ces êtres si chers.
Que la mort a emportés dans son suaire mortel.
Qui resteront un rai de lumière dans nos mémoires.

MOHAMED /LAKHDAR DAMMENE DEBBIH
LE VENDREDI 23 JANVIER 2014 à 3 H 03 MN DU MATIN.

à la mémoire de notre cher regretté ABDELOUWAHEB ABABSA et tous ceux qui nous sont chers et qui sont déjà partis avant lui ou après lui. Nous y passerons tous un jour c'est une évidence . à sa famille!! la patience et la foi en DIEU.
à DIEU nous appartenons et à lui nous retournons

mon beau soleil
Il a brillé de nouveau sur mon jardin.
Éblouissant de lumière, derrière un voile de brume.
En traversant mon cœur qui se réveille dans son écrin.
Longtemps endormi dans sa léthargie de fortune.

J'ai senti fleurir ma mémoire de souvenirs.
Que la brise matinale a fait renaître.
, de leur vieux sépulcre de martyres.
Ensevelis par le temps, qui les a fait disparaître.

J'ai l'ai vu scintiller, dans son brutal réveil.
Ses rayons de feu, étincelants d'espoir.
Qu'un lointain orage avait mis en veille.
Éteints, sous les gros nuages des tristes soirs.

J'attends de voir germer mes beaux fleurons.
Que j'ai semés un jour d'automne dans mon jardin.
Je voudrai tant voir éclore leurs bourgeons.
Et les cueillir dans le creux de ma main.

Dans ma mémoire, j'ai dessiné tes perles d'argent.
Qui brilleront à l'infini sur les roses de tous les matins.
Pour embaumer ma muse folle de leurs reflets éclatants.
Et embellir par leur pureté, mes plus beaux quatrains
.

MOHAMED LAKHDAR DAMMENE DEBBIH. ST VICTORET FRANCE
LE 15 JANVIER 2014 à 3H 13 DU MATI