Un poète amateur M'lili
+5
saïd49
amer
Al-fassil
ouafa
Palomba
9 مشترك
صفحة 4 من اصل 5
صفحة 4 من اصل 5 • 1, 2, 3, 4, 5
رد: Un poète amateur M'lili
La randonnée DU SOIR
Une brise heureuse et douce, dorlote nos cheveux.
En invitant le soleil à nous faire rêver d’aventure.
Un bonheur soudain, farde de joie nos visages heureux.
Nous savourons à longs traits, l’incroyable beauté de la nature.
Nos regards admiratifs, égarés dans l’immensité du décors.
Frémissent de chagrin, épris de sa belle verdure .
Les mémoires frissonnent a l'air frais du soir, avides de souvenirs.
Immortalisent l’instant d’un rêve, toute cette beauté dans sa splendeur.
Du haut de ses rochers penchés sur les maisons clairsemées.
Plus bas au loin, s’élève la fumée dense de leurs cheminées.
Dans un silence long d’admiration infinie.
Offrant au ciel azuré, un voile de nuages parfumés.
Les cœurs ivres de joie, respirent l’air pur et sain.
Bercés par des flots de sentiments, d'espoirs.
Aux Parfums subtiles de narcisse et de jasmin
Contemplent la beauté divine dans toute son ampleur.
Le soir. Voyant mourir le soleil dans les bras de l’horizon.
Quand meurent dans le silence, les derniers cris des bergers.
Qui ramènent sous un voile de poussière, les troupeaux à la maison
Sous les hurlements éclaireurs, des loups affamés.
Puis viennent la nuit et sa lune dans leurs habits noirs et blancs.
Plonger la beauté du crépuscule flamboyant de mille couleurs.
Dans le silence et la solitude d’un sommeil profond.
Jusqu’à l’aube d’autres plaisirs, d’un lendemain meilleur.
MOHAMED / LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH.
Samedi 20 avril 2014 à 13 h 16 mn
Une brise heureuse et douce, dorlote nos cheveux.
En invitant le soleil à nous faire rêver d’aventure.
Un bonheur soudain, farde de joie nos visages heureux.
Nous savourons à longs traits, l’incroyable beauté de la nature.
Nos regards admiratifs, égarés dans l’immensité du décors.
Frémissent de chagrin, épris de sa belle verdure .
Les mémoires frissonnent a l'air frais du soir, avides de souvenirs.
Immortalisent l’instant d’un rêve, toute cette beauté dans sa splendeur.
Du haut de ses rochers penchés sur les maisons clairsemées.
Plus bas au loin, s’élève la fumée dense de leurs cheminées.
Dans un silence long d’admiration infinie.
Offrant au ciel azuré, un voile de nuages parfumés.
Les cœurs ivres de joie, respirent l’air pur et sain.
Bercés par des flots de sentiments, d'espoirs.
Aux Parfums subtiles de narcisse et de jasmin
Contemplent la beauté divine dans toute son ampleur.
Le soir. Voyant mourir le soleil dans les bras de l’horizon.
Quand meurent dans le silence, les derniers cris des bergers.
Qui ramènent sous un voile de poussière, les troupeaux à la maison
Sous les hurlements éclaireurs, des loups affamés.
Puis viennent la nuit et sa lune dans leurs habits noirs et blancs.
Plonger la beauté du crépuscule flamboyant de mille couleurs.
Dans le silence et la solitude d’un sommeil profond.
Jusqu’à l’aube d’autres plaisirs, d’un lendemain meilleur.
MOHAMED / LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH.
Samedi 20 avril 2014 à 13 h 16 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-11-05, 18:31 عدل 3 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Et le temps passe
Témoin passioné des légendes éternelles.
Ici, là bas ou ailleurs, partout dans l’univers.
Il erre en bon Narrateur événementiel.
Chargé d’histoires qu’il dépeint à l’humanité entière
.
Comme un éclair réglé à l’heure d’un orage.
Sur le vif des évenements instantanés.
Où qu’ils se produisent, il les cueille sur ses pages.
Pour les immortaliser, tous à la fois en simultané
.
On a voulu parfois le fixer dans la plénitude de sa notion.
Pour admirer ses vestiges et leurs reflets incandescents
En gardant leurs effluves avec toutes leurs disproportions.
Pour les déverser un jour, sur nos âges vieillissants
.
Sans bruit, sans être vu.Il se meut dans l’atmosphère.
Décalant divinement .Jours et nuits, soleil et lune.
En s’y pavoisant, soulevant des horizons de mystères.
A faire perdre les esprits, pour sa création divine
.
Son élixir fait rêver par ses bienfaits précieux et certains.
Il vient, passe puis s’en va par les trotteurs de l’horloge.
Pourquoi vouloir inutilement dévier le cours de son chemin.
Alors qu’il suffisait juste de le saisir au passage
.
Hier, aujourd’hui, demain et même plus tard.
Même si parfois on a cherché à donner du temps au temps.
Pour marquer notre présence qui est l’or du temps et son histoire.
Mais il ne reviendra jamais. Il a déjà pris son chemin d'antan.
MOHAMED /LAKHDAR ..DAMMENE DEBBIH
Mercredi 16 avril 2014 à 15 H 12 mn
Témoin passioné des légendes éternelles.
Ici, là bas ou ailleurs, partout dans l’univers.
Il erre en bon Narrateur événementiel.
Chargé d’histoires qu’il dépeint à l’humanité entière
.
Comme un éclair réglé à l’heure d’un orage.
Sur le vif des évenements instantanés.
Où qu’ils se produisent, il les cueille sur ses pages.
Pour les immortaliser, tous à la fois en simultané
.
On a voulu parfois le fixer dans la plénitude de sa notion.
Pour admirer ses vestiges et leurs reflets incandescents
En gardant leurs effluves avec toutes leurs disproportions.
Pour les déverser un jour, sur nos âges vieillissants
.
Sans bruit, sans être vu.Il se meut dans l’atmosphère.
Décalant divinement .Jours et nuits, soleil et lune.
En s’y pavoisant, soulevant des horizons de mystères.
A faire perdre les esprits, pour sa création divine
.
Son élixir fait rêver par ses bienfaits précieux et certains.
Il vient, passe puis s’en va par les trotteurs de l’horloge.
Pourquoi vouloir inutilement dévier le cours de son chemin.
Alors qu’il suffisait juste de le saisir au passage
.
Hier, aujourd’hui, demain et même plus tard.
Même si parfois on a cherché à donner du temps au temps.
Pour marquer notre présence qui est l’or du temps et son histoire.
Mais il ne reviendra jamais. Il a déjà pris son chemin d'antan.
MOHAMED /LAKHDAR ..DAMMENE DEBBIH
Mercredi 16 avril 2014 à 15 H 12 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 16:05 عدل 3 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Tu es l'hymne de l’aurore
Une coulée de douceur dans une brassée de main.
Le sourire aux lèvres parfumé de narcisse et de jasmin.
Et dans les yeux, l'étreinte sublime d'un profond chagrin.
Qui la rongeait douloureusement et sans fin.
j’ai vu scintiller au fond d’une larme sur sa joue ridée.
Une étincelle d’amour, une coulée de tendresse infinie.
Dans son regard, perdu dans mes cheveux blancs ondulés.
Puis s’en est allée mourir sur ses lèvres que l’âge a flétries.
Les yeux larmoyants, miroitent l’aurore des jours heureux.
Les paupières si lourdes ,ivres de songes mi- closes.
Vont où va sa nuit obscure dans son voile brumeux.
Elle voit passer l’ombre de ses rêves sans nombre, en prose.
j’ai écouté ses paroles que murmure son souffle moribond.
Quand reste encore un semblant de force dans sa voix.
A vouloir s'exprimer sans y parvenir. Comme au bon vieux temps.
Dans une maladresse,qui exprime parfaitement son désarroi.
Ô !! douce lumière divine. Tu es son âme fleurie.
Habite son corps frêle , embellis de rêves ses lendemains.
De la beauté des vastes jardins de l’EDEN promis.
C’est ma mère qui s’en va. Je lui dois un hommage vibrant.
Ô !!beauté du crépuscule, toi qui flambe son horizon.
Berce ma muse par tes jaspures aux couleurs de l'airain.
Ô !! belle aurore aux parfums subtils des fleurs sans saison.
Dore de lumière son corps et son âme chaque matin
Tu était et tu resteras mon toit, mon amour infini et ma foi.
Je t'aime autant que je t'aimais. Comment pourrai-je t'oublier.
Que ferai-je de ma solitude et de ma triste vie sans toi?
Aurai-je encore assez de force et de courage pour continuer?
je pleure autant que vous sa perte, que le temps dissipera.
Sa tombe restera l'album de mes de mes plus beaux souvenirs.
Où dormira mon amour avec son corps que la terre offrira.
En proie aux vers , dont il ne restera que son âme à bénir.
MOHAMED/LAKHDAR…..DAMMENE DEBBIH
Vendredi 11 avril 2014 à 15 h 07 mn
Une coulée de douceur dans une brassée de main.
Le sourire aux lèvres parfumé de narcisse et de jasmin.
Et dans les yeux, l'étreinte sublime d'un profond chagrin.
Qui la rongeait douloureusement et sans fin.
j’ai vu scintiller au fond d’une larme sur sa joue ridée.
Une étincelle d’amour, une coulée de tendresse infinie.
Dans son regard, perdu dans mes cheveux blancs ondulés.
Puis s’en est allée mourir sur ses lèvres que l’âge a flétries.
Les yeux larmoyants, miroitent l’aurore des jours heureux.
Les paupières si lourdes ,ivres de songes mi- closes.
Vont où va sa nuit obscure dans son voile brumeux.
Elle voit passer l’ombre de ses rêves sans nombre, en prose.
j’ai écouté ses paroles que murmure son souffle moribond.
Quand reste encore un semblant de force dans sa voix.
A vouloir s'exprimer sans y parvenir. Comme au bon vieux temps.
Dans une maladresse,qui exprime parfaitement son désarroi.
Ô !! douce lumière divine. Tu es son âme fleurie.
Habite son corps frêle , embellis de rêves ses lendemains.
De la beauté des vastes jardins de l’EDEN promis.
C’est ma mère qui s’en va. Je lui dois un hommage vibrant.
Ô !!beauté du crépuscule, toi qui flambe son horizon.
Berce ma muse par tes jaspures aux couleurs de l'airain.
Ô !! belle aurore aux parfums subtils des fleurs sans saison.
Dore de lumière son corps et son âme chaque matin
Tu était et tu resteras mon toit, mon amour infini et ma foi.
Je t'aime autant que je t'aimais. Comment pourrai-je t'oublier.
Que ferai-je de ma solitude et de ma triste vie sans toi?
Aurai-je encore assez de force et de courage pour continuer?
je pleure autant que vous sa perte, que le temps dissipera.
Sa tombe restera l'album de mes de mes plus beaux souvenirs.
Où dormira mon amour avec son corps que la terre offrira.
En proie aux vers , dont il ne restera que son âme à bénir.
MOHAMED/LAKHDAR…..DAMMENE DEBBIH
Vendredi 11 avril 2014 à 15 h 07 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 16:09 عدل 3 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
La randonnée du soir
Une brise heureuse et douce, dorlote nos cheveux.
Invite le soleil à nous faire rêver d’aventure.
Un bonheur soudain, farde nos visages heureux.
Nous savourons à longs traits, la beauté de la nature
.
Nos regards, égarés dans l’immensité du décors.
Frémissent de plaisir, en s'étalant sur son lit de verdure.
Les mémoires frissonnent à l'air frais, avides de souvenirs.
Immortalisent l’instant d’un rêve, le paysage dans sa splendeur
.
Du haut des rochers penchés sur les maisons clairsemées.
S’élève plus bas au loin, une fumée dense de leurs cheminées.
Dans un silence long d’admiration infinie.
Offrant au ciel azuré, un voile de nuages parfumés
.
Les cœurs ivres de joie, respirent l’air pur et sain.
Inondés de sentiments indicibles et d'espoirs.
Parfumés des odeurs de narcisse et de jasmin.
En contemplant la beauté féerique du soir.
.
Voyant s’étendre le soleil dans les bras de l’horizon.
Quand meurent dans le silence, les derniers cris des bergers.
S’élève dans un voile de poussière, le retour des troupeaux à la maison.
Sous les hurlements éclaireurs, des loups affamés
viennent alors la lune et la nuit dans leur voile noir et blanc.
Plonger la beauté du crépuscule flamboyant de mille couleurs.
Dans le silence et la solitude d’un sommeil profond.
En attendant d’autres plaisirs, d’un lendemain meilleur
.
MOHAMED / LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH.
Samedi 20 avril 2014 à 13 h 16 mn
Une brise heureuse et douce, dorlote nos cheveux.
Invite le soleil à nous faire rêver d’aventure.
Un bonheur soudain, farde nos visages heureux.
Nous savourons à longs traits, la beauté de la nature
.
Nos regards, égarés dans l’immensité du décors.
Frémissent de plaisir, en s'étalant sur son lit de verdure.
Les mémoires frissonnent à l'air frais, avides de souvenirs.
Immortalisent l’instant d’un rêve, le paysage dans sa splendeur
.
Du haut des rochers penchés sur les maisons clairsemées.
S’élève plus bas au loin, une fumée dense de leurs cheminées.
Dans un silence long d’admiration infinie.
Offrant au ciel azuré, un voile de nuages parfumés
.
Les cœurs ivres de joie, respirent l’air pur et sain.
Inondés de sentiments indicibles et d'espoirs.
Parfumés des odeurs de narcisse et de jasmin.
En contemplant la beauté féerique du soir.
.
Voyant s’étendre le soleil dans les bras de l’horizon.
Quand meurent dans le silence, les derniers cris des bergers.
S’élève dans un voile de poussière, le retour des troupeaux à la maison.
Sous les hurlements éclaireurs, des loups affamés
viennent alors la lune et la nuit dans leur voile noir et blanc.
Plonger la beauté du crépuscule flamboyant de mille couleurs.
Dans le silence et la solitude d’un sommeil profond.
En attendant d’autres plaisirs, d’un lendemain meilleur
.
MOHAMED / LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH.
Samedi 20 avril 2014 à 13 h 16 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 17:25 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Au musée de la mémoire
Tristes ou beaux, dans le creux de leur vicissitude.
Comme des nuages errants, vieux ou récents.
cachés à l’ombre de leur triste et profonde solitude.
Disparaissent nos souvenirs dans l'oubli sans raison.
Comme une ribambelle en file d’ombres animées.
Ils garnissent les mémoire qu'ils réveillent assez souvent.
Réglés tous à l’heure du silence, en attendant venir la nuit.
Prêts à resurgir de leur époque et revenir dans le présent
.
En images aux différentes couleurs, presque vagues.
Ils défilent pleins de vie, dans un ballet ininterrompu.
L’un après l’autre en nombre, libérés de leurs jougs.
A la recherche de leur gloire, que le temps a ensevelie
.
En bon narrateur, passe le souffle du vent silencieux.
Dans un long soupire de nostalgie, les réveiller.
En les caressant comme un peigne dans les cheveux.
De leur sommeil profond, comme à leurs plus belles veillées
.
On sent frissonner leur manque dans nos doux regards.
Qu’importe leur silence !! il suffit d’entendre leurs souffrances
Surgir de leur ciel, peint sur la toile noire de tous les soirs.
Qui raisonnent à faire pleurer le ciel, dans un sanglot de silence
.
Ne demandez pas quelles sont toutes ces clameurs.
On entend vos complaintes, vous qui ne parlez point.
On sait faire revivre en nous Vos rires et vos pleurs.
Lorsqu'on voit disparaître vos silhouettes aphones au loin
.
Quand on sent frémir de manque, nos esprits querelleurs.
On court au loin de leurs rivages, plein d’espoir.
Leur ouvrir les portes des musées de nos mémoires.
Laissant à tout hasard, nos pensées errer à travers ses longs couloirs.
MOHAMED/LAKHDAR ….DAMMENE DEBBIH
Dimanche 04 mai 2014 à 17 h 05 mn
Tristes ou beaux, dans le creux de leur vicissitude.
Comme des nuages errants, vieux ou récents.
cachés à l’ombre de leur triste et profonde solitude.
Disparaissent nos souvenirs dans l'oubli sans raison.
Comme une ribambelle en file d’ombres animées.
Ils garnissent les mémoire qu'ils réveillent assez souvent.
Réglés tous à l’heure du silence, en attendant venir la nuit.
Prêts à resurgir de leur époque et revenir dans le présent
.
En images aux différentes couleurs, presque vagues.
Ils défilent pleins de vie, dans un ballet ininterrompu.
L’un après l’autre en nombre, libérés de leurs jougs.
A la recherche de leur gloire, que le temps a ensevelie
.
En bon narrateur, passe le souffle du vent silencieux.
Dans un long soupire de nostalgie, les réveiller.
En les caressant comme un peigne dans les cheveux.
De leur sommeil profond, comme à leurs plus belles veillées
.
On sent frissonner leur manque dans nos doux regards.
Qu’importe leur silence !! il suffit d’entendre leurs souffrances
Surgir de leur ciel, peint sur la toile noire de tous les soirs.
Qui raisonnent à faire pleurer le ciel, dans un sanglot de silence
.
Ne demandez pas quelles sont toutes ces clameurs.
On entend vos complaintes, vous qui ne parlez point.
On sait faire revivre en nous Vos rires et vos pleurs.
Lorsqu'on voit disparaître vos silhouettes aphones au loin
.
Quand on sent frémir de manque, nos esprits querelleurs.
On court au loin de leurs rivages, plein d’espoir.
Leur ouvrir les portes des musées de nos mémoires.
Laissant à tout hasard, nos pensées errer à travers ses longs couloirs.
MOHAMED/LAKHDAR ….DAMMENE DEBBIH
Dimanche 04 mai 2014 à 17 h 05 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 16:20 عدل 3 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Un soleil tant attendu
Par un beau matin du mois de mai.
A réapparu mon beau soleil tant attendu.
Venu darder ses rayons sur le rond point endormi.
En cirant le ciel azuré de ses nuages gris
.
Toute éprise de son charme enjôleur.
La nature lui composa sa fantastique symphonie.
Reprise en chœur par les somptueuses roses et fleurs.
Dans un décors d’une magnificence inouïe
.
Il s’est levé fascinant de beauté ce matin là.
Éblouissant de lumière et de couleurs, sur les jardins.
Le regard penché sur l'horizon, j’admire ce que je vois.
En me laissant rêver de bonheur et d’espoir sans fin
.
La terre a frissonné aux caresses de ses rayons.
Laissant jaillir de ses entrailles des fleurs sans saison.
Qu’il enivra de son souffle provocateur à sensation.
Pour rendre en harmonie à la vie, son charme d’antan
.
C’est un infini de régal pour la vue.
Quand le voient les yeux éblouis par sa splendeur.
S’acheminer vers l’horizon , en douceur, sans bruit.
Puis s’allonger, plein de promesses dans les bras du soir
.
Mes espoirs sont allés où dormira sa beauté immortelle
Dont se voila la mémoire, ivre de songes sans nombre.
Sur les rives de mon cœur, son coucher éternel.
Où se mire à l’infini, sa lumière sous les décombres
.
MOHAMED/ LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH
Jeudi 29 MAI 2014 à 15H 10 MN.
Par un beau matin du mois de mai.
A réapparu mon beau soleil tant attendu.
Venu darder ses rayons sur le rond point endormi.
En cirant le ciel azuré de ses nuages gris
.
Toute éprise de son charme enjôleur.
La nature lui composa sa fantastique symphonie.
Reprise en chœur par les somptueuses roses et fleurs.
Dans un décors d’une magnificence inouïe
.
Il s’est levé fascinant de beauté ce matin là.
Éblouissant de lumière et de couleurs, sur les jardins.
Le regard penché sur l'horizon, j’admire ce que je vois.
En me laissant rêver de bonheur et d’espoir sans fin
.
La terre a frissonné aux caresses de ses rayons.
Laissant jaillir de ses entrailles des fleurs sans saison.
Qu’il enivra de son souffle provocateur à sensation.
Pour rendre en harmonie à la vie, son charme d’antan
.
C’est un infini de régal pour la vue.
Quand le voient les yeux éblouis par sa splendeur.
S’acheminer vers l’horizon , en douceur, sans bruit.
Puis s’allonger, plein de promesses dans les bras du soir
.
Mes espoirs sont allés où dormira sa beauté immortelle
Dont se voila la mémoire, ivre de songes sans nombre.
Sur les rives de mon cœur, son coucher éternel.
Où se mire à l’infini, sa lumière sous les décombres
.
MOHAMED/ LAKHDAR …. DAMMENE DEBBIH
Jeudi 29 MAI 2014 à 15H 10 MN.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 17:35 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
LE VENT DE L'HISTOIRE
De quelle stance et de quel mot dois je te glorifier ?
Ô !! souffle miracle et impétueux de la résurrection .
Quand tu exhales ton élixir sur ces êtres éloignés.
Égarés quelque part dans un coin de ton horizon.
Sous les pas du temps qui s’en va nonchalant.
Tu lèves le voile de l’oubli sur la beauté des âmes .
Pour les offrir aux mémoires gravées de leurs noms.
Que racontera le passé aux générations qui viennent.
Tu n’as pas failli à tes promesses, d’infaillible narrateur.
Sans exactitude parfois mais chargé d’événements sans fin.
En remontant leur chronologie depuis la création de l’univers.
Interprétée par diverses langues, jusqu’au dernier des humains.
Au hasard de mes lectures, plongé dans tes beaux récits.
J’ai appris de tes frénésies, les plus belles rimes de la poèsie.
Inspirées de tes longs soupires, nés d’une profonde nostalgie.
Pour ceux qui ont charmé nos pensées par leurs écrits.
Je rêve encore éveillé, plein de promesses et d’espoir.
De pouvoir continuer avec toi ce merveilleux voyage.
Et voir remplis de leurs noms, les sillons de l’histoire.
Que tu rédigeras en lettres d’or sur toutes les pages.
Mon cœur saigne de sentiments jouissifs et enjôleurs.
De voir revenir de leur passé, toutes ces chères créatures.
Que tu sculptes de ton souffle dans un voile de poussière.
Qui se perd dans une larme de tristesse, qui a immortalisé leurs souvenirs.
MOHAMED /LAKHDAR ……DAMMENE DEBBIH
Mardi 6 mai 2014 à 23 h 27 mn
De quelle stance et de quel mot dois je te glorifier ?
Ô !! souffle miracle et impétueux de la résurrection .
Quand tu exhales ton élixir sur ces êtres éloignés.
Égarés quelque part dans un coin de ton horizon.
Sous les pas du temps qui s’en va nonchalant.
Tu lèves le voile de l’oubli sur la beauté des âmes .
Pour les offrir aux mémoires gravées de leurs noms.
Que racontera le passé aux générations qui viennent.
Tu n’as pas failli à tes promesses, d’infaillible narrateur.
Sans exactitude parfois mais chargé d’événements sans fin.
En remontant leur chronologie depuis la création de l’univers.
Interprétée par diverses langues, jusqu’au dernier des humains.
Au hasard de mes lectures, plongé dans tes beaux récits.
J’ai appris de tes frénésies, les plus belles rimes de la poèsie.
Inspirées de tes longs soupires, nés d’une profonde nostalgie.
Pour ceux qui ont charmé nos pensées par leurs écrits.
Je rêve encore éveillé, plein de promesses et d’espoir.
De pouvoir continuer avec toi ce merveilleux voyage.
Et voir remplis de leurs noms, les sillons de l’histoire.
Que tu rédigeras en lettres d’or sur toutes les pages.
Mon cœur saigne de sentiments jouissifs et enjôleurs.
De voir revenir de leur passé, toutes ces chères créatures.
Que tu sculptes de ton souffle dans un voile de poussière.
Qui se perd dans une larme de tristesse, qui a immortalisé leurs souvenirs.
MOHAMED /LAKHDAR ……DAMMENE DEBBIH
Mardi 6 mai 2014 à 23 h 27 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 17:45 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
. LE LIVRE DE MA VIE.
.Tu es plus qu'un ami, un confident avéré
Tu es un compagnon fidèle et un océan de secrets.
Quand gémit de tristesse, ma légendaire plume éplorée.
Pour immortaliser à jamais, notre long chemin de la vie
Tu portes en toi l’héritage d’une époque lointaine.
Prêt à offrir à l’histoire passante, mes plus beaux récits.
Gravés tendrement sur tes lignes fleuries de poésie.
Qu’un profond souffle du temps a ensevelis.
Sur tes pages presque effacées, rongées par l’oubli.
Dorment encore mes vieux rêves et mes folles espérances.
Plus impérissables que la beauté divine de l’aurore inouïe.
Même après ma mort !!! qu’importe notre divorce ?
Dans ton mutisme juré, frissonne le serment de l’adolescence .
Sur tes lèvres blanches et froissées que le temps a jaunies.
Se mire éclatante de beauté, une passionnante histoire d’enfance.
Que tu illumines de mille couchers du soleil aux couleurs de l'or serti.
Que pourrai-je t’offrir !! que tu garderas dans ta mémoire ?
Quand tu t’imprègnes passionnément de mon long vécu.
Une romance des temps heureux, une émouvante histoire.
Que nous nous sommes promis de garder pour toute la vie.
Lorsque mes cheveux gris deviendront tout blancs.
Je reviendrai vers toi, le cœur si lourd, plein de nostalgie.
Les yeux attendris, pour me raconter mes souvenirs d’antan.
Dont nous nous ressouviendrons comme si c’est aujourd’hui.
Un jour ; nous serons toi et moi plus fatigués et très vieux.
Flétris par le souffle de l’âge mais plus forts et heureux.
Et du temps furtif qui passe, comme un rêve douloureux.
Je garderai une larme d'un bonheur savoureux.
MOHAMED/LAKHDAR ……..DAMMENE DEBBIH
Lundi 02 juin 2014 à 0H 50 mn.
.Tu es plus qu'un ami, un confident avéré
Tu es un compagnon fidèle et un océan de secrets.
Quand gémit de tristesse, ma légendaire plume éplorée.
Pour immortaliser à jamais, notre long chemin de la vie
Tu portes en toi l’héritage d’une époque lointaine.
Prêt à offrir à l’histoire passante, mes plus beaux récits.
Gravés tendrement sur tes lignes fleuries de poésie.
Qu’un profond souffle du temps a ensevelis.
Sur tes pages presque effacées, rongées par l’oubli.
Dorment encore mes vieux rêves et mes folles espérances.
Plus impérissables que la beauté divine de l’aurore inouïe.
Même après ma mort !!! qu’importe notre divorce ?
Dans ton mutisme juré, frissonne le serment de l’adolescence .
Sur tes lèvres blanches et froissées que le temps a jaunies.
Se mire éclatante de beauté, une passionnante histoire d’enfance.
Que tu illumines de mille couchers du soleil aux couleurs de l'or serti.
Que pourrai-je t’offrir !! que tu garderas dans ta mémoire ?
Quand tu t’imprègnes passionnément de mon long vécu.
Une romance des temps heureux, une émouvante histoire.
Que nous nous sommes promis de garder pour toute la vie.
Lorsque mes cheveux gris deviendront tout blancs.
Je reviendrai vers toi, le cœur si lourd, plein de nostalgie.
Les yeux attendris, pour me raconter mes souvenirs d’antan.
Dont nous nous ressouviendrons comme si c’est aujourd’hui.
Un jour ; nous serons toi et moi plus fatigués et très vieux.
Flétris par le souffle de l’âge mais plus forts et heureux.
Et du temps furtif qui passe, comme un rêve douloureux.
Je garderai une larme d'un bonheur savoureux.
MOHAMED/LAKHDAR ……..DAMMENE DEBBIH
Lundi 02 juin 2014 à 0H 50 mn.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 18:02 عدل 4 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Ma chanson éternelle
Nous sommes déjà vieux mais très fiers et heureux.
De nous retrouver comme autrefois tous les deux.
C’est vrai que le temps cruel nous a séparé.
Mais notre amour si fort a pu lui résister.
Qu’importent nos rides et nos cheveux blancs ?
Qui ont flétri nos beaux visages d’enfants.
Mais nous avons su garder les mêmes sentiments.
Qui ont fait de nos souvenirs, leur plus beau monument.
Nous sommes déjà vieux mais fiers et heureux.
De nous croire encore de jeunes et sincères amoureux.
En sachant que chaque jour nos liens se tressent.
Au fil de ces merveilleux instants qui nous unissent.
Il est vrai que nous serons plus vieux qu'aujourd'hui.
Mais plus forts encore et très heureux dans la vie.
Lorsque nous resterons toujours l’un à coté de l’autre.
A regarder trotter le temps à l’allure d’une montre.
Nous sommes déjà vieux mais très fiers et heureux.
Combien de fois n’avons-nous pas imploré Dieu.
De nous garder unis dans un rêve sans fin.
En faisant de notre amour notre plus beau jardin.
Lorsque tu seras plus vieille et que je serai plus vieux.
Nous évoquerons avec nostalgie nos jours heureux.
En les arrosant chaque soir de nos sincères sentiments.
Et les voir fleurir dans nos mémoires, leur éternel écrin.
Je parlerai de toi, de moi et de notre amour légendaire.
Même si les siècles auront fini leur chemin multimillénaire.
Il restera sur toutes les lèvres une symphonie éternelle.
Que nous chanterons pour en faire notre hymne solennel.
MOHAMED / LAKHDAR ……DAMMENE DEBBIH
Mardi 03 / juin / 2014 à 16h 50 mn.
Nous sommes déjà vieux mais très fiers et heureux.
De nous retrouver comme autrefois tous les deux.
C’est vrai que le temps cruel nous a séparé.
Mais notre amour si fort a pu lui résister.
Qu’importent nos rides et nos cheveux blancs ?
Qui ont flétri nos beaux visages d’enfants.
Mais nous avons su garder les mêmes sentiments.
Qui ont fait de nos souvenirs, leur plus beau monument.
Nous sommes déjà vieux mais fiers et heureux.
De nous croire encore de jeunes et sincères amoureux.
En sachant que chaque jour nos liens se tressent.
Au fil de ces merveilleux instants qui nous unissent.
Il est vrai que nous serons plus vieux qu'aujourd'hui.
Mais plus forts encore et très heureux dans la vie.
Lorsque nous resterons toujours l’un à coté de l’autre.
A regarder trotter le temps à l’allure d’une montre.
Nous sommes déjà vieux mais très fiers et heureux.
Combien de fois n’avons-nous pas imploré Dieu.
De nous garder unis dans un rêve sans fin.
En faisant de notre amour notre plus beau jardin.
Lorsque tu seras plus vieille et que je serai plus vieux.
Nous évoquerons avec nostalgie nos jours heureux.
En les arrosant chaque soir de nos sincères sentiments.
Et les voir fleurir dans nos mémoires, leur éternel écrin.
Je parlerai de toi, de moi et de notre amour légendaire.
Même si les siècles auront fini leur chemin multimillénaire.
Il restera sur toutes les lèvres une symphonie éternelle.
Que nous chanterons pour en faire notre hymne solennel.
MOHAMED / LAKHDAR ……DAMMENE DEBBIH
Mardi 03 / juin / 2014 à 16h 50 mn.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 19:34 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Paris !!!Le rêve vécu.
Quand vient le soir s’étendre sur la seine endormie.
Qui se réveille fascinée par la beauté féerique de sa Dame.
Où se mirent ses longs clochers en candélabres argentés.
Dans un décor à couper le souffle, inouï de charme.
Au loin de ses ponts drapés de milliers d’écrins.
Qui gardent jalousement des vœux et des rêves cachés.
Que fait phosphorer le crépuscule aux couleurs de l’airain.
Où sombrent les péniches sous l'air des accordéons éplorés.
Ô !! Toi beauté éternelle où s’y perdent les regards éblouis.
Lorsque tu te pares de toute ta grâce, inouïe de prestance.
Ô!!Paradis terrestre où dormiront à l’infini mes souvenirs sur tes rives fleuries.
Pour y mourir ivres de songes et de lumières, dans la douceur de ta romance.
Pourrai-je un jour entendre encore le son de tes cloches ?
Au réveil de l’aurore, lorsque tous les bruits du matin deviennent ta voix.
Aurai-je accepté de sentir l’odeur d’autres fleurs où qu’elles poussent ?
Quand tes jardins aux parfums de l’EDEN, exhalent ceux de l’amour et la joie.
Ô!!Amante vénérée ; en moi s’éternisent tes murmures de tous les soirs.
Quand mon souffle s’éteint et meurt dans la magie de tes soupires.
, mes nuits d'amour sur tes rives, meubleront ma mémoire.
Qui resteront pour la vie, le plus beau roman de notre histoire.
Plus jamais aucune rime dans mes poèmes ne sera plus belle.
Que celle que tu m’as apprise et qui bercera longtemps mes délires.
J’érigerai pour toi, pour notre grand amour naissant, la plus haute stèle.
Quelque part dans un coin de ma fidèle mémoire.
Que je sculpterai en vers et en proses avec mon inspiration légendaire.
MOHAMED/ LAKHDAR ….. DAMMENE DEBBIH.
Mardi le 17 juin 2014 à 1H 45mn.
Quand vient le soir s’étendre sur la seine endormie.
Qui se réveille fascinée par la beauté féerique de sa Dame.
Où se mirent ses longs clochers en candélabres argentés.
Dans un décor à couper le souffle, inouï de charme.
Au loin de ses ponts drapés de milliers d’écrins.
Qui gardent jalousement des vœux et des rêves cachés.
Que fait phosphorer le crépuscule aux couleurs de l’airain.
Où sombrent les péniches sous l'air des accordéons éplorés.
Ô !! Toi beauté éternelle où s’y perdent les regards éblouis.
Lorsque tu te pares de toute ta grâce, inouïe de prestance.
Ô!!Paradis terrestre où dormiront à l’infini mes souvenirs sur tes rives fleuries.
Pour y mourir ivres de songes et de lumières, dans la douceur de ta romance.
Pourrai-je un jour entendre encore le son de tes cloches ?
Au réveil de l’aurore, lorsque tous les bruits du matin deviennent ta voix.
Aurai-je accepté de sentir l’odeur d’autres fleurs où qu’elles poussent ?
Quand tes jardins aux parfums de l’EDEN, exhalent ceux de l’amour et la joie.
Ô!!Amante vénérée ; en moi s’éternisent tes murmures de tous les soirs.
Quand mon souffle s’éteint et meurt dans la magie de tes soupires.
, mes nuits d'amour sur tes rives, meubleront ma mémoire.
Qui resteront pour la vie, le plus beau roman de notre histoire.
Plus jamais aucune rime dans mes poèmes ne sera plus belle.
Que celle que tu m’as apprise et qui bercera longtemps mes délires.
J’érigerai pour toi, pour notre grand amour naissant, la plus haute stèle.
Quelque part dans un coin de ma fidèle mémoire.
Que je sculpterai en vers et en proses avec mon inspiration légendaire.
MOHAMED/ LAKHDAR ….. DAMMENE DEBBIH.
Mardi le 17 juin 2014 à 1H 45mn.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 20:04 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
L'INCROYABLE DESTIN
Souvent, en accompagnant l'âge dans son cheminement.
Le temps nous fait découvrir nos rêves et nos vœux.
Que seul , peut nous faire revivre le destin bouleversant.
Jusqu'à nous porter au bord de l'extase des jours heureux.
La vie nous mène au hasard de son carrousel incessant.
Parfois elle nous rapproche et nous éloigne des fois de nos plus proches.
Qui s'enlisent longtemps sous le voile de l'oublie sans raison.
Puis frappent un jour aux portes des souvenirs comme un son de cloche.
Souvent, on a beau cherché leurs ombres encore vivantes en nous.
Qui se réveillent en amas de songes et de visions presque vagues.
Pour avoir longtemps meublé notre existence de rien et de tout.
Quand nous reste encore de notre passé, leur joie de vivre et leur fougue.
La vie a de belles choses à nous offrir parfois.
Une promesse oubliée, un souhait ou même un rêve qui se réalise.
Par simple raccroc au gré d'un voyage inopiné et incertain à la fois.
On se retrouve alors inévitablement face à nos surprises promises.
À la croisée des chemins, se séparent les plus chers et se rencontrent.
Ces êtres si chers qu'on perd et qu'on retrouve sans escapade.
Puis réapparaissent un jour en trotteurs réglés à l'heure d'une montre.
Venant d'une lointaine enfance, avec leur humour et leurs boutades.
Que demander de plus au destin faiseur de miracle.
Nul ne saura de quoi sera fait demain ou le lendemain.
Il faut seulement croire en son ineffable et indélébile oracle.
En espérant nous retrouver tous un jour sur son chemins.
la nostalgie les ramènera un jour sur les rives de nos cœurs.
Ils sont comme un rayon de soleil sur nos beaux rivages.
Qu'on veut garder à l'infini et admirer sa splendeur.
Comme on admire un crépuscule qui flambe nos belles plages.
MOHAMMED. / LAKHDAR. DAMMENE DEBBIH
Mardi 24 juin 2014 st victoret marseille.
Souvent, en accompagnant l'âge dans son cheminement.
Le temps nous fait découvrir nos rêves et nos vœux.
Que seul , peut nous faire revivre le destin bouleversant.
Jusqu'à nous porter au bord de l'extase des jours heureux.
La vie nous mène au hasard de son carrousel incessant.
Parfois elle nous rapproche et nous éloigne des fois de nos plus proches.
Qui s'enlisent longtemps sous le voile de l'oublie sans raison.
Puis frappent un jour aux portes des souvenirs comme un son de cloche.
Souvent, on a beau cherché leurs ombres encore vivantes en nous.
Qui se réveillent en amas de songes et de visions presque vagues.
Pour avoir longtemps meublé notre existence de rien et de tout.
Quand nous reste encore de notre passé, leur joie de vivre et leur fougue.
La vie a de belles choses à nous offrir parfois.
Une promesse oubliée, un souhait ou même un rêve qui se réalise.
Par simple raccroc au gré d'un voyage inopiné et incertain à la fois.
On se retrouve alors inévitablement face à nos surprises promises.
À la croisée des chemins, se séparent les plus chers et se rencontrent.
Ces êtres si chers qu'on perd et qu'on retrouve sans escapade.
Puis réapparaissent un jour en trotteurs réglés à l'heure d'une montre.
Venant d'une lointaine enfance, avec leur humour et leurs boutades.
Que demander de plus au destin faiseur de miracle.
Nul ne saura de quoi sera fait demain ou le lendemain.
Il faut seulement croire en son ineffable et indélébile oracle.
En espérant nous retrouver tous un jour sur son chemins.
la nostalgie les ramènera un jour sur les rives de nos cœurs.
Ils sont comme un rayon de soleil sur nos beaux rivages.
Qu'on veut garder à l'infini et admirer sa splendeur.
Comme on admire un crépuscule qui flambe nos belles plages.
MOHAMMED. / LAKHDAR. DAMMENE DEBBIH
Mardi 24 juin 2014 st victoret marseille.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 20:25 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
EN ROUTE POUR L'HISTOIRE
Quelque part dans un coin de l'univers.
A retenti un hymne dans le ciel azuré
Repris solennellement en coeur.
Comme une seule voix par des guerriers.
Ces braves jeunes , venus d'ailleurs
Tous vêtus aux couleurs de l'arc en ciel.
Un vert et blanc porteurs d'espoir.
Brodés d'un croissant rouge qui épouse son étoile.
Leur arme fatale!!une volonté des nuits du temps.
Leur foi!! L'amour du pays.
Leur promesse !! Un vieux pacte d'il y a longtemps.
Pour que vive leur mère patrie L'ALGERIE.
L'histoire passante, gardera la belle légende.
D'un hymne pas tout à fait comme les autres.
Qui en retentissant, a fait sa plus belle offrande.
Au temps voyageur, son fidèle apôtre.
C'est L'ALGERIE profonde ; ce lointain pays.
Qui porte en lui le murmur de ses immortels.
Qui ont insufflé aux memoires meurtries.
L'art et la manière de tenir la promesse éternelle.
De porter haut les couleurs nationales.
À chaque rendez vous avec l'histoire dans sa marche triomphale.
MOHAMMED/LAKHDAR......DAMMENE DEBBIH
Samedi 28 juin 2014 à 1h 42mn du matin ST VICTORET
BOUCHE DU RHONES.
Quelque part dans un coin de l'univers.
A retenti un hymne dans le ciel azuré
Repris solennellement en coeur.
Comme une seule voix par des guerriers.
Ces braves jeunes , venus d'ailleurs
Tous vêtus aux couleurs de l'arc en ciel.
Un vert et blanc porteurs d'espoir.
Brodés d'un croissant rouge qui épouse son étoile.
Leur arme fatale!!une volonté des nuits du temps.
Leur foi!! L'amour du pays.
Leur promesse !! Un vieux pacte d'il y a longtemps.
Pour que vive leur mère patrie L'ALGERIE.
L'histoire passante, gardera la belle légende.
D'un hymne pas tout à fait comme les autres.
Qui en retentissant, a fait sa plus belle offrande.
Au temps voyageur, son fidèle apôtre.
C'est L'ALGERIE profonde ; ce lointain pays.
Qui porte en lui le murmur de ses immortels.
Qui ont insufflé aux memoires meurtries.
L'art et la manière de tenir la promesse éternelle.
De porter haut les couleurs nationales.
À chaque rendez vous avec l'histoire dans sa marche triomphale.
MOHAMMED/LAKHDAR......DAMMENE DEBBIH
Samedi 28 juin 2014 à 1h 42mn du matin ST VICTORET
BOUCHE DU RHONES.
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Vivre avec ses souvenirs
Pas le moindre bruit, ni un souffle du vent .
Ne troublent le silence qui s’abat sur l’océan.
Quand s’étend sur son lit, ton corps fantôme.
M’offrant sa grâce, puis s’efface par la brume.
J’ai cherché ta silhouette parmi les ombres du soir.
Que fait phosphorer l’or du crépuscule crématoire.
Quand les vagues deviennent un voile d’écumes.
Puis s’évanouissent sur le sable et se consument.
J’ai cru entendre ta voix dans le bruit des vagues.
J’ai couru le long du rivage jonché d’algues.
Que la mer houleuse, repousse écœurée.
Lorsque ton ombre semble me fuir et m’abandonner.
Hélas!!je ne reverrai plus reverdir tes ruines.
La solitude et le silence du soir qui les minent.
Ont en fait un mirage des objets brillants.
Qui fait revenir les morts parmi les vivants.
Tu t’en vas.Ton âme s'est éteinte sans bruit.
Dans mon esprit,l’espoir n’est qu’un débris.
Car je sais que tu ne reviendras plus.
Mais sur l'épitaphe, ton nom est écrit.
La mort a offert à l’histoire un beau conte de fée.
Qui restera, le plus beau roman de la vie.
Quel hommage dois je rendre à ce grand amour?
Que je garderai dans une larme d’adieu pour toujours.
Ce poème est dédié à ma regrettée chère mère qui nous a quitté le 9 /7 2014.à DIEU nous appartenons et à lui nous retournons . Ô douce lumière divine !! tu es son âme, embellit son horizon et avec lui son ombre, accorde lui ta miséricorde et dors auprès de son corps remis à la terre dont tu as fait tes nobles créatures.
MOHAMMED /LAKHDAR DAMMENE DEBBIH LE 13/7/2014 à19H 03 MN
Pas le moindre bruit, ni un souffle du vent .
Ne troublent le silence qui s’abat sur l’océan.
Quand s’étend sur son lit, ton corps fantôme.
M’offrant sa grâce, puis s’efface par la brume.
J’ai cherché ta silhouette parmi les ombres du soir.
Que fait phosphorer l’or du crépuscule crématoire.
Quand les vagues deviennent un voile d’écumes.
Puis s’évanouissent sur le sable et se consument.
J’ai cru entendre ta voix dans le bruit des vagues.
J’ai couru le long du rivage jonché d’algues.
Que la mer houleuse, repousse écœurée.
Lorsque ton ombre semble me fuir et m’abandonner.
Hélas!!je ne reverrai plus reverdir tes ruines.
La solitude et le silence du soir qui les minent.
Ont en fait un mirage des objets brillants.
Qui fait revenir les morts parmi les vivants.
Tu t’en vas.Ton âme s'est éteinte sans bruit.
Dans mon esprit,l’espoir n’est qu’un débris.
Car je sais que tu ne reviendras plus.
Mais sur l'épitaphe, ton nom est écrit.
La mort a offert à l’histoire un beau conte de fée.
Qui restera, le plus beau roman de la vie.
Quel hommage dois je rendre à ce grand amour?
Que je garderai dans une larme d’adieu pour toujours.
Ce poème est dédié à ma regrettée chère mère qui nous a quitté le 9 /7 2014.à DIEU nous appartenons et à lui nous retournons . Ô douce lumière divine !! tu es son âme, embellit son horizon et avec lui son ombre, accorde lui ta miséricorde et dors auprès de son corps remis à la terre dont tu as fait tes nobles créatures.
MOHAMMED /LAKHDAR DAMMENE DEBBIH LE 13/7/2014 à19H 03 MN
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-10-03, 02:22 عدل 4 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Les larmes du ciel
Dans la grisaille funeste du ciel béant.
Errent en amas des nuages bleus et blancs.
Qui évoquent de tristes et douloureux souvenirs
Qui ont semé la haine et la rancune
Après les quelques faibles rayons.
qui ont traversé le ciel dans leur élan
Vient en éclaireur, l’arc en ciel.
Paré de couleurs d’une lune de miel
Sous la symphonie du vent élévateur.
Qui les promène au gré de sa fureur.
Les peupliers murmurent en bons violons
Leurs tristes complaintes à qui les entend
Reprises par leurs échos, pris de frénésie.
De leurs douloureux gémissements, infinis.
Sous le suaire de la beauté mortelle
où gisent des corps en ribambelle.
Dans la gueule du désastre révoltant.
Un prélude avéré par un éclair aveuglant.
Suivi par un tonnerre assourdissant
Seront Bénis par la miséricorde de DIEU
Qui déversa des larmes sur nos péchés odieux.
Et les coulures de sang inutilement versé.
Pour nous voir nous prosterner devant son éternité
Ainsi sa clémence aurait atteint son apothéose.
Si on s'unissait dans la foi et mourir de son overdose.
Les larmes du ciel tomberont encore et toujours.
Sur le sang des palestiniens qui a inondé leurs vieux faubourgs.
Jeudi 24 juillet 2014 à 19H 33MN .
Dans la grisaille funeste du ciel béant.
Errent en amas des nuages bleus et blancs.
Qui évoquent de tristes et douloureux souvenirs
Qui ont semé la haine et la rancune
Après les quelques faibles rayons.
qui ont traversé le ciel dans leur élan
Vient en éclaireur, l’arc en ciel.
Paré de couleurs d’une lune de miel
Sous la symphonie du vent élévateur.
Qui les promène au gré de sa fureur.
Les peupliers murmurent en bons violons
Leurs tristes complaintes à qui les entend
Reprises par leurs échos, pris de frénésie.
De leurs douloureux gémissements, infinis.
Sous le suaire de la beauté mortelle
où gisent des corps en ribambelle.
Dans la gueule du désastre révoltant.
Un prélude avéré par un éclair aveuglant.
Suivi par un tonnerre assourdissant
Seront Bénis par la miséricorde de DIEU
Qui déversa des larmes sur nos péchés odieux.
Et les coulures de sang inutilement versé.
Pour nous voir nous prosterner devant son éternité
Ainsi sa clémence aurait atteint son apothéose.
Si on s'unissait dans la foi et mourir de son overdose.
Les larmes du ciel tomberont encore et toujours.
Sur le sang des palestiniens qui a inondé leurs vieux faubourgs.
Jeudi 24 juillet 2014 à 19H 33MN .
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-10-03, 02:59 عدل 2 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
LE SOUFFLE MORTEL DE L'OUBLI
Sur les cœurs meurtris, sur les mémoires égarées.
Sur les âmes souffrantes et leurs rêves brisés.
A soufflé le vent du baiser mortel de l’oubli.
Telle une tempête sur les voiliers que l’océan engloutit.
Toutes ces âmes errantes dans leurs lointaines idylles.
Les remords deviennent leur abri éternel de l' exile .
A la recherche de leurs plus beaux serments d’amour.
Oubliés, faute de leur arrogance coupable de leur mort.
Même conscients parfois de leurs actes et de leurs torts.
Ils ne s’avouent jamais coupables, même devant la mort.
Leurs yeux errants, cherchent leurs lointaines amarres.
Effacées par les larmes qui voilent leurs doux regards.
Même l’amour trahi ; traînant au loin ses lourdes chaines.
Refuse de s’attendrir sur leur sort dans toute sa haine.
Quand leurs aveux cachés corroborent leur dépendance.
Dans un flot de larmes avec toute leur remontrance.
Le temps fera un jour de leurs ruines son lit de cendre.
Où seront ensevelis leurs souvenirs les plus tendres.
Et dormiront à l’infini sur les rives des mémoires.
Bercés par le souffle narrateur du vent de l’histoire.
Adieu les belles promesses et les folles espérances.
Un rêve s’est éteint à l’aube même de sa naissance.
Érigé en stèle à la mesure de sa prestance.
Jusqu'à réduire l’inspiration à sa simple mouvance.
Dans un sanglot lent de silence que l'amertume berce.
Se brisent leurs châteaux en grains de sable et se dispersent.
Dans une avalanche de soupires sans aucune trace.
Et s’écroulent chaque jour au moindre vent qui passe.
Même si l’espoir se laisse exhumer pour les sauver de l’oubli.
Le temps a déjà égrainé les moments les plus doux de leur vie.
Ce temps qui leur a paru mortel, vont l’étreindre à l’infini.
Lui dont resteront ses débris même quand leurs jours seront finis.
Je ne suis ni écrivain ,ni poète mais je le suis par ambition dans ma tête .J ‘ai vécu de tendresse et d’amour sucré,la poèsie est ma passion qui invite mon inspiration à embellir mes écrits de prose pour voir la vie en rose. Mon cœur vous invite de goûter à la douceur de sa mélodie interprétée par ma plume qui est son porte parole et délectez vous de ses nobles sentiments qui sont le chant de mon âme .
Lisez bien mon dernier poème et comprenez le sens .
Je vous quitte mes chèrs amis !!! après vous avoir tant aimés et admirés, après avoir foulé vos cœurs et vos esprits avec cette même plume qui nous a donné à tous un infini de douceur en étanchant la soif des lecteurs comme elle a subi les pires critiques de ses détracteurs . elle vient pour une dernière fois s’incliner devant ses fidèles lecteurs insolente de reconnaissance, époustouflante de respect, admirable pour son dévouement pour ses admirateurs avant d’enfourcher sa monture pour l' exile.
La vie nous a tant donné et nous en donnera encore. Apprenons alors à lui donner son véritable sens .L’appel du retour est plus qu’évident et incessant.aimons nous sincèrement, croyons en nous et en nos faits , nos actes, nos paroles et nos promesses. Respectons nous et rendons le respect à tous ceux qui le méritent .
MOHAMED/LAKHDAR ……..DAMMENE DEBBIH
Vendredi 1er AOUT 2014 à 00H 16MN
Sur les cœurs meurtris, sur les mémoires égarées.
Sur les âmes souffrantes et leurs rêves brisés.
A soufflé le vent du baiser mortel de l’oubli.
Telle une tempête sur les voiliers que l’océan engloutit.
Toutes ces âmes errantes dans leurs lointaines idylles.
Les remords deviennent leur abri éternel de l' exile .
A la recherche de leurs plus beaux serments d’amour.
Oubliés, faute de leur arrogance coupable de leur mort.
Même conscients parfois de leurs actes et de leurs torts.
Ils ne s’avouent jamais coupables, même devant la mort.
Leurs yeux errants, cherchent leurs lointaines amarres.
Effacées par les larmes qui voilent leurs doux regards.
Même l’amour trahi ; traînant au loin ses lourdes chaines.
Refuse de s’attendrir sur leur sort dans toute sa haine.
Quand leurs aveux cachés corroborent leur dépendance.
Dans un flot de larmes avec toute leur remontrance.
Le temps fera un jour de leurs ruines son lit de cendre.
Où seront ensevelis leurs souvenirs les plus tendres.
Et dormiront à l’infini sur les rives des mémoires.
Bercés par le souffle narrateur du vent de l’histoire.
Adieu les belles promesses et les folles espérances.
Un rêve s’est éteint à l’aube même de sa naissance.
Érigé en stèle à la mesure de sa prestance.
Jusqu'à réduire l’inspiration à sa simple mouvance.
Dans un sanglot lent de silence que l'amertume berce.
Se brisent leurs châteaux en grains de sable et se dispersent.
Dans une avalanche de soupires sans aucune trace.
Et s’écroulent chaque jour au moindre vent qui passe.
Même si l’espoir se laisse exhumer pour les sauver de l’oubli.
Le temps a déjà égrainé les moments les plus doux de leur vie.
Ce temps qui leur a paru mortel, vont l’étreindre à l’infini.
Lui dont resteront ses débris même quand leurs jours seront finis.
Je ne suis ni écrivain ,ni poète mais je le suis par ambition dans ma tête .J ‘ai vécu de tendresse et d’amour sucré,la poèsie est ma passion qui invite mon inspiration à embellir mes écrits de prose pour voir la vie en rose. Mon cœur vous invite de goûter à la douceur de sa mélodie interprétée par ma plume qui est son porte parole et délectez vous de ses nobles sentiments qui sont le chant de mon âme .
Lisez bien mon dernier poème et comprenez le sens .
Je vous quitte mes chèrs amis !!! après vous avoir tant aimés et admirés, après avoir foulé vos cœurs et vos esprits avec cette même plume qui nous a donné à tous un infini de douceur en étanchant la soif des lecteurs comme elle a subi les pires critiques de ses détracteurs . elle vient pour une dernière fois s’incliner devant ses fidèles lecteurs insolente de reconnaissance, époustouflante de respect, admirable pour son dévouement pour ses admirateurs avant d’enfourcher sa monture pour l' exile.
La vie nous a tant donné et nous en donnera encore. Apprenons alors à lui donner son véritable sens .L’appel du retour est plus qu’évident et incessant.aimons nous sincèrement, croyons en nous et en nos faits , nos actes, nos paroles et nos promesses. Respectons nous et rendons le respect à tous ceux qui le méritent .
MOHAMED/LAKHDAR ……..DAMMENE DEBBIH
Vendredi 1er AOUT 2014 à 00H 16MN
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-12, 21:57 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
QUI SUIS-JE ?
Je suis une larme perdue, effarouchée.
Égarée sur vos cils humides, éméchés.
Voluptueuse, cristalline et de toute beauté.
Venue réconforter les malheureux déboutés.
Je suis le doux baume pour tous les cœurs.
Une coulée de miel, un infini de douceur.
Une délicieuse infusion d’élixir pour les rêveurs.
Au gout parfois savoureux et parfois amer.
Je suis l’ambroisie des dieux grecs.
Leur parfum subtil aux effets toniques.
Et leurs aubépines aux fleurs brodées d’épines.
Qui poussent sans saison sous leurs ruines.
Je suis l’écrin adoré de vos tendres secrets.
Parfumés aux odeurs de vos promesses jurées.
Que propage le vent narrateur d’histoire.
Qui attise impétueusement les braises des mémoires.
Je suis le friselis jouissif des nostalgiques.
Qui éveille en vous les folles idées idylliques.
Pour embellir les horizons de vos regards.
Et venir y dormir en coucher de soleil chaque soir.
Je noircis les plus flamboyants des crépuscules.
Quand vient se poser mon baiser mortel sur vos idylles.
Jusqu'à ne plus devenir ce trait d’union entre les éloignés.
Qui se voient abandonnés, à leur sort résignés.
Je suis la nourricière des âges différents.
De ma poitrine s’abreuvent les assoiffés, sans seins.
En se délectant de mon nectar sans couleur et sans odeur.
Qui désaltère les âmes et étanche les sueurs.
Je suis l’horizon où dorment enlacés, vos crépuscules.
Qui épanchent à la solitude vos complaintes incrédules.
Je suis l’aurore éternelle dans toute ma beauté.
Je me lève inouïe de splendeur sur vos nuits agitées.
C’est moi que vous vénérez, l’unique, l’éternel AMOUR.
Dans vos âmes j’habite et dans vos pensées je dors.
Acceptez mes douceurs et mes souffrances.
Et je vous ferai découvrir les limites de la tolérance.
Aux confins du désespoir et du bonheur et leur influence.
J’apporte la lumière et l’espoir dans les regards pleins de défiance.
Apprenez à m’apprivoiser et à m’adopter en sages.
Je vous emmènerai sur mon beau voilier aux bords de l’extase.
Je suis l’AMOUR, générateur de vos sentiments émotionnels
Le serviteur dévoué pour tous mes fidèles.
MOHAMMED/LAKHDAR__DAMMENE DEBBIH
Mardi 12 AOUT 2014 à 3H 11mn du matin.
Je suis une larme perdue, effarouchée.
Égarée sur vos cils humides, éméchés.
Voluptueuse, cristalline et de toute beauté.
Venue réconforter les malheureux déboutés.
Je suis le doux baume pour tous les cœurs.
Une coulée de miel, un infini de douceur.
Une délicieuse infusion d’élixir pour les rêveurs.
Au gout parfois savoureux et parfois amer.
Je suis l’ambroisie des dieux grecs.
Leur parfum subtil aux effets toniques.
Et leurs aubépines aux fleurs brodées d’épines.
Qui poussent sans saison sous leurs ruines.
Je suis l’écrin adoré de vos tendres secrets.
Parfumés aux odeurs de vos promesses jurées.
Que propage le vent narrateur d’histoire.
Qui attise impétueusement les braises des mémoires.
Je suis le friselis jouissif des nostalgiques.
Qui éveille en vous les folles idées idylliques.
Pour embellir les horizons de vos regards.
Et venir y dormir en coucher de soleil chaque soir.
Je noircis les plus flamboyants des crépuscules.
Quand vient se poser mon baiser mortel sur vos idylles.
Jusqu'à ne plus devenir ce trait d’union entre les éloignés.
Qui se voient abandonnés, à leur sort résignés.
Je suis la nourricière des âges différents.
De ma poitrine s’abreuvent les assoiffés, sans seins.
En se délectant de mon nectar sans couleur et sans odeur.
Qui désaltère les âmes et étanche les sueurs.
Je suis l’horizon où dorment enlacés, vos crépuscules.
Qui épanchent à la solitude vos complaintes incrédules.
Je suis l’aurore éternelle dans toute ma beauté.
Je me lève inouïe de splendeur sur vos nuits agitées.
C’est moi que vous vénérez, l’unique, l’éternel AMOUR.
Dans vos âmes j’habite et dans vos pensées je dors.
Acceptez mes douceurs et mes souffrances.
Et je vous ferai découvrir les limites de la tolérance.
Aux confins du désespoir et du bonheur et leur influence.
J’apporte la lumière et l’espoir dans les regards pleins de défiance.
Apprenez à m’apprivoiser et à m’adopter en sages.
Je vous emmènerai sur mon beau voilier aux bords de l’extase.
Je suis l’AMOUR, générateur de vos sentiments émotionnels
Le serviteur dévoué pour tous mes fidèles.
MOHAMMED/LAKHDAR__DAMMENE DEBBIH
Mardi 12 AOUT 2014 à 3H 11mn du matin.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-13, 00:47 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Tu t’en vas
Quand le soleil s’éteint et rejoint l’horizon lointain.
Vient le soir s’étendre dans les bras du crépuscule.
Quand la nuit profonde assombrit l’univers mourant.
S'évanouissent tous les bruits dans le vide du ciel.
Je pense à toi.
Quand le vent fait frémir les feuillages dormants.
Et soulève les vagues qui bercent les rivages.
Jaillissent de leurs murmures mes souvenirs du néant.
Que promène ma mémoire dans un long voyage.
J’entends ta voix.
Quand la solitude m'emporte dans mes illusions.
Vient le silence si lourd me rappeler ton absence cruelle.
Quand le temps s’arrête pour figer toutes ces visions.
Mon cœur bat au rythme de ton départ éternel.
Je vais vers toi.
ton portrait est presque réel, tourné vers l’infini.
Là où ton regard s’étend sur ta demeure éternelle.
Quand l’aube étincelante, ivre de lumières, efface la nuit.
Pour offrir à l’histoire passante ta légende immortelle.
Je pleure ta disparition.
Aujourd'hui, il me reste de toi ce beau roman.
Pour meubler le vide qu'habite ton départ fatal.
Une photos, une voix, des écrits et un nom.
Qui resteront la plus belle pièce du puzzle familial.
Car tu es toujours vivant en moi.
MOHAMMED / LAKHDAR DAMMENE DEBBIH.
Quand le soleil s’éteint et rejoint l’horizon lointain.
Vient le soir s’étendre dans les bras du crépuscule.
Quand la nuit profonde assombrit l’univers mourant.
S'évanouissent tous les bruits dans le vide du ciel.
Je pense à toi.
Quand le vent fait frémir les feuillages dormants.
Et soulève les vagues qui bercent les rivages.
Jaillissent de leurs murmures mes souvenirs du néant.
Que promène ma mémoire dans un long voyage.
J’entends ta voix.
Quand la solitude m'emporte dans mes illusions.
Vient le silence si lourd me rappeler ton absence cruelle.
Quand le temps s’arrête pour figer toutes ces visions.
Mon cœur bat au rythme de ton départ éternel.
Je vais vers toi.
ton portrait est presque réel, tourné vers l’infini.
Là où ton regard s’étend sur ta demeure éternelle.
Quand l’aube étincelante, ivre de lumières, efface la nuit.
Pour offrir à l’histoire passante ta légende immortelle.
Je pleure ta disparition.
Aujourd'hui, il me reste de toi ce beau roman.
Pour meubler le vide qu'habite ton départ fatal.
Une photos, une voix, des écrits et un nom.
Qui resteront la plus belle pièce du puzzle familial.
Car tu es toujours vivant en moi.
MOHAMMED / LAKHDAR DAMMENE DEBBIH.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-19, 00:12 عدل 5 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Si je savais.
Si je savais, pourquoi j’ai peur du temps qui passe.
J’aurais cherché à élucider la source de l’ennui.
Pourtant j’ai essayé de répondre à mes angoisses.
Et mes illusions, dans le silence profond de la nuit.
Si je savais, je n’aurais jamais cédé à mon ego et ses cris.
Et tout ce que j'ai enduré depuis toutes ces longues années.
J’aurais mis de coté, mon amour et mon élan de cœur meurtri.
Dans mes écrits galants, paraphés de toutes les rimes de la poésie.
Si je savais, j’aurais imploré l’espoir de voir quelqu'un m’aimer.
Je me serais prosterné pour voir le soleil se lever à l’infini.
Je me sens paumé mais c’est ma force de changer les mentalités.
Je me trompe peut être ou parce que j’ai la valeur et la modestie.
Si je savais, je n’aurais jamais subi ce destin des plus immondes
Avec mon jeu de mots, j’aurais trouvé l’itinéraire des sages.
Du plus court chemin, tracé par ma plume de légende.
J'aurais quitté ce monde d'esclave hérité d’un autre âge
Ah!!Si je savais que j’ai le choix.j'aurais. bravé l'interdit
Pourtant quelque chose me dit encore qu’il ne reste plus rien.
Lorsque tout semble m'avoir abandonné et rien à espérer de la vie.
Nous sommes nombreux à travers ce bas monde cruel et mesquin.
.
Je souille et je maudis de mes dires ce qui m’a brisé et m’a déçu.
Même la lune agonisante, pourtant gracile dans toute sa splendeur.
Me révéla furtive, qu’elle sait. Que je n’ai jamais rien su.
Et si je savais ce que je sais, j'aurais tout abandonner sans rien faire
MOHAMED LAKHDAR _DAMMENE DEBBIH.
jeudi 28 novembre 2013 à 2h 45 mn du matin.
Si je savais, pourquoi j’ai peur du temps qui passe.
J’aurais cherché à élucider la source de l’ennui.
Pourtant j’ai essayé de répondre à mes angoisses.
Et mes illusions, dans le silence profond de la nuit.
Si je savais, je n’aurais jamais cédé à mon ego et ses cris.
Et tout ce que j'ai enduré depuis toutes ces longues années.
J’aurais mis de coté, mon amour et mon élan de cœur meurtri.
Dans mes écrits galants, paraphés de toutes les rimes de la poésie.
Si je savais, j’aurais imploré l’espoir de voir quelqu'un m’aimer.
Je me serais prosterné pour voir le soleil se lever à l’infini.
Je me sens paumé mais c’est ma force de changer les mentalités.
Je me trompe peut être ou parce que j’ai la valeur et la modestie.
Si je savais, je n’aurais jamais subi ce destin des plus immondes
Avec mon jeu de mots, j’aurais trouvé l’itinéraire des sages.
Du plus court chemin, tracé par ma plume de légende.
J'aurais quitté ce monde d'esclave hérité d’un autre âge
Ah!!Si je savais que j’ai le choix.j'aurais. bravé l'interdit
Pourtant quelque chose me dit encore qu’il ne reste plus rien.
Lorsque tout semble m'avoir abandonné et rien à espérer de la vie.
Nous sommes nombreux à travers ce bas monde cruel et mesquin.
.
Je souille et je maudis de mes dires ce qui m’a brisé et m’a déçu.
Même la lune agonisante, pourtant gracile dans toute sa splendeur.
Me révéla furtive, qu’elle sait. Que je n’ai jamais rien su.
Et si je savais ce que je sais, j'aurais tout abandonner sans rien faire
MOHAMED LAKHDAR _DAMMENE DEBBIH.
jeudi 28 novembre 2013 à 2h 45 mn du matin.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-15, 01:30 عدل 2 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
La vérité du miroir.
Qui suis-je ? Devant l’autre, imitant chacun de mes gestes.
Qui est’ il ? Fier et heureux de son portrait que tu lui reflètes.
Tu nous renvoies nos éclats et nos ombres, sans qu’on se dispute.
Parfois heureux de nous revoir, débordant d’arrogance et de mérite.
Ô !!Miroir transparent, qui laisse voir même nos âmes.
Mire dans tes reflets nos esprits pervers et nos idées préconçues.
Disperse sur nos visages masqués, nos actes répugnants et infâmes.
Quand la vérité amère arme son poing sévère sur nos saints prétendus.
On s’y regarde dégoûté, te confiant nos désirs et nos profonds secrets.
Tu nous montres nos vérités et nos vulgarités sans nous faire rougir.
Dans ta sagesse éblouissante de franchise et de respects.
Comme pour nous avertir contre nous même avant de nous punir.
Tu as la magie de mouvoir nos moindres réflexes à ta guise.
Et le charme irrépressible de nous séduire et nous réconcilier.
Martyrisant parfois à plaisir, nos esprits et nos mémoires.
Exhalant en amas horrible, nos tares grotesques et nos folies.
Tu peux même éparpiller tes débris au hasard d’une culbute.
Car j’imagine mal un être même parfait, rassembler ses propres débris.
Si minimes qu’ils sont, que personne n’en fait usage dans sa déroute.
Même le plus parfait des parfaits, ne s’y voit jamais tout entiers.
MOHAMED –LAKHDAR _DAMMENE DEBBIH.
LE 19 SEPT 2013
Qui suis-je ? Devant l’autre, imitant chacun de mes gestes.
Qui est’ il ? Fier et heureux de son portrait que tu lui reflètes.
Tu nous renvoies nos éclats et nos ombres, sans qu’on se dispute.
Parfois heureux de nous revoir, débordant d’arrogance et de mérite.
Ô !!Miroir transparent, qui laisse voir même nos âmes.
Mire dans tes reflets nos esprits pervers et nos idées préconçues.
Disperse sur nos visages masqués, nos actes répugnants et infâmes.
Quand la vérité amère arme son poing sévère sur nos saints prétendus.
On s’y regarde dégoûté, te confiant nos désirs et nos profonds secrets.
Tu nous montres nos vérités et nos vulgarités sans nous faire rougir.
Dans ta sagesse éblouissante de franchise et de respects.
Comme pour nous avertir contre nous même avant de nous punir.
Tu as la magie de mouvoir nos moindres réflexes à ta guise.
Et le charme irrépressible de nous séduire et nous réconcilier.
Martyrisant parfois à plaisir, nos esprits et nos mémoires.
Exhalant en amas horrible, nos tares grotesques et nos folies.
Tu peux même éparpiller tes débris au hasard d’une culbute.
Car j’imagine mal un être même parfait, rassembler ses propres débris.
Si minimes qu’ils sont, que personne n’en fait usage dans sa déroute.
Même le plus parfait des parfaits, ne s’y voit jamais tout entiers.
MOHAMED –LAKHDAR _DAMMENE DEBBIH.
LE 19 SEPT 2013
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-13, 01:43 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Ma plume légendaire
.
Ma plume imbue de son époque dont vous reste une odeur.
Forte de son pouvoir irrésistible qui séduit l’imagination.
De sa gloire découlent son charme et sa grandeur.
Fière et modeste, enivrée de son élixir à sensation.
Quand sa prestance indicible interprèta son présage.
Son charme iridescent promis aux étals des musées.
Comme un vieillard témoin des plaisirs d’un autre âge.
Elle caressa l’espoir que son orgueil la sauve des risées.
.
Elle a foulé les pages, caressé vos cœurs et vos esprits .
Avec des paroles que les mémoires enfourcheront pour le deuil.
Gémissante de nostalgie, voulant étreindre l’infini dans ses écrits.
A vouloir s'éterniser, en exhumant ses souvenirs de leur cercueil.
.
J’oublierai peut être que je fus longtemps ton chevalier.
Qui ai chevauché avec amour et passion ton corps à califourchon .
Avec mes doigts libidineux qui t'ont maniée à leur gré.
Mais jamais ton mérite qui a fait de moi un prince charmant.
MOHAMMED LAKHDAR –DAMMENE DEBBIH
mardi le 15 septembre 2014 à 1h 07mn du matin
.
Ma plume imbue de son époque dont vous reste une odeur.
Forte de son pouvoir irrésistible qui séduit l’imagination.
De sa gloire découlent son charme et sa grandeur.
Fière et modeste, enivrée de son élixir à sensation.
Quand sa prestance indicible interprèta son présage.
Son charme iridescent promis aux étals des musées.
Comme un vieillard témoin des plaisirs d’un autre âge.
Elle caressa l’espoir que son orgueil la sauve des risées.
.
Elle a foulé les pages, caressé vos cœurs et vos esprits .
Avec des paroles que les mémoires enfourcheront pour le deuil.
Gémissante de nostalgie, voulant étreindre l’infini dans ses écrits.
A vouloir s'éterniser, en exhumant ses souvenirs de leur cercueil.
.
J’oublierai peut être que je fus longtemps ton chevalier.
Qui ai chevauché avec amour et passion ton corps à califourchon .
Avec mes doigts libidineux qui t'ont maniée à leur gré.
Mais jamais ton mérite qui a fait de moi un prince charmant.
MOHAMMED LAKHDAR –DAMMENE DEBBIH
mardi le 15 septembre 2014 à 1h 07mn du matin
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-15, 05:43 عدل 3 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
one two three viva l'algérie
Notre hymne vient de retentir, entonné comme par le passé.
Dans un délire hystérique qui soulève les folles passions.
Mettant du baume sur nos cœurs martyrisés.
Le temps d'un soir qui nous a fait oublier nos frustrations.
Que de larmes de joie, que d'émotions et de frissons. c'est le podium!!.
Ils l'ont encore fait nos vaillants guerriers. comme à chaque fois.
L'emblème arc en ciel sur le cœur, tous comme un seul homme.
Ils ont promis de porter haut l’Algérie; animés de volonté et de foi.
Toutes nos misères et nos douloureux vécus quotidiens.
furent oubliés et noyés dans un chaudron d'acclamations.
Où fusèrent les youyous de milliers de gosiers; fiers d'être ALGÉRIENS.
Balayés par un nationalisme , que nous envient tant de nations.
C'est ça l’Algérie profonde, unie dans la douleur et la joie.
Portée dans nos cœurs jusqu'au dernier souffle quand sonnera le glas.
Nous l'aimerons et la défendrons. C'est notre serment d'autrefois.
Novembre cinquante quatre en est témoin.
L'histoire gardera cette nuit immaculée de couleurs et de lumières.
En souvenir d'un certain soir d'hiver, qui restera gravé pour longtemps.
Dans nos mémoires enlacées de déceptions, de déboires et de misère.
Qui ont laissé place à un brin d’espoir qui nous a rendu notre lustre d'antan.
MOHAMED/LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH.
fait le dimanche 26 janvier 2014 à1h 10 mn du matin.
HONNEUR ET GLOIRE à NOS VAILLANTS HANDBALLEURS.
Notre hymne vient de retentir, entonné comme par le passé.
Dans un délire hystérique qui soulève les folles passions.
Mettant du baume sur nos cœurs martyrisés.
Le temps d'un soir qui nous a fait oublier nos frustrations.
Que de larmes de joie, que d'émotions et de frissons. c'est le podium!!.
Ils l'ont encore fait nos vaillants guerriers. comme à chaque fois.
L'emblème arc en ciel sur le cœur, tous comme un seul homme.
Ils ont promis de porter haut l’Algérie; animés de volonté et de foi.
Toutes nos misères et nos douloureux vécus quotidiens.
furent oubliés et noyés dans un chaudron d'acclamations.
Où fusèrent les youyous de milliers de gosiers; fiers d'être ALGÉRIENS.
Balayés par un nationalisme , que nous envient tant de nations.
C'est ça l’Algérie profonde, unie dans la douleur et la joie.
Portée dans nos cœurs jusqu'au dernier souffle quand sonnera le glas.
Nous l'aimerons et la défendrons. C'est notre serment d'autrefois.
Novembre cinquante quatre en est témoin.
L'histoire gardera cette nuit immaculée de couleurs et de lumières.
En souvenir d'un certain soir d'hiver, qui restera gravé pour longtemps.
Dans nos mémoires enlacées de déceptions, de déboires et de misère.
Qui ont laissé place à un brin d’espoir qui nous a rendu notre lustre d'antan.
MOHAMED/LAKHDAR ...DAMMENE DEBBIH.
fait le dimanche 26 janvier 2014 à1h 10 mn du matin.
HONNEUR ET GLOIRE à NOS VAILLANTS HANDBALLEURS.
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-15, 05:47 عدل 1 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Il était une fois. Notre si beau train
Dans les vapeurs mêlées au brouillard épais des matins.
Disparaissaient des silhouettes sous le sifflement strident
D'une locomotive et quelques wagons qui venaient de loin.
Prendre tous ces voyageurs, pressés et impatients.
Qu’il est déjà loin ce beau souvenir d’enfant.
Qui me rappelle une gare et un train qui passait par là.
Où vacillaient de merveilleux petits objets brillants.
Dans son ralenti depuis le castor jusqu'à el malha.
Telle une patineuse brillante en ballerine de fonte.
Sur ses vitres embuées, défilent les arbres qui s’inclinent.
Puis s’effacent effarouchés par son allure déferlante
Il s'enlise dans la brume dense puis s'élimine.
Il fait frémir les yeux de plaisir en le voyant venir
Glisser sur des lames d'acier en grinçant les roues.
Il ralentit, s'arrête puis siffle encore avant de repartir
Dans un décor dont je garde un souvenir fou.
J’entends toujours les même bruits et des voix.
Que je garde en mémoire, puisque j’ai dans les yeux.
L'allure d’un vieux train, qui passait par là autrefois.
Et qui fait mon cœur et mon âme si heureux.
J'y reviens souvent, non pas pour l'attendre comme avant.
Ni pour le voir passer tout prés de ce quai.
Car il est parti pour un long voyage dans le temps .
Dans un aller sans retour ou il s’est noyé à tout jamais.
Je dis avec tristesse et regret et sans ambages.
Pleurons nos ruines rasées par des ignares assoiffés.
Admirons ce qui nous reste de notre si beau village.
Peint par ABDELKAYOUM de son pinceau éploré.
MOHAMED LAKHDAR __DAMMENE DEBBIH mercredi 4 décembre 2013
Dans les vapeurs mêlées au brouillard épais des matins.
Disparaissaient des silhouettes sous le sifflement strident
D'une locomotive et quelques wagons qui venaient de loin.
Prendre tous ces voyageurs, pressés et impatients.
Qu’il est déjà loin ce beau souvenir d’enfant.
Qui me rappelle une gare et un train qui passait par là.
Où vacillaient de merveilleux petits objets brillants.
Dans son ralenti depuis le castor jusqu'à el malha.
Telle une patineuse brillante en ballerine de fonte.
Sur ses vitres embuées, défilent les arbres qui s’inclinent.
Puis s’effacent effarouchés par son allure déferlante
Il s'enlise dans la brume dense puis s'élimine.
Il fait frémir les yeux de plaisir en le voyant venir
Glisser sur des lames d'acier en grinçant les roues.
Il ralentit, s'arrête puis siffle encore avant de repartir
Dans un décor dont je garde un souvenir fou.
J’entends toujours les même bruits et des voix.
Que je garde en mémoire, puisque j’ai dans les yeux.
L'allure d’un vieux train, qui passait par là autrefois.
Et qui fait mon cœur et mon âme si heureux.
J'y reviens souvent, non pas pour l'attendre comme avant.
Ni pour le voir passer tout prés de ce quai.
Car il est parti pour un long voyage dans le temps .
Dans un aller sans retour ou il s’est noyé à tout jamais.
Je dis avec tristesse et regret et sans ambages.
Pleurons nos ruines rasées par des ignares assoiffés.
Admirons ce qui nous reste de notre si beau village.
Peint par ABDELKAYOUM de son pinceau éploré.
MOHAMED LAKHDAR __DAMMENE DEBBIH mercredi 4 décembre 2013
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-09-17, 00:30 عدل 4 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
JE M'EN VAIS
Je vous ai tant aimés, sans vous le dire assez.
Ma plume à ma place saura vous le montrer.
J’ai veillé les plus longues nuits à me surpasser.
A vous dépeindre ce que j'ai de beau à proposer.
J’ai foulé vos âmes, vos mémoires et vos cœurs.
De ma plume légendaire, serviable et dévouée.
Par des proses rimées, d'un troubadour rêveur.
Comme une coulée de miel sur vos lèvres veloutées.
J’ai tant de belles choses à vous dire encore.
Qui resteront pour les mémoires, mon plus beaux souvenirs.
vous êtes beaux à voir dans les rêves de tous les jours.
Quand vient le silence dénicher son refuge dans le noir.
Je viens les yeux humides, le cœur plein d’espoir.
Vous revoir un jour et vous étreindre dans mes bras.
Et me parfumer aussi longtemps de vos odeurs.
Qui me rappelleront notre chère amitié qui me manquera.
Je m'en vais le cœur si lourd,en vous laissant ce beau recueil.
Ma plume légendaire éplorée, qui déverse ses chants d'amour.
Que les mémoires nostalgiques enfourcheront pour le deuil.
Et mes sentiments indélébiles et ineffables pour toujours.
Je pars la gorge serrée et le cœur blessé.
ma voix étouffée, frissonne de tristesse.
Éperdu dans un lent sanglot de larmes froissées.
Qui resteront une belle symphonie dans toute son ivresse.
Je vous évoquerai dans mes rêves et dans mes souvenirs.
J’érigerai pour notre sincère amitié une stèle en mots d'amour .
Sur les rives de mon cœur où reviendront vos âmes pour y mourir.
C'est mon souhait ,c'est mon rêve qui me laissent dire je vous adore.
Je suis un océan où naviguent les plus beaux voiliers.
Mon cœur est votre idyllique rivage au sable doré.
Et ma voix sera le chant d'une sirène émerveillée.
Qui vous mènera vers les horizons où le soleil se lèvera à l'éternité.
Je vous ai tant aimés, sans vous le dire assez.
Ma plume à ma place saura vous le montrer.
J’ai veillé les plus longues nuits à me surpasser.
A vous dépeindre ce que j'ai de beau à proposer.
J’ai foulé vos âmes, vos mémoires et vos cœurs.
De ma plume légendaire, serviable et dévouée.
Par des proses rimées, d'un troubadour rêveur.
Comme une coulée de miel sur vos lèvres veloutées.
J’ai tant de belles choses à vous dire encore.
Qui resteront pour les mémoires, mon plus beaux souvenirs.
vous êtes beaux à voir dans les rêves de tous les jours.
Quand vient le silence dénicher son refuge dans le noir.
Je viens les yeux humides, le cœur plein d’espoir.
Vous revoir un jour et vous étreindre dans mes bras.
Et me parfumer aussi longtemps de vos odeurs.
Qui me rappelleront notre chère amitié qui me manquera.
Je m'en vais le cœur si lourd,en vous laissant ce beau recueil.
Ma plume légendaire éplorée, qui déverse ses chants d'amour.
Que les mémoires nostalgiques enfourcheront pour le deuil.
Et mes sentiments indélébiles et ineffables pour toujours.
Je pars la gorge serrée et le cœur blessé.
ma voix étouffée, frissonne de tristesse.
Éperdu dans un lent sanglot de larmes froissées.
Qui resteront une belle symphonie dans toute son ivresse.
Je vous évoquerai dans mes rêves et dans mes souvenirs.
J’érigerai pour notre sincère amitié une stèle en mots d'amour .
Sur les rives de mon cœur où reviendront vos âmes pour y mourir.
C'est mon souhait ,c'est mon rêve qui me laissent dire je vous adore.
Je suis un océan où naviguent les plus beaux voiliers.
Mon cœur est votre idyllique rivage au sable doré.
Et ma voix sera le chant d'une sirène émerveillée.
Qui vous mènera vers les horizons où le soleil se lèvera à l'éternité.
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
LE CRÉPUSCULE D'UNE LÉGENDE
Je ne fais jamais de vers.
Pour le plaisir d’en faire.
C’est ma plume, parole du cœur.
Qui déverse sa profonde douleur.
Pour celle qui a meublé l' existence.
Qui exhale encore son parfum de romance.
Et épanche sa légende au souffle de l’oubli.
Qui érafle les mémoires sans bruit.
De tristes et ruisselantes larmes ont coulé.
Le long de mes joues creuses et ridées.
Que l’âge en bon violon aux cordes abîmées.
A marqué de tout son poids, à jamais.
J’ai vu s’évader à l’horizon dormant.
Ton regard errant et nonchalant.
A la recherche de son éternelle demeure.
Quand le trépas arma son poing sévère.
Dans un sanglot lourd de silence.
Sur ton âme et ta légendaire prestance.
Quelle autre caresse a traversé ton corps ?
Que celle du souffle anesthésiant de la mort.
Qui l’a déjà balancé sur les rives de l’AU DELÀ.
Que le temps ensevelisseur, dans son suaire emporta.
J’ai enlacé des fois et des fois, des rêves dérisoires.
Quand reste de l’intransigeant destin un dernier espoir.
Cependant ; un friselis pourtant enjôleur mais éphémère.
Dans son ivresse, l’instant d’un doute.
Que l’espoir même infime soit il, dissipe.
Ramena en toute évidence ma dernière espérance.
A son augure avéré ; d’une mort sans résistance.
Et ton cœur que j’ai vu s’éteindre.
Sans pour autan pouvoir au moins l’étreindre.
A rendu son profond et ultime souffle.
En exhalant l’odeur du MUSC et du GIROFLE.
Dans tes yeux , j’ai vu s’éteindre la beauté de l’aurore.
Dans ta douce voix, s’est tu le cri de l’amour.
Et entre tes lourdes paupières de bébé, mi closes.
Figées sur l’infini, comme par hypnose.
J’ai lu la fatalité indicible de tes aveux.
Sur le bord de tes longs cils soyeux
C’est illusoire de vouloir sauver quelqu'un.
Vouloir l’aider et lui tendre la main en vain.
Au creux du crépuscule, a sonné l’inévitable glas.
Quand une légende immortelle disparaît et s’en va.
J’ai juré par ton nom et celui de cupidon.
Que j’irai jusqu'à travers les cèdres du LIBAN.
Et escalader même le sommet de l' Himalaya.
Pour voir fleurir sans saison ; les plus beaux LILAS.
Que j’ai arrosés d’une larme d’un solennel adieu.
En hommage à une légende au crépuscule fabuleux.
Je panserai par la prose et la poésie.
Tous les maux que ta disparition m’a causés.
J’ai fait de ma mémoire ; ton musée éternel.
De mon regard ; un lever du soleil immortel.
Et de mon cœur ; le lit de ton profond sommeil.
Avec toi s’en est allée pour toujours ma muse.
Fleurir de prose tes jardins et ta demeure promise.
Et dormir autant que dormira mon amour auprès de ton corps.
Dans les vastes jardins de l’EDEN ; au royaume des morts.
CHAQUE JOUR QUI PASSE EST UN BONHEUR UNIQUE. CHAQUE LENDEMAIN AUGURE D’UNE BRASSÉE d' ESPOIRS. CHAQUE PENSÉE EST UNE PROMESSE DE PRIÈRE ET CHAQUE VŒUX EST UN SERMENT CONTRE L’OUBLI.
MOHAMED/LAKHDAR __DAMMENE DEBBIH.
Mardi 22 juillet 2014 à 1H 50mn du matin.
Je ne fais jamais de vers.
Pour le plaisir d’en faire.
C’est ma plume, parole du cœur.
Qui déverse sa profonde douleur.
Pour celle qui a meublé l' existence.
Qui exhale encore son parfum de romance.
Et épanche sa légende au souffle de l’oubli.
Qui érafle les mémoires sans bruit.
De tristes et ruisselantes larmes ont coulé.
Le long de mes joues creuses et ridées.
Que l’âge en bon violon aux cordes abîmées.
A marqué de tout son poids, à jamais.
J’ai vu s’évader à l’horizon dormant.
Ton regard errant et nonchalant.
A la recherche de son éternelle demeure.
Quand le trépas arma son poing sévère.
Dans un sanglot lourd de silence.
Sur ton âme et ta légendaire prestance.
Quelle autre caresse a traversé ton corps ?
Que celle du souffle anesthésiant de la mort.
Qui l’a déjà balancé sur les rives de l’AU DELÀ.
Que le temps ensevelisseur, dans son suaire emporta.
J’ai enlacé des fois et des fois, des rêves dérisoires.
Quand reste de l’intransigeant destin un dernier espoir.
Cependant ; un friselis pourtant enjôleur mais éphémère.
Dans son ivresse, l’instant d’un doute.
Que l’espoir même infime soit il, dissipe.
Ramena en toute évidence ma dernière espérance.
A son augure avéré ; d’une mort sans résistance.
Et ton cœur que j’ai vu s’éteindre.
Sans pour autan pouvoir au moins l’étreindre.
A rendu son profond et ultime souffle.
En exhalant l’odeur du MUSC et du GIROFLE.
Dans tes yeux , j’ai vu s’éteindre la beauté de l’aurore.
Dans ta douce voix, s’est tu le cri de l’amour.
Et entre tes lourdes paupières de bébé, mi closes.
Figées sur l’infini, comme par hypnose.
J’ai lu la fatalité indicible de tes aveux.
Sur le bord de tes longs cils soyeux
C’est illusoire de vouloir sauver quelqu'un.
Vouloir l’aider et lui tendre la main en vain.
Au creux du crépuscule, a sonné l’inévitable glas.
Quand une légende immortelle disparaît et s’en va.
J’ai juré par ton nom et celui de cupidon.
Que j’irai jusqu'à travers les cèdres du LIBAN.
Et escalader même le sommet de l' Himalaya.
Pour voir fleurir sans saison ; les plus beaux LILAS.
Que j’ai arrosés d’une larme d’un solennel adieu.
En hommage à une légende au crépuscule fabuleux.
Je panserai par la prose et la poésie.
Tous les maux que ta disparition m’a causés.
J’ai fait de ma mémoire ; ton musée éternel.
De mon regard ; un lever du soleil immortel.
Et de mon cœur ; le lit de ton profond sommeil.
Avec toi s’en est allée pour toujours ma muse.
Fleurir de prose tes jardins et ta demeure promise.
Et dormir autant que dormira mon amour auprès de ton corps.
Dans les vastes jardins de l’EDEN ; au royaume des morts.
CHAQUE JOUR QUI PASSE EST UN BONHEUR UNIQUE. CHAQUE LENDEMAIN AUGURE D’UNE BRASSÉE d' ESPOIRS. CHAQUE PENSÉE EST UNE PROMESSE DE PRIÈRE ET CHAQUE VŒUX EST UN SERMENT CONTRE L’OUBLI.
MOHAMED/LAKHDAR __DAMMENE DEBBIH.
Mardi 22 juillet 2014 à 1H 50mn du matin.
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
رد: Un poète amateur M'lili
Les voix d’ailleurs
Ici, là bas comme partout ailleurs.
S’élèvent des voix et des cris déchirants.
Puis se perdent évanouis dans la douleur.
Laissés à la traîne, au souffle du vent.
IL les berce et les disperse sans bruit.
Avant de les semer inexorablement.
promis à leur éternel souffle de l’oubli.
Imbus de leur sort triste et bouleversant.
Confinés dans le silence sur fond de solitude.
Leurs gémissements rythment le quotidien.
Ils assistent impuissants aux vicissitudes.
réglées au son de leur bémol étouffant.
Que de cris et que de larmes de mépris.
Chaque instant de chaque jour qui passe.
Des voix vidées de leur souffle. Meurtries.
Balbutient en vain, agonisent puis s’effacent.
D'autres vocifèrent en déplaçant l'humeur.
Sous de grands chapiteaux, hissant leurs mats.
En arc en ciel, arborant leurs belles couleurs.
Où s’éternisent allègrement leurs brouhahas.
Voyez-les passer ces pervers mercantiles.
Obnubilés par des rêves perclus de faux.
Qui souillent l’air avec leur acre besoin imbu de fiel.
Insoucieux des moindres règles basiliques de la vie.
Voyez les mordre dans la chair crue des malheureux.
Je ne sais même pas si je pleure ou j’en ris comme eux.
Voyez le vent exhaler l’odeur de leurs péchés odieux.
Restés gravés sur le pavé des souvenirs douloureux.
Des voix étouffées, résignées au silence atterrant.
profèrent dans la douleur, au tout puissant leurs prières.
J’ai guidé mes sens vers leurs secrets profonds.
Et je découvris leur bonheur dans la foi en leur créateur
MOHAMMED/LAKHDAR _ DAMMENE DEBBIH
Jeudi 25 septembre 2015 à 23h 30 mn
Ici, là bas comme partout ailleurs.
S’élèvent des voix et des cris déchirants.
Puis se perdent évanouis dans la douleur.
Laissés à la traîne, au souffle du vent.
IL les berce et les disperse sans bruit.
Avant de les semer inexorablement.
promis à leur éternel souffle de l’oubli.
Imbus de leur sort triste et bouleversant.
Confinés dans le silence sur fond de solitude.
Leurs gémissements rythment le quotidien.
Ils assistent impuissants aux vicissitudes.
réglées au son de leur bémol étouffant.
Que de cris et que de larmes de mépris.
Chaque instant de chaque jour qui passe.
Des voix vidées de leur souffle. Meurtries.
Balbutient en vain, agonisent puis s’effacent.
D'autres vocifèrent en déplaçant l'humeur.
Sous de grands chapiteaux, hissant leurs mats.
En arc en ciel, arborant leurs belles couleurs.
Où s’éternisent allègrement leurs brouhahas.
Voyez-les passer ces pervers mercantiles.
Obnubilés par des rêves perclus de faux.
Qui souillent l’air avec leur acre besoin imbu de fiel.
Insoucieux des moindres règles basiliques de la vie.
Voyez les mordre dans la chair crue des malheureux.
Je ne sais même pas si je pleure ou j’en ris comme eux.
Voyez le vent exhaler l’odeur de leurs péchés odieux.
Restés gravés sur le pavé des souvenirs douloureux.
Des voix étouffées, résignées au silence atterrant.
profèrent dans la douleur, au tout puissant leurs prières.
J’ai guidé mes sens vers leurs secrets profonds.
Et je découvris leur bonheur dans la foi en leur créateur
MOHAMMED/LAKHDAR _ DAMMENE DEBBIH
Jeudi 25 septembre 2015 à 23h 30 mn
عدل سابقا من قبل Lakhdar D D في 2014-10-01, 03:47 عدل 2 مرات
Lakhdar D D- Pro
- عدد الرسائل : 100
العمر : 70
المدينة : AIN-M'LILA
السٌّمعَة : 0
نقاط : 300
تاريخ التسجيل : 23/08/2013
صفحة 4 من اصل 5 • 1, 2, 3, 4, 5
صفحة 4 من اصل 5
صلاحيات هذا المنتدى:
لاتستطيع الرد على المواضيع في هذا المنتدى