Un poète amateur M'lili

Je l'ai vue
Parée de grâce, éclatante de lumière et de couleurs.
Majestueuse dans sa robe blanche de ballet pantomime.
Rayonnante de prestance, épanouie dans sa grandeur.
Sa majesté LA LUNE!!!dans toute sa beauté divine.

Elle se lève nonchalante dans l'immensité du ciel.
De son sommeil, bercée par les anges à son réveil.
Égarée dans ses rêves, prête pour sa toilette nuptiale.
Les regards, éblouis par son charme sans pareil.

Je l'ai vue un soir déambuler les marches du ciel.
A travers une haie de lumière. Sa traîne balaye l'horizon.
Que lui tiennent les étoiles pour sa lune de miel.
Dans un décors inouï qui flambe la terre et les océans.
t
Elle m'a tendu sa main blanche dans le noir de la nuit.
M'a pris dans ses bras et m'a chuchoté dans un élan de joie.
Tout bas dans un lent soupire, ce qu'elle m'a promis et me dit.
<J'ai peur du jour et son soleil brûlant. Je ne veux être qu'à toi.

J'ai couru tremblant de bonheur, me prosterner devant sa foi.
pour admirer son grand amour et sa fidélité inouïe.
Et lui dire dans un murmure d'amour. Je t'attendrai toute ma vie.
C'est ma promesse!!! je te comblerai d'amour et de poésie.
MOHAMED/ LAKHDAR DAMMENE DEBBIH
dimanche 19 janvier 2014 à oh 45 mn.

un hiver
Un hiver s'en est allé dans la brume.
Quelque part dans un coin de ma mémoire.
Il s'en est allé dans les remous des écumes.
Dormir à l'horizon, dans le silence du soir
.
Sur le quai d'un vieux petit port du village.
S'en est allé un soir d'hiver mon coeur.
rejoindre les bateaux sur les lointains rivages.
Qui sombraient au loin sous les faibles lueurs.
.
Un hiver s'en est allé où le soleil se lève.
Etincelant d'éclats, insolent de beauté.
emportant mon bonheur d'un soir et mon rêve.
Qui resteront pour l’histoire, un conte de fée
.
Sur le quai du vieux port s'en est allé mon amour.
Dans les nuages d'un hiver pas comme les autres.
Mourir dans le souffle de son froid pour toujours.
Et dormir à l'infini, bercé par le chant de son apôtre
.
Un hiver s'en est allé mourir dans l'orage.
Au mois de janvier et avec lui mes soixante ans
Que nous avons fêtés sur le vieux port du village.
Que portera une mémorable nuit dans ses lumières, loin dans le temps
.
MOHAMED / LAKHDAR DAMMENE DEBBIH.
  Sur le petit port de SAUSSET LES PIN <FRANCE>>LE 19 JANVIER 2014 à 0H 17 MN

MES SOIXANTE ANS

Ton ombre s'étend sur mes jardins qui reverdissent.
J'entends murmurer des mots aux feuilles qui frémissent.
Par ton souffle qui les fait gémir, doux et enjôleur.
Du haut de mon vieil âge, perché sur ce jour d'hiver.

Tu me parles de tout ce que tu as de beau à m'offrir.
Je te serrer dans mon cœur et dans mes souvenirs.
Heureux de voir ton charme dans son ivresse.
Qui éveilla en moi, mon enfance et ma jeunesse.

Tu es là!! Tu me reviens après tout ce temps.
Et dans tes mains, les bougies de mes soixante ans.
Que nous allons fêter, comme par le passé.
En remontant tout ce que le temps a tissé.

Demain. À l'aube de ton  triste départ, sans bruit.
S'en ira errer dans ton sillage le refrain de la nuit.
Que nous avions fredonné, il y a longtemps déjà.
Qui restera le plus beau récit, que l'histoire écrira.

Notre idylle restera une légende dans les mémoires.  
Que racontera ta fidélité sur sa route migratoire.
Une belle mélodie,que tu chanteras un jour sans moi
Car je ne serais peut être plus là la prochaine fois.

Laisse moi savourer ce beau jour constellé de souvenirs.
Pour m'y voir une dernière fois avant de mourir.
Et le peindre de ton pinceau sexagénaire.
Quelque part dans un coin de ma mémoire.

MOHAMED/LAKHDAR. DD .
AIX EN PROVENCE ( LE COURS MIRABEAU) le 08/ 01/ 2014 à 17h 37 mn (MARDI ) .
Avec une sincère pensée à ceux que je n'ai jamais cessé d'aimer. Mon unique frère, à ma femme aussi, mes enfants, mes neveux et mes soeurs, sans oublier mes amis et surtout ceux qui me sont vraiment chers et qui sont pourtant loin de moi, très loin même mais qui le fêteront autan que moi .j'en suis persuadé et même certain.
À tous . Je vous laisse ce que j'ai voulu vous offrir il y a longtemps.
Mes écrits qui vous manqueront un jour et ce poème en souvenir de mes soixante ans. JE VOUS AIME. MLDD.

DANS LES TOURMENTS DE LA NUIT

La nuit si triste, tombe lourdement sur nos illusions.
Qui se réveillent, brutales, de leur profond sommeil.
Dans un flot de soupires, discrètes dans leur intrusion.
Comme pour la maudire pour son habit de deuil.

Elle est si longue et pénible dans toute sa laideur.
Sévère dans sa façon de mouvoir les idées à sa guise.
Traînant les mémoires à sa merci , dans toute leur ferveur.
Comme une bête tenue en laisse, sous son emprise.

Tout s’enchaîne en file et défile dans nos mémoires.
Des châteaux s'élèvent plus haut que leurs ombres.
Puis s'écroulent en silence, dans l'immensité du noir.
Et cèdent le tour à d'autres dans le désordre.

tout se mêle et s'emmêle dans un fouillis accablant.
Des joies, jusqu'aux déceptions les plus amères.
Des<Si et des pourquoi? >inutiles par moments.
Dans le silence et son tumultueux réquisitoire.

Quand le jour se lève immense dans sa lumière.
Les débris du cauchemar s’effacent par l'espoir.
Qui les noie dans un semblant d'oubli éphémère.
En attendant douloureusement l'arrivée du prochain soir.

mOHAMED LAKHDAR
DAMMENE DEBBIH.
Marignane(FRANCE) dimanche /05 /janvier 2014.

je REVIENDRAI.

Comme des nuages en flots, errants
Fuient nos regards à l'horizon de leurs souvenirs.
Où s'élèvent immenses des murmures déchirants.
Qui brisent le silence de notre mutisme sans gémir.

Dans leur nostalgie, se bousculent nos doux sentiments.
Et s'évanouissent dans le décor de leurs si beaux paysages.
Qui se profilent en vagues reflets, au gré du temps.
Et nous rappellent heureux , nos tristes visages.

On a vécu d'amour sucré et de tendresse infinie.
Nos espoirs baignent sur les rives de nos illusions.
Où paraissent les lumières de nos rêves enfuis.
Quelque part sous un angle de nos visions.

Je reviendrai vous voir, même dans mes rêves.
Je vous emmènerai sur mon beau voilier.
Vers les rivages lointains, où notre soleil se lève.
Brûlant d'amour et de plaisir, sur nos vieux sentiers.

Je vous évoquerai même après ma mort.
Je chercherai vos ombres éclatantes de grâce.
En dressant un pont de nostalgie sur notre époque d'or
Car, c'est dans mon cœur que se trouvent vos places.

MOHAMED LAKHDAR DAMMENE DEBBIH.
Vendredi 3 janvier 2014.

Pour toi mon ami SALEH de FRANCE où je me trouve ainsi qu'à tous mes amis sur FACEBOOK.

L'aveugle

Seul, errant, il va au hasard des rues.
Sa canne en main, vers le sombre néant.
Ses jours sont semblables à ses nuits.
Il traîne ce lourd fardeau d'un vide béant.

J'aurai dû deviner sa profonde tristesse.
On ne sait plus ce qu'il veut ni ce qu'il fait.
Il tend seulement sa main, pleine de tendresse.
Sans doute pour exprimer de la vie.

Son ciel s'est assombri le jour même de sa venue.
C'est comme ça qu'il va vivre désormais.
Isolé du monde réel qu'il n'a jamais vu.
égaré dans ses vieux rêves sans fin qui le fuyaient.

Pourtant il ne veut rien, sauf d'être accepté et respecté.
Il se résigne à son sort, croit dur au destin et se sent heureux.
Comme il n'a jamais craint la vie ni même en avoir douté.
Sa foi est immense et inébranlable en DIEU.

On sent fleurir d'espoir ses mots quand il parle.
En souhaitant entrevoir juste une lueur d'étincelle.
Non pas celle de voir la lune et ses perles d'étoiles.
Mais voir fleurir de prières sa demeure éternelle.

MOHAMED/ LAKHDAR ......DAMMENE DEBBIH.
vendredi 31 janvier 2014 à 3 h 05 mn du matin

LES MURMURES DES VAGUES

Elles attendent qu'au loin, se lève le souffle marin.
Pour les ramener vers les rivages, un soir de lune.
S'étendre Sur leurs lits, brûlantes de chagrin
Inouïes de charme dans leur traîne blanche d'écumes.

Elles s'élèvent géantes, cambrées, gémissantes de plaisir.
Se lovant sur leur patinoire, propulsées au grès du vent
Et se jettent épuisées dans leurs bras pour y dormir.
Dans un frémissement d'amour et de plaisir ardents.

Elles caressent le sable et s'allongent sur son corps nu.
En lui disant. Sèche nos larmes dans tes grains.
Et restons à l'infini dans le rêve de tes belles nuits.
Pour te raconter notre histoire depuis la nuit des temps.

Quand le soleil se lève immense, sur leur charme.
Elles s'étendent sous sa chaleur qui perce leur secret.
Comme une lumière qui traverse le Cristal sans qu'il l'abîme.
Blotties dans sa tiédeur, pleine de caresse et d'amour sucré.

Elles ont peur du ressac brutal qui les écraserait sur les récifs.
Un jour de tempête, où s'éteindra à jamais leur voix.
Dans les remous dévastateurs de l'océan plaintif.
Car elles ne veulent plus quitter ces beaux paysages.
Qui ont vu naître leur grand amour avec les rivages.

MOHAMED / LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH.
mercredi 29 janvier 2014 à 19 h 05 mn .

LE RÉVEIL DE L'AURORE
Ta voûte céleste dont se voile les mémoires.
Quand!!Laissant mourir nos souvenirs dans ta beauté.
Sublime étincelle divine qui jaillit du néant noir.
Tu fascines les regards qui s'éteignent dans ta clarté.

J'admire ton iridescence qui miroite l'infini azur.
Quand les nuages et la brume meurent dans ta magie.
J'écoute tes paroles ensorceleuses que la brise murmure.
Quand tous les bruits de la nature deviennent ta symphonie.

Tous les parfums de la terre exhalent ton odeur subtile.
Quand tes caresses percent ses entrailles en dormance.
Les bourgeons s'ouvrent demi clos rabattant leurs cils.
Émerveillés par ton charme et ton élégance.

Tes larmes de lumière coulent dans les rivières et les mers.
Qui reflètent les ombres qui dorment dans leurs lits.
Comme des ribambelles, pour fêter un anniversaire.
Sous ton ombrelle flamboyante d'un vermeil inouï.

Ô!!! toi l'amante vénérée du soleil au charme fascinant.
Quand tu l'accompagnes depuis l'horizon lointain.
Vers son ciel azuré dans un solennel serment.
De lui rester fidèle jusqu'à ce que les siècles auront fini leur chemin.

MOHAMED / LAKHDAR ....DAMMENE DEBBIH.
dimanche 02 /février 2014 à 1h 10 mn du matin

Si on pouvait arrêter le temps

Quand gémissent nos plumes enlacées de gloire.
Laissant au fond des encriers une larme de tristesse.
Nos écrits s'en vont meubler les pages de l'histoire.
Pour raconter notre âge moribond à notre jeunesse.

On ne saura jamais arrêter le temps.
Nous devons alors accepter notre sort.
Quand nos corps se font vieillissants.
 En supportant le poids des ans et leurs efforts.

Quand les larmes sèchent et la mémoire se vide.
Nos esprits hagards, caressent leur crépuscule si proche.
L'espoir se laisse exhumer, ils retrouvent leur âge candide.
Retentissent alors nos ultimes sons de cloches.

AH!!! si on pouvait remonter le temps.
Se blottir dans la chaleur de nos heureux printemps.
Effacer nos rides et retrouver notre rayonnement d'antan.
Et sentir le vent du passé caresser nos souvenirs lointains.

De leurs chaudes larmes, nos yeux errent à tout vent.
pleurent le temps qui passe, qui est déjà loin.
Nos jours touchent à leur fin. C'est le retour évident.
L'age se consume au gré de son souffle et s'éteint.

Nous avons tant de fois enlacé des songes dérisoires.
En disant à la nuit qui passe dans son voile.
Quand ton charme invincible emporte le désir d'un soir
Vient la vieillesse, immortaliser nos silhouettes sur sa toile.

MOHAMED / LAKHDAR DAMMENE DEBBIH
jeudi 06 février 2014.à 19 h 35

AU ROYAUME DES Oubliés
Le soleil s'éteint sur leurs tombes presque effacées.
Que caressent les tristes et faibles lueurs du soir.
En miroitant leurs noms sur les épitaphes empoussiérés.
Qui nous rappellent sans cesse, que ce n'est qu'un au revoir.

L'ombre de leurs tombes épouse la lumière de la nuit.
A la recherche de leurs reflets noyés dans l’indifférence
Balayés par le souffle de l'impitoyable oubli.
Ensevelis sous le suaire de la solitude et du silence.

Avec des larmes de regret, on évoque leurs souvenirs.
Comme un livre qu'on lit sans jamais le refermer.
Même dépouillé de ses pages et de sa dorure.
Il restera pour l'éternité, leur recueil admiré.

Leurs corps resteront désormais pâture aux vers.
Seuls leurs noms seront gravés dans nos mémoires.
Vivants à jamais dans nos souvenirs et dans nos cœurs.
Comme des feuillages éplorés au milieu d'un cimetière.

Laissons les dormir en paix dans leur éternel repos.
Est ce trop demander que de vouloir protéger leurs petits lopins?
Maudit soit celui qui les piétine et dérange leurs os.
Je vous en supplie!!!plantons leur plutôt une espèce de pin.

MOHAMED / LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH
lundi 17 février 2014 à 1 h 20 mn du matin.
en mémoire à nos vaillants soldats et leurs familles péris dans le crash du mardi 11 février 2014 sur les hauteurs du fortas.à DIEU nous appartenons et à lui nous retournons.

Mon ombre, ma fidèle amie

Je la promène avec moi, sans dire mot.
Sans pourtant pouvoir la tenir, ni la prendre .
Elle me vient Devant, sur les cotés et dans le dos.
Fidèle, obéissante et dévouée sans jamais se plaindre.

Elle me suit partout où je vais, Sans raison.
Sauf dans le noir, elle reste dehors et c'est ce qu'elle préfère
Elle déteste la pluie et le froid et ne sort plus toute la saison.
Car elle devient inévitablement invisible pendant l'hiver.

Elle me comprend parfaitement et me console souvent.
Elle me parle sans voix, en mariant les gestes et les pas.
A la douceur de mon humeur et de mon comportement.
Et partage ma tristesse quand le moral est au plus bas.

Viens ma douce!! Allons nous balader, rien que toi et moi.
C'est toi que j'aime et que je veux avec mon élan de cœur.
Plus jamais on ne se quittera.Tu es mon hymne et ma foi
Tu es mes rires et mes pleurs,ma tristesse et mon bonheur.

Viens , asseyons nous là et restons un instant.
   Tu es fatiguée !!non ?? si tu veux remettons ça à demain.
Nous sommes promis l'un pour l'autre depuis longtemps.
Et nous marcherons ensemble le même chemin.
.
Sans toi je n'aurai jamais connu cette amitié valeureuse.
Ô!! toi qui donne de l’éloquence à mes gestes et à  mes dires.
Je m'en remets aveuglément à ta grâce divine et enjôleuse.
Habite mon cœur, raccompagne moi à ma dernière demeure.
Et reste avec moi car je suis la modestie et tu es  la valeur.  

Tu resteras pour l'éternité mon ombre et ma fidèle amie.
MOHAMED / LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH.
jeudi 20 février 2014 à minuit 27 mn

L'IRONIE DU SORT

Dis papa!! c'est quoi le respect des valeurs?
Oh!! Tu sais mon fils!! c'est difficile à dire
Et puis, tu n'es pas d'âge à faire la différence.
Pourquoi tu y accordes toute cette'importance?
Contente toi seulement d'observer et d'analyser .
mais papa!! comment peut on en être si obsédé.
Ils sont inaccessibles à mes yeux ces messieurs là.
C'est quoi leurs métiers?méritent ils au moins tout ça?
Non fiston!!ils ont juste ce que nous avons toi et moi.
Leurs apparences sont trompeuses. ils n'ont que neuf mois.
Tu veux dire que leur gigantisme n'est absolument rien?
Tout à fait petit, d'ailleurs on les appelle les philistins.
Çà veut dire quoi? veux tu m'en dire plus papa.
C'est des bourgeois à l'esprit étroit. L'argent est leur dada.
Et tous ces gens qui leur accordent respect et passion?
Savent 'ils qu'ils ne valent rien ou ont 'ils une raison?
Pourquoi n'es tu pas si important pour ce que tu as toi?
Çà me hante franchement l'esprit parfois.
Et bien vois tu? c'est là que réside toute la différence .
C'est ce que j'ai voulu te faire comprendre d'avance.
C'est absurde!! ils n'ont ni intelligence ni conscience.
Si ce n'est leur argent sale qui cache leur ignorance.
Tu commences déjà à y voir clair mon grand.
C'est leur monde. C'est comme ça qu'on te prend.
Mais papa!!et vous les intellectuels avec vos prouesses.
Toi et tes semblables!! qu'avez vous fait de vos richesses?
Vos diplômes servent finalement d' accessoire.
A tous ces ventrus parachutés dans ce monde d'ignares.
C'est exactement ce dont je voulais te parler mon enfant.
L'échelle des valeurs a perdu ses respects et son pesant.
C'est le monde d'aujourd'hui. Le maître prend son âne sur le dos.
Et n'en déplaise à ceux qui payent fort le prix de leurs vains mots.
Ils sont désormais les maîtres de ce bas monde fait d'injustice.
Dont'ils se délectent de ses richesses avec leurs éternels calices.
.
MOHAMED / LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH.
vendredi 21 février 2O14 à 4H 52 MN du matin

Le virtuel

Qu'il est merveilleux, doux, enivrant et passionnant.
De croire à un amour, une amitié ou un simple sentiment.
Qui envoûtent les âmes et consolent les cœurs.
Par un sourire, un geste et fondre dans leurs douceurs.
En espérant les connaitre un jour et les voir.
Se plaisant de rester à l'infini noyé dans leurs regards.
Et s'y voir émerveillé, porté vers le haut du panthéon.
Qu'on devient soudain ce formidable rêve d'enfant.
Qui s'abandonne sans contrainte, ni pudeur.
Dans la chaleur de leur baratin délétère
Jusqu'à s'évanouir dans le souffle de leurs voix berceuses
Sous les caresses sensuelles de paroles merveilleuses.
Qui portent nos espoirs les plus fous au seuil du paradis.
En nous faisant l'instant d'un bonheur, oublier la tristesse de la vie.
Gardons nos sens en éveil, ignorons la beauté des mirages.
et les cris ensorceleurs des sirènes au loin des rivages.
Vivons en toute objectivité dans la transparence du réel.
et laissons voyager les rêveurs dans leur merveilleux monde virtuel.

MOHAMED / LAKHDAR __DAMMENE DEBBIH
dimanche 23 février 2014 à minuit 15 mn.
ce poème est pour mon ami LABIDIVIC qui aime tant que je lui décrive ce petit merveilleux monde virtuel de rêves sensationnels

Le bonheur
Il naît d’une paisible vie, d’une rencontre ou d’un amour.
Comme un éclair subit qui illumine le ciel puis s’éteint.
Dans la grisaille des nuages errants, sans coup férir.
Et se perd à l'horizon dans ses moindres recoins.

Magnificence en ses effluves et leur exaltation.
Il n’y a rien de pareil goût en sa douceur vénérée.
Qui exhale son haleine parfumée de sensations.
Sur les rives des poumons, où bat le cœur émerveillé.

Ô!! sentiment anesthésiant, tu défies toute sensation.
En toi réside les murmures les plus touchants.
De ton feu divin, doux, jaillit l’espoir et l’inspiration.
Que consacre ma lyre à tes effets transcendants

Que sert à mon âme de vivre sans ton élixir
Quand ma vie est vaine, vide d’espérances.
Dont on craint son sombre et incertain avenir
Lorsque germe en nous, la peur de la souffrance

En vain je garderai ton effet magique sur moi.
En vain je remplirai mon cœur de ton ivresse.
Quand ton souffle meurt sans douleur en moi
Et soulève en amas, les murmures de la tristesse

Avec toi s’en vont la saveur et la douceur.
Que suit dans un lourd silence de deuil.
Le goût de la vie, son aimable sœur.
Qui ôte aux âmes leur indispensable sommeil.

Autant je sens la tristesse de ton absence.
Que ton retour relève parfois du miracle.
Autant le vide que tu laisses m’offense.
Seul l’amour peut être, peut en faire la différence.
Mais ne saurait jamais me faire oublier tes oracles.

MOHAMED / LAKHDAR ..DAMMENE DEBBIH
Mardi 25 février 2014 à 1 h 35 mn du matin. LE VRAI BONHEUR !!C'EST LA PAIX DE L'ESPRIT , L'AMOUR DE LA VIE ET LA BONTÉ DU CŒUR

Dans le ciel de ma mémoire

Dans l'obscurité du ciel immense de ma mémoire.
se rassemblent chaque soir toutes ces étranges formes.
De morts et de vivants que je vois dans un même miroir.
Tous présents à l'appel, aucun absent quand je les nome.

Il s’ouvre à moi, de toutes les ombres clairsemés.
Tout se dresse à mes yeux ,dans le moindre détail.
Le passé et leurs souvenirs , dans son voile parfumé.
que garde jalousement mon cœur, dans son sérail.

Je viens souvent musarder dans leur vieux musée.
A travers son voile hideux de l'oubli qui nous a séparés.
Pour saluer l'instant d'un recueil leurs âmes fleuries
Par quel autre bel hommage dois je les glorifier?

Ô souvenirs brûlants !! je renonce à croire ce que je vois
Jusqu’où votre miroir ira ? en projetant leurs ruines.
Pendant toutes les nuits, jusqu’à l’aube qui vole leurs voix.
leurs rires et leurs pleurs que j’entends en chaîne

je me demande parfois quel est ce miroir aux pavés de l’aurore ?
Où sont’ils ? que deviennent tous ces visages et tous ces noms ?
Quelles étaient toutes ces clameurs évanouies au lever du jour ?
C’est dans le ciel de ma mémoire qu’ils sont enterrés depuis longtemps.

Dans le ciel de ma mémoire, se réveille la symphonie des temps forts.
Qui s’obstine à me jouer ses airs dont je garderai à l’infini ses refrains.
L’histoire passante immortalisera leurs noms en lettres d’or.
Et les flûtes éplorées en deuil me disent qu’un jour leur sort sera le mien.

MOHAMED / LAKHDAR ….DAMMENE DEBBIH .
Mercredi 26 février 2014 à 15 h 40 mn .

La fin d'un rêve
J'ai voyagé les plus belles nuits.
Sur son nuage,bercé par sa muse.
Dans les remous de ses murmures.
De son charme,les lumières et les couleurs fusent.

Je me suis si longtemps réfugié dans sa chaleur.
douce comme de la soie,blotti dans son ardeur.
En promenant mon cœur friand de bonheur.
Je laisse errer ma mémoire, au gré de son vent enjôleur.

Ô!! voile d'écumes blanches, quand ton parfum suave.
exhale l'odeur de tes jardins de roses et de fleurs.
Tout s'illumine dans le noir où s’efface le doute et crève.
Laissant ivre, mon âme de bonheur.

Ô!!! mirage prêcheur de faux.
Dans ton ciel brodé de perles de lumière.
J'ai accroché aux bouts de tes joyaux
Mes espoirs et mes prières.

J'ai cru pouvoir sublimer mon sommeil.
Et dormir à l'infini dans les bras de ta douceur.
Quand soudain, trempé de sueur, mes sens en éveil.
Les yeux encore fermés, je fus ébloui par le réveil de l'aurore.

Dans mon sommeil de voyageur troubadour.
J'ai vu s'offrir à mes yeux un visage d'ange qui dort.
Puis disparaître dans la clarté naissante du jour.
comme un destin réglé à l'heure d'un lendemain sans retour.

CE N’ÉTAIT ALORS QU'UN RÊVE ET SI L'AMOUR EST UN RÊVE, CREUSEZ MA TOMBE FLEURIE JE VOUS EN PRIE ET LAISSER MOI DORMIR DANS SES BRAS à L'INFINI.
MOHAMED/LAKHDAR....DAMMENE DEBBIH.
dimanche 09 MARS 2014 à 6h 35mn du matin.

Mon port d'attache

Je quitte ton port mémorable que j'ai tant aimé.
En contemplant ému, le crépuscule dans sa parure d'or vermeil.
Qui vient mourir, ivre d'amour, sur les plages jaunies de ses baisers.
Dans un sublime et ultime spectacle, paré de toutes ses merveilles
.
Du fond de mon passé. J'évoque. Ô!! combien sont beaux mes naufrages.
Dans les remous mélodieux et les caresses de tes vagues.
Toi qui garde encore l'écho des murmures des lointains rivages.
Où s'éteint, puis meurt ta voix dans le noir de leurs nuits opaques
.
Je garderai en souvenir tes odeurs suaves et les clameurs de tes nuits.
L'ivresse des soirs si calmes et doux, quand je dormais sur tes quais.
En contemplant la lune qui miroitait les ombres des voiliers
Qui jasaient, ivres de plaisir sur ton miroir d'eau glacée
.
Demain à l'aube; lorsque j'aurai franchi sur mon esquif.
Bercé par ton souffle marin doux et nostalgique.
Ton vieux port peint dans mes souvenirs, au décor jouissif.
Qui restera ce beau rêve cristallisé dans une larme lyrique
.
J'affronterai sans doute d'autres naufrages difficiles à déjouer.
Mon esquif est frêle mais encore solide et pourtant à la fin de l'âge.
Mais sur quels rivages et sur quels récifs n'ai je pas encore échoué?
Comment arrêter le destin et le supplier de me ramener sur tes rivages
.
Desormais, je ne reverrai plus ton long minaret.
Du haut des cimes de tes vieux faubourgs.
Adieu bel amour!!! à toi ce dernier poème de ma voix rimé.
Que je chante en souvenir de ton glorieux port que je quitte sans retour.

MOHAMED/ LAKHDAR DAMMENE DEBBIH.
vendredi 14 MARS 2014 à 03 h O7mn du matin

Le carrousel de la vie

C'est une piste où s'entrecroisent des jours heureux.
D'autres plus mornes et d'autres très tristes.
Qui sont si lourds, vides et silencieux.
Comme nos sentiments, du doux , au pessimiste
.
C'est à nous qu’échut le devoir d'en récolter les débris.
Les recoller et les repeindre de notre raison.
C'est ça notre manège, il doit tourner comme tourne la vie.
S'avoir s'y habituer et pouvoir supporter ses sensations
.
Il est toujours agréable de goûter à l'extase.
S’enivrer de belles promesses et voir fleurir notre avenir.
Savourer le temps qui passe et parfumer nos espoirs de roses.
Pour qu'il ne cesse jamais de nous divertir
.
Le carrousel est toujours là, même lorsqu'il vieillit.
Il perd de sa vitesse comme un vent qui se calme.
Mais qui reste au fond de nous bien plus qu'un manège béni.
Que le temps se fait plaisir à tourner au gré de son vacarme
.
Aimer, croire et espérer des lendemains incertains.
Faire confiance au destin et dormir en toute quiétude dans ses travées.
Perdre parfois aussi, haïr la vie et nourrir sa rage sans fin.
Pour de simples et insignifiants gestes ou faits, de sens dépourvus
.
Tourne, tourne manège de la vie.
Remets nous au temps de tes belles années.
Nous ne voulons pas être prisonniers de la mal vie.
Le carrousel est toujours là, il restera à l'infini ce mal aimé.

MOHAMED / LAKHDAR .....DAMMENE DEBBIH.
mardi 11 mars 2014 à 1h 19 mn du matin.

Pour l'amour de L’Algérie

Ô patrie !!! terre de preux, muse chérie.
Tu n'as plus patrie que ce vain mot.
Je te vois profondément éclatée et meurtrie.
Pour tous ceux qui sont morts pour toi debout
.
L'écho de leurs voix sublime ta grandeur.
Qui la renvoie sur leurs mémoires vivantes sur chaque pierre.
Raconte encore ému, leur serment fredonné en chœur.
Qu'un jour leurs sacrifices rendront justice à leurs prières
.
Combien pour eux l'avenir était beau sous ton toit.
Quand leur passion sans limite se mêlait à la tienne.
Combien leurs âmes débordaient de foi.
Quand ils respiraient dans la poussière ton haleine
.
Qu'ont'ils fait aujourd'hui de tes vertus, ceux qui t'ont héritée.
Que n'ont'ils pas pour te brader ajouté encore plus.
Jusqu'à piétiner ta dignité et ton arrogante fierté.
Quels autres signes précurseurs d'un prochain lapsus?

Ô mère bien aimée!!! je ne vois plus ma vie sans toi.
J'ai gagé ma foi, mon cœur et mon âme.
Jamais ils n'arriveront à me séparer de toi.
Je te servirai, te protégerai et te chérirai comme ma femme
.
Ô mère!!! qui m'a enfanté. je m'offre à toi .
Comme tu m'as offert ton délice pour m'allaiter.
J’interprète pour toi la douceur de mon amour et de ma foi.
Prends mes vers pour hymne et entonne le pour l'éternité.

DAMMENE/ DEBBIH .....MOHAMED LAKHDAR
vendredi 14 mars 2014 à22h 15 mn

La voix du vent
Mon cœur frissonne au vent de chaque matin.
Le regard penché sur l'horizon où se lèvent leurs murmures.
Je sens exhaler sur mon triste visage, le parfum du jasmin.
Comme un friselis de nostalgie; doux et sonore
.
J'entends souvent ces voix étranges qui viennent de loin.
Qui ne sont parfois, pas tout à fait les mêmes.
Ni tout à fait d'autres, qu'il me fait parvenir de tous les coins.
Et qui sont pourtant, rimées d'espoir et de bonheur suprême
.
<D'amour ou d'amitié>, c'est toi que nous aimons toute notre vie.
Quel si beau refrain qui flatte l'oreille et séduit l'imagination.
Que fredonnent les cordes de son violon tous réunis.
Qui me rappellent ceux pour qui j'avais tant de respect et d'admiration
.
Que sont ils aujourd'hui tous devenus?
Eux qui me manquent tant et que j'ai profondément aimés.
Je frissonne aux caresses de leurs mains qui m'ont tenu.
Je les pleure toujours, qu'ils soient morts ou en vie
.
Ma mémoire frissonne aux brises de chaque matin.
Égarée, à la recherche de nos vieux souvenirs perdus.
Rien ne me plait hélas; que l'instant d'adoucir mes chagrins.
Qui garderont à l'infini, l'écho de leurs voix si chères qui se sont tues.
MOHAMED LAKHDAR ....DAMMENE DEBBI


mardi 25 mars 2014 à minuit 45 mn.
je le dédie à tous ceux qui me manquent et à ceux à qui je manque. aussi

Mon éternelle inspiration
Tu es là, tu es là bas, où un autre t'attend.
Tu es une infidèle qui arrive parfois à contretemps.
En te faisant trop belle, dés lors que je voudrai te chanter.
En me perdant dans ta prestance, jusqu'à ne plus savoir penser
.
Tu es parfois ange et parfois, un dangereux démon.
Même s'il te soit fait honneur ou non.
Tu m’enivres de ton enthousiasme créateur à sensation.
En me faisant vivre le réel et l'éphémère. Tu es mon inspiration
.
Viens je t'attends, muse des mémoires égarées.
Je ne suis rien sans toi; mes pensées sont confuses et clairsemées.
Rien qu' un éclair de ta lumière dans mes visions.
Pour que jaillisse de mon cœur, la plénitude de mes expressions
.
Reviens à moi; je ne suis plus ce que j'étais sans toi.
Rempli mes lèvres de beaux vers comme autrefois.
Ravive les braises de mon esprit et de mon génie.
Ô muse!!! Ô beauté de mon âme, rends moi la vie
.
Fais de mon cœur l'écrin éternel de ta douceur.
Rempli mes yeux de ton sourire aux couleurs de l'aurore.
Fais de mon horizon, ton plus beau coucher du soleil.
Et du reste de ma vie, le plus beau crépuscule de ton profond sommeil.
MOHAMED/ LAKHDAR ... DAMMENE DEBBIH
.
jeudi 26 mars 2014 à 3h 30mn du mati
.

La course au trône
Une idée fantastique, née d'une admiration pour sa grandeur.
Un idéal fascinant que leur inspire sa plus haute marche.
Attirés dans un univers, qui n'est pourtant pas le leur.
Espérant atterrir un beau jour, sur son siège de patriarche
.
L'esprit biscornu, perdus dans leurs espoirs immenses.
Inconscients de ce que pouvait voir leur ego démesuré.
Voici qu'un rêve tout éveillé, d'audace et d'ignorance.
Leur ouvre le droit chemin vers les cimes désirées
.
Commence alors une course effrénée, du jour au lendemain.
Une opportunité alléchante, faites de belles promesses.
Avec au bout, un prestigieux trophée, presque à portée de main..
Inespéré même et qui sied à leur dangereuse hardiesse
.
Comme dans un rêve, ils lèvent leurs paupières engourdies.
Sur une lumière féerique, qui flambe leur horizon terni.
Ô!! destin maudit, aux attributions injustes et pourries.
Qu'as tu fait de ces esprits bornés, que ta grâce a bénis
.
Ô!! mort de l’œil qui ne discerne plus, toi qui dort.
Comment peux tu ignorer que ce valeureux trône?
Est un immense miroir pour les lumières de l'aurore.
Qui s'y voient comme un soleil sur l'aubépine aux fleurs jaunes.
MOHAMED/ LAKHDAR.....DAMMENE DEBBIH.
samedi 29 mars 2014 à 1h 7mn du matin.
Que DIEU nous sauvegarde de tous les malheurs.

L'ombre de mon peuplier

Dans le silence des nuits, ton absence me donne le frisson.
Quand tout meurt et se noie dans les faibles lueurs des lampions.
Seul, je marche parmi les ombres obscures qui errent au gré du vent.
Dans ce triste royaume de ruines et de désillusions.

Ô temps assassin!! qui défie le destin. Toi qui détruit et construit.
je pleure celui qui n'est plus, comme s'il n'a jamais existé.
Celui que j'ai tant aimé, est'il mort ou s'est 'il simplement enfui?
Les promesses ne vivent pas longtemps, l'orgueil humain en a fait les frais
.
Ô mon peuplier!! au tronc robuste, vers le ciel élancé.
Laissant tes feuillages emportés vers ces sombres et lointains horizons.
Mon regard effleure ton ombre que la brume a enveloppée.
J'écoute au loin, tes branches éplorées, raconter les belles saisons
.
Dans la solitude de la nuit, je me promène toujours sans toi.
Abandonné à mes souvenirs , qui caressent les murs de ta prison.
Pour donner un peu de chaleur à tes épaules frêles dans ce froid.
Et réchauffer tes longues nuits solitaires de stances et d'oraisons
.
Je me lève tôt chaque matin avant le réveil du jour.
Pour prier et me laisser rêver de bonheur et d'espoir.
En attendant que tu me reviennes pour toujours.
Te blottir dans mes bras et vivre ensemble dans le bonheur
.
Nous partirons seuls, rien que nous deux
Nous accrocher à notre vieille et si belle étoile qui luit.
A la recherche de nos beaux jours et vivre heureux.
Rattraper le temps perdu et reconstruire tout ce qu'il a détruit.

MOHAMED / LAKHDAR ..... DAMMENE DEBBIH
lundi 31 mars 2014 à 2h 5mn du matin
ce poème est à toi et uniquement pour toi mon enfant que j'aime tant.

.L’art d’aimer
D’un cher amour qui passe comme un rêve.
On garde toujours un souvenir d’une douce saveur.
Pour le contempler comme un soleil qui se lève.
Et dormir dans sa tiédeur ivre de bonheur.
.
Une aurore de jeunesse se lève sur nos cœurs en disgrâce
Même le temps n’a pas enterré leurs souvenirs immortels.
J’embrasse avec nostalgie les plaisirs qu’elle me laisse.
De toutes ses couleurs ,j’entoure ma vieillesse, de ses belles
.
On accepte parfois,sans rechigner à cacher nos chagrins.
Rien que pour rendre en délices à nos cœurs leur bonheur.
Et voir s’embellir leur présent , du passé lointain.
Penser à leur redonner vie et vouloir leur rendre leur ardeur.
.
Comme un rosier qui bourgeonne et fleurit aux tiges.
Même Quand son vieux tronc fragile , tremble au vent
Ils voient revenir sous leurs vieux ans, leurs beaux vestiges
Qui titillent les mémoires et leur donnent des doux frissons.
.
Ô!!amour posthume dont le souffle ravive les esprits.
Par ton chagrin, meurent les plus fidèles dans ta foi.
Quand ton souffle abonde et devient la sève de la vie.
Je suis à soixante ans, ce vieux dévoué que tu vois
.
Je n’ai de jeune avec mes cheveux tout blancs.
Que mon esprit et mon amour sincère à offrir.
Mon sourire reste toujours enjôleur, et envoûtant.
Sur mes lèvres veloutées, éclatantes de plaisir.
.
Ô cœur fidèle et modeste que tu es !!! doré de grâce.
En toi, dort la vieillesse du corps et la jeunesse de l’âme.
Qu’importent les souffrances que tu gardes du temps qui passe.
C’est l’art d’aimer, c’est l’aube étincelante de la fidélité suprême.
MOHAMED / LAKHDAR …..DAMMENE DEBBIH
Jeudi 03 avril 2014 à 22h 10mn.

ECOUTE MOI

Je veux écrire, toujours écrire et ne plus m’arrêter.
Mais avant de commencer à écrire, je veux d’abord te dire.
Que c’est à toi que j’écris et j’en fais ma priorité.
Ne me dis surtout pas que tu ignores quels sont tes torts.

Tout ce qui me pousse à écrire, vient évidemment de toi
Et tout ce que j’écris est forcément pour toi.
Comprends tu que tout ce que j’écris me rapproche de toi?
Mais ce que tu fais, même inconsciemment, m’éloigne de toi.

Tu oublies souvent, que toi et moi nous ne sommes qu’un.
Pourtant, ma plume et mon cœur ne parlent que de toi.
Feins tu de le savoir ?ou bien joues tu le rôle du saint ?
Je ne te le dirai jamais assez. Tu finiras par te mordre les doigts.

Je veux encore écrire et écrire jusqu’à ce que tu comprennes.
Que tout ce que j’avais dit, ce que je dis et ce que je dirai.
Ne sont que des mots en guise de conseils qui s’apprennent.
Et c’est là le point d’orgue, de ce que sera notre longue virée.

Alors. Surveille ta conduite et plus de questions stupides.
Sois attentif à mes conseils et comprends bien mes pensées.
Tu auras la vie plus facile et l’esprit très fluide.
Plus jamais tu ne retomberas dans tes mignons péchés.

Je ferai de toi le plus célèbre dans mes contes et mes écrits.
Oublie un temps soit peu, ton arrogance et ton air hautain.
A vouloir t’attirer les honneurs à n'importe quel prix.
Et cesse d'être cet extraverti possessif et mesquin.

Mais avant de finir d’écrire ce que j’ai encore à te dire.
Je vais. Une fois n’est pas coutume, braver ma fierté tout de go.
Et me rappeler au besoin, que je ne suis qu’un dévoué sbire .
De ton esprit pervers et satirique qui fait tout le temps la moue.

Ton seul mérite n’a d’égal que le mot que tu portes.
Tu prétends avoir gagné tes galants,en prêchant le faux.
Et tu oublies que c’est ta personnalité qui est moins forte.
Tu n'es rien. Si ce n’est l’amour de soi, qui a fait de toi mon ego
.
MOHAMED/ LAKHDAR…..DAMMENE DEBBIH
Dimanche 06 avril 2014 à 01 h 18mn du matin